Avant de partir à Valmeinier, une dernière petite soirée entre amis (entre ceux qui partent et ceux qui restent), avec un Evo à 5 joueurs.

 

Une partie sympathique où, pour une fois, je ne finis pas dernier. Il faut dire que j'étais adapté à tous les terrains (même le mortel), mais Laurent s'impose grâce à ses nombreuses moumoutes.

Un bon jeu, mais trop long de cette configuration.

 

[Points : 42 – 39 – 37 – 35 – 29]

Durée de la partie : 2 heures

Note personnelle : 6,5/10

Une soirée tranquille avec Fabrice, où chacun aura fait une découverte. Et le même sentiment au final pour le bizut : bien, mais sans plus.

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Tout d'abord une partie de The Road to Canterbury.

 

Trois compagnies de pèlerins cheminent vers Canterbury, mais ils sont soumis (par notre faute) aux 7 péchés

capitaux : (à partir du pasteur, le grand pion) :

- l'envie

- l'avarice

- la gourmandise

- la paresse

- la luxure

- l'orgueil

- la colère

Heureusement pour eux, nous sommes là pour pardonner leurs mauvais penchants. Mais nosu sommes vils et nous essayons de gagner un maximum sur les différents tableaux.

 

Canterbury est un jeu de cartes, de trois types différents :

- les péchés (Sin)

- les pardons

- les reliques (cartes spéciales)

+ les pèlerins qui vont grossir les compagnies

 

À son tour de jeu, on joue une carte et on applique son effet, puis on complète sa main à 5 cartes, à choisir parmi les 3 types de cartes. Outre les reliques :

- on peut placer un péché dans une compagnie : un pèlerin est ainsi tenté et se rapproche de la mort. Comme récompense, on place (si on le peut, mais je ne détaillerai pas ici pourquoi) un de nos cubes-marqueurs sur le péché en question. On marque des points quand on a un cube dans chaque péché.

- on joue un pardon de péché sur une compagnie : on marque ainsi en points, le carré du nombre de cartes péchés présentes dans la compagnie + 1 si le pasteur est sur la case péché correspondante (maximum 16 pts) et en place un de nos cubes sur la tuile pèlerin.

Ensuite, on regarde si un pèlerin meurt (au moins 7 cartes et/ou pèlerins morts dans la compagnies. Le joueur qui aura alors pardonné le plus de péchés de cette compagnie place l'un de ses cubes sur la route de Canterbury. La partie s'arrête quans celle-ci est pleine.

 

Ma main initiale, pas vraiment favorable avec seulement 3 péchés.

 

Le plateau final et, si Fabrice et moi avons placé le même nombre de cubes sur la route, il me surclasse pour les cubes des compagnies.

Un jeu de majorité rapide, pas vraiment original, et qui, je pense, gagne à être pratiqué à 3 joueurs, son autre configuration.

 

[Points : 108 – 79]

Durée de la partie : 1 heure

Note moyenne des joueurs : 7,5/10

Note personnelle : 7/10

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Puis c'est une partie de Descendance.

 

La première manche vient de s'achever et je m'oriente vers une optique chambre du Conseil+marché, quand Fabrice voyage.

 

Je m'impose logiquement, connaissant le jeu (et j'ai bien rentabilisé le Conseil), mais il ne fallait pas que la partie dure plus longtemps : Fabrice avait terminé ses voyages et commençait à être bien présent à l'église.

Cette configuration est différente des autres, car il y a beaucoup de morts de l'artisanat et de la ferme, d'où une fin de partie potentiellement très rapide. J'ai ainsi compris l'intérêt de rapatrier ses troupes avec le mariage.

 

[Points : 58 – 51]

Durée de la partie : 1 heure

Note moyenne des joueurs : 7,3/10

Note personnelle : 8,5/10

Joueurs	Fabrice (1)	Moi (2)
Fin	10	18
Pièces	2	/
Voyage	18	/
Conseil	4	6
Eglise	7	4
Marché	3	20
Archives	7	12

Le temps de manger très rapidement, et je réalise une partie de Descendance à 3 joueurs.

 

Étant le seul joueur à connaître le jeu, je m'impose assez logiquement, surtout que mes adversaires avaient privilégié le même domaine : les voyages. J'ai ainsi pu me concentrer très tranquillement sur le marché et l'église. Et il me semble que l'on a oublié quelques points sur le décompte final.

 

8 tuiles marché pour moi (dont 3 acquises lors de la même action), ça fait mal.

 

Deux clients pour Sylvano, et des cubes non utilisés.

 

Christophe a aussi deux clients, mais on lui a souvent piqué des cubes intéressants sous son nez.

Tout le monde a apprécié la partie, c'est le principal, et c'est vraiment un excellent jeu.

 

[Points : 73 – 58 – 47]

Durée de la partie : 2 heures

Note personnelle : 8,5/10

Joueurs	Christophe (3)	Sylvano (2)	Moi (1)
Fin	6	6	8
Pièces	1	/	/
Voyage	18	18	/
Conseil	4	2	/
Eglise	8	12	16
Marché	7	6	37
Archives	3	12	12

Une partie de Through The Ages (version complète bien sûr) à 3 joueurs, voilà qui rythme bien un samedi après-midi.

 

De grands écarts entre les joueurs, mais il faut dire qu'il y avait une débutante à ce jeu, qui a beaucoup souffert de son manque de science.

 

Dominique, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, n'a pas pu développer ses laboratoires, et 2 points de science par tour, c'est très insuffisant pour espérer gagner.

 

Au contraire, avec mes merveilles et le développement de l'alchimie, couplé à Michel-Ange, j'ai acquis assez vite un bon revenu de sciences et de culture. 4 merveilles achevées, mais j'ai très souvent manqué de nourriture pour recruter, sans compter que Sylvain a éclusé ma populationavec une guerre sainte.

 

Des productions efficaces et l'invention des films auront boosté Sylvain en fin de partie, qui s'impose assez largement.

Une très belle partie, comme toujours, et je pense que 3 joueurs est la meilleure configuration pour profiter de ce grand jeu de cartes.

 

[Points : 244 – 223 – 182]

Durée de la partie : 3 heures 30 minutes

Note personnelle : 9/10

Je décide de retourner à la ludothèque de Boulogne-Billancourt, puisque j'ai du temps.

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Et, pour commencer, je découvre London, à 4 joueurs.

 

Désolé, j'ai oublié de prendre en photo ce qui est le cœur du jeu, à savoir les cartes.

Ici, il s'agit de reconstruire la capitale britannique, depuis la Renaissance jusqu'au début du XXe siècle.

Pour cela, à notre tour de jeu, on peut :

- Prendre le contrôle d'un quartier, en payant le coût indiqué. On récupère ainsi des cartes et on marquera des points en fin de partie.

- Construire des bâtiments : on pose une carte devant soi, en payant le coût éventuel, mais surtout en plaçant sur l'étalage (en bas de la carte), une carte de même couleur. On peut ainsi poser plusieurs cartes.

- Activer ses bâtiments : il nous permettent de récupérer de l'argent, de marquer des points, mais aussi de lutter contre la pauvreté. Car, une fois ses cartes activées, on récupère des pauvres, et il vaut mieux ne pas en avoir trop !

- Piocher 3 cartes : l'action par défaut.

Il faut donc lutter contre la pauvreté, et c'est plus facile à dire qu'à faire, surtout quand on ne connaît pas les cartes. On est aussi un peu (beaucoup ?) soumis à la pioche des cartes, mais on peut prendre des cartes depuis l'étalage. Et l'expérience joue, comme vous pourrez le constater dans les décomptes.

J'ai vraiment été conquis par ce nouveau jeu de gestion de main de cartes de Wallace, et il me tarde d'en faire de nouvelles parties.

 

Chaque joueur a donc pris possession de quartiers, mais certains plus que d'autres.

 

[Points : 51 – 50 – 7 – -4]

Durée de la partie : 2 heures

Note personnelle : 8/10

Joueurs	Rémi (2)	Jean-François (1)	Guillaume (4)	Moi (3)
Argent	2	1	/	/
Emprunts	/	/	-7	-21
Arrondissements	20	23	13	17
Métro	/	2	8	6
Bâtiments	10	22	15	19
Points marqués pendant la partie	18	14	15	16
Pauvreté	/	-11	-48	-30

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Puis on enchaîne avec une partie de L'Année du Dragon.

 

La mise en place est faite, les joueurs ont pris leurs premiers personnages.

Le début d'année sera ralativement tranquille (feu d'artifices, attaque mongol), mais ensuite ça se corse (sécheresse, impôts, épidémie). Au moins cela laisse le temps de se préparer.

 

Après les 12 mois, Guillaume est largement largué (peut-être est-ce dû au fait qu'il n'a eu que deux palais à gérer), alors que c'est plutôt serré entre les trois autres joueurs.

 

J'ai essayé les érudits, mais cela n'a pas suffi. Et pourtant j'ai marqué une bonne douzaine de points avec eux !

 

Rémi a beaucoup souffert en milieu de partie, quand il ne lui restait plus que 3 personnages. Heureusement pour lui, son douvble privilège acquis tôt dans la partie lui permettra de conserver la deuxième place.

 

Guillaume est donc resté avec deux palais, et ses deux simples privilèges paraissent tout de même insuffisants pour la victoire finale.

 

Jean-François l'emporte au finish, avec ses 8 personnages survivants, et ses deux bonzes expérimentés dans son plus grand palais.

Une partie intéressante, où j'ai testé quelque chose, qui pouvait peut-être marcher.

 

[Points : 98 – 94 – 93 – 69]

Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

Note personnelle : 7,5/10