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Progressions vers le centre de la capitale, sur la rive gauche, en passant par quelques lieux emblématiques : Champ de Mars, Invalides, jusqu'à l'entrée du jardin du Luxembourg.
L'esplanade du Champ de Mars, où les Parisiens profitent fort logiquement du beau temps.
Au bout du parc, l'Ècole militaire, que nous contournerons par le nord.
Un monument sur les Droits de l'Homme (à droite), un autre sur le progrès (au fond).
Nous arrivons maintenant devant les Invalides et son célèbre dôme doré et, devant nous, le jardin de l'Intendant.
En prenant l'avenue de Breteuil, on est pile en face de l'entrée de l'église.
La façade de l'église Saint-François-Xavier, fait plus massive, sans pour en être laide pour autant.
Nous empruntons ensuite des rues riches d'hôtels particuliers pour parvenir jusqu'au jardin du Luxembourg, l'occasion de découvrir l'ancien nom des rues (ici, la rue de Cherche-Midi).
Quelques entrées d'hôtels rue du Regard :
l'hôtel de Dreux-Brézé.
l'hôtel de Beaune.
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un fronton d'hôtel richement décoré.
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Descendons maintenant vers la Seine et allons apprécier la tour Eiffel sous toutes ses coutures.
Mais avant, au débouché du jardin du Ranelagh, voici l'ancienne gare de Passy du circuit de ceinture.
À côté du la gare RER de Boulainvilliers, le siège du consulat de la principauté d'Andorre, dont voici le blason.
Nous commençons à descendre de la colline par l'étroite rue pavée de Berton, avec une vue sur la tour Eiffel.
Quand je vous disais que le rue est étroite ! Derrière le mur de droite, l'ambassade de Turquie.
Le chemin fait traverser le parc de Passy, et on sent que le quartier est bourgeois quand on voit les différentes terrasses des immeubles avoisinants.
En arrivant à la scène, nous empruntons le pont de Bir-Hakeim, où passe le viaduc de la ligne 6, lieu où fut tourné une scène d'Inception.
Au centre du pont, une arche rappelle le nom du viaduc, et la statue illustre la France renaissante.
Retournons-nous, et la tour Eiffel est bien impressionnante, et encore, nous ne sommes pas encore à ses pieds.
Ah ça, elle domine cette construction métallique. Montmartre, à l'arrière-plan, c'est tout petit.
Dans le parc arboré autour de la tour, on peut apprécier à la fraîche cette construction, tout en étudiant les essences d'arbres plantés.
Nous descendons dorénavant le Champ de Mars. Voici une dernière vue sur la Dame de Fer, et un zoom sur les noms de personnalités françaises, inscrites sur le pourtour du premier étage.
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Trois GR de Pays permettent de découvrir Paris d'est en ouest et du nord au sud. Cela est un bon entraînement pour mon périple de fin juin en Pyrénées (plus pour le temps de parcours que pour le dénivelé bien sûr).
Commençons par le commencement, avec la traversée n°1 qui relie la porte Dauphine - Bois de Boulogne, à l'ouest à la porte Dorée - Bois de Vincennes à l'est. J'ai d"abord effectué la première moitié du trajet (jusqu'au jardin du Luxembourg), ce qui représente trois articles. Voici donc le premier.
Une petite vue sur l'Arc de triomphe, qui l'on pourra observer d eplus près avec la traversée n°3.
La marque caractéristique, jaune et rouge, peinte (ou collée) sur le mobilier urbain.
En ce dimanche matin ensoleillé, il fait bon jogger dans les allées du bois de Boulogne.
On débouche sur le lac Inférieur, propoice au canotage, mais vraiment sale. Et que vois-je à gauche ?
Des canards colvert se reposant. Ci-dessus les mâles, ci-dessous la femelle et son poussin.
Au sortir du bois, en se dirigeant vers le jardin du Ranelagh, on remarque bien que l'on est dans un quartier riche (le XVIe arrondissement) :
Profitons encore un peu des espaces verts et de la tranquillité, et étudions cette sculpture à l'entrée du jardin du Ranelagh, baptisée L'œuvre de Victor Hugo.
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Nous étions, Jean-Luc et moi, à la soirée Iloludi, JL devant récupérer un jeu. L'occasion d'approfondir des jeux estampillés "Essen 2010".
Tout d'abord une partie de 7 Wonders à 6 joueurs. Je ne suis généralement pas friand de cette configuration (où on se fiche royalement de ce que développent 2-3 autres joueurs), mais là, la partie fut intéressante, en tout cas pour ceux qui connaissaient bien le jeu (les autres aussi ont apprécié, là n'est pas la question).
La photo indique les plateaux finis de Jean-Luc (en haut), Yohan (à droite), et moi (en bas), les médaillés du jour.
Yohan gagne grace à son orientation plus ou moins imposé bleur-verte, mais, n'ayant aucune carte jaune, ni beaucoup de productions, il dut défausser 2 fois pour avoir de l'argent. Heureusement, cela a été très bien compensé par sa merveille (face B d'Halicarnasse) qui lui a permis de poser de nombreuses cartes gratuitement. Et puis, son tout petit bouclier lui a assuré 3 victoires militaires.
Jean-Luc a soigné sa merveille (15 pts de pyramide), a empêche Yohan de récupérer les engranages (16 pts au passage) et a bien rentabilisé ses cartes jaunes et rouges. Il lui manque juste une guilde pour gagner.
Pour ma part, j'ai eu une première période délicate (peu de ressources et peu d'argent), alors que pour la deuxième, ce fut all production (5 cartes de production posées, 2 cartes jaunes très bien rentabilisées, et atteinte du deuxième niveau de ma merveille (Babylone face B, avec la pose des 2 dernières cartes de chaque âge)). Disposant ainsi de toutes les ressources (sauf le minerai, mais ce n'était pas vraiment un problème), et grâce à de très belles mains données par mon voisin de droite, j'ai arrêté l'hémorragie militaire, posé 2 guildes très lucratives (19 pts), et 3 cartes bleues. J'échoue de très peu au final.
Maintenant, j'attends l'extension avec impatience.
[Points : 55 – 54 – 51 – 46 – 46 – 33]
Durée de la partie : 40 minutes
Puis une partie de Fürstenfeld à 5 joueurs, mais toujours pas en mode expert.
Une partie sympathique, même si je pestais sur la fin : ayant beaucoup de revenus par le vente du houblon, je n'ai pioché aucune pièce de palais pendant les deux derniers tours (et en vérifiant, il m'en aurait fallu encore 2 autres pour gagner) et termine avant-dernier avec 52 pièces en réserve !!!
Je ne pense pas que j'y rejouerai à 4 ou plus, car il y a tellement de brasseries qu'il y atoujours moyen de s'en sortir. Au contraire à 2 et 3 joueurs, le marché peut être beaucoup plus tendu, et les ventes peuvent faire plus de mal aux adversaires, ce qui renforce notamment l'entrepôt.
[Palais (argent restant) : 6 (2) – 6 (2) – 5 – 4 (52) – 4 (24)]
Durée de la partie : 1 heure 30 minutes
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Un jeu de parcours (deux parties) et un jeu de cartes (partie non terminée), ce fut le menu du jour chez Jean-Luc.
Le midi, nous faisons une partie d'Atlantis, car Jean-Luc se demande s'il va conserver son exemplaire.
Ce remake de Cartagena (jouer une carte pour avancer à la prochaine case comportant le même smbole et il faut être le premier à faire arriver tous ses pions à l'arrivée) propose deux ajouts, intéressants sur le papier :
- après avoir déplacer son pion, et récupère la première tuile disponible derrière lui (on cherche forcément à récupérer les gros chiffres)
- franchir l'eau coûte cher (la plus petite tuile aux extrémités).
Le problème des règles de bases et qu'à la fin de son tour de jeu, on piohce autant de cartes que de pions arrivés sur le continent + 1. Cela incite donc fortement, pour avoir plus de choix de déplacement et plus de monnaie pour payer les traversées, à amener le plus rapidement possible un pion à l'arrivée, puis un autre, puis le dernier. En plus, pour le premier pion, on crée les pièces d'eau derrière notre passage, ce qui fera ainsi perdre des points aux adversaires.
Au final, il n'y a pas eu photo, JL effectuant le rush, moi essayant de récupérer quelques grosses tuiles, mais les traversées ont été rédhibitoires.
Avec les règles de base, le jeu ne tourne pas bien, c'est pourquoi nous faisons une deuxième partie avec adpatation le soir même.
Pour la deuxième partie, nous décidons cette fois-ci de ne piocher qu'une carte en fin de tour, quelque soit le nombre de pions arrivés à destination.
Ce ne fut guère mieux, car cette fois-ci, nous vîmes la place très (voire trop) importante du hasard dans la pioche des cartes. Je me suis fait encore une fois laminer, parce que Jean-Luc a eu les bonnes cartes au bon moment pour faire de belles combinaisons et récupérer les tuiles les plus lucratives.
Bref, une forte déception pour nous (on avait pourtant aimé le jeu à sa sortie), et nous allons essayé de revendre nos boîtes. Si certains sont intéressés...
Le jeu n'est pas si mauvais que ça, mais il exige des adaptations pour être intéressant (par exemple essayer avec pioche d'1 carte en fin de tour, avec présentation de cartes à la Kardinal und König, ou les Aventuriers du rail (de 2 à 5 cartes visibles)).
[Scores : non notés, mais double défaite par au moins 30 points d'écart]
Durée des parties : 2×30 minutes
Puis, c'est la découverte, en ce qui me concerne, des Cités perdues.
Voici un excellent jeu d'affrontement à 2 joueurs : à son tour, on pose une carte pour soit commencer une expédition, soit se défausser. Quand on commence une expédition, il faut faire une série croissante, en atteignant au moins les 20 points pour pouvoir être dans le positif (frais d'expédition). On peut aussi poser des contrats avant de commencer une expédition, un contrat doublant les points, 2 contrants les triplants, 3 contrats les quadruplant (en positif ou en négatif).
C'est donc un jeu d'observation, d'attente et de prise de risque très bien trouvé, avec de très belles illustrations.
Nous n'avons fait qu'une manche (sur 3) car nous devions ensuite partir en soirée-jeu, mais j'attends avec impatience la suite de la partie pour savoir qui est le plus fort.
[Points de la manche : 42 – 41]
Durée de la partie : 15 minutes
Joueur Expédition jaune Expédition bleue Expédition blanche Expédition verte Expédition rouge Jean-Luc 2×14 2×4 1 2×4 –3 Moi / 2×3 10 1 2×12
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