• Pour éviter de se retrouver à 6 chez Jean-Luc (mais aussi parce que les jeux proposés ne nous intéressaient pas forcément), je me rends chez Eric et Karine pour découvrir deux nouveautés, une qu'on me présente, l'autre que je présente.


    Eric me présente donc Le Havre – Le port fluvial. À l'instar d'Agricola, voici la version 2 joueurs du jeu du port normand. S'il s'agit toujours d'être le plus riche, il ya une roue de production à la Ora et Labora ajouté au jeu. Enfin, c'est plutôt  une roue d'utilisation puisqu'elle calcule le nombre de fois qu'on pourra utiliser la capacité des bâtiments construits. Ces bâtiments permettent principalement d'augmenter nos niveaux de ressources (bois, argile, blé, poisson), mais il faut faire attention aux limites de notre entrepîot, et ça, c'est bien vu.

     

    Simple à expliquer (une action par joueur : soit construire, soit utiliser un bâtiment), les tours s'enchaînent relativement vite. par contre, il est plus difficile de savoir qui mène, contrairement à son grand frère.

     

    01 - Le Havre (moi)

    La partie est terminée (deux tours de roues), et je possède en fin de partie 0 argile, 8 poissons, 15 blés, 21 bois.

     

    02 - Le Havre (Eric)

    Eric est moins de ressources par contre : 3 argiles, 6 blés, 5 bois, 7 poissons.

     

    03 - Le Havre (mes bâtiments)

    Voici les bâtiments construits par Eric, qui a cherché des points cash.

     

    04 - Le Havre (bâtiments d'Eric)

    Et les miens, avec une spécialisation des ancres.

    Un bon petit jeu (pour sa durée), qui fait tout de même bien réfléchir.

     

    [Points : 228 – 192]

    Durée de la partie : 1 heure

    Note personnelle : 8/10


    Puis c'e'st une partie de The Great Zimbabwe à 3 joueurs, Karine s'ajoutant.

     

    05 - The Great Zimbabwe

    Une partie très rapide (1 heure à peine), où Karine a très bien su exploiter le plateau et de mauvais positionnements (de la part des hommes) des artisans.

    Toujours intéressant, à voir maintenant avec toutes les cartes en jeu.

     

    [Points (score à atteindre) : 21 (21) – 23 (27) – 24 (30)]

    Durée de la partie : 1 heure

    Note personnelle : 8/10


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  • A la soirée du mardi de l'association ludique d'Asnières, j'ai fait ma première partie de Myrmes à 3 joueurs.

     

    01 - Myrmes (fin)

    La partie est terminée, est les scores sont plutôt serrés. Olivier, en rouge, a décidé de ne faire aucun objectif (pourquoi donner des points aux autres ?) et s'est concentré sur la création de nourrices (7 en fin de partie !) et la pose de phéromones. Sylvain, en noir, et moi en jaune avons donc plutôt fait des objectifs, mais je manque de phéromones en fin de partie (certaines ont été nettoyées).

     

    02 - Myrmes (mon plateau)

    Mon plateau en fin de partie avec à gauche le tableau des larves et l'échelle des événements, les salles pour les nourrices, l'atelier, les soldats, les ouvrières et l'entrepôt, à droite les niveaux de développement de la fourmilière.

    Si le jeu est très bien fichu, je trouve tout de même qu'il est très frustrant : vu le faible nombre de nourrices en début de partie, les choix sont contraints, il n'y a que 9 tours de jeu, et il faut nourrir sa population, bre fdifficile de voir quoi développer en priorité. Pas certain de l'acheter.

     

    [Points : 59 – 57 – 53]

    Durée de la partie : 2 heures

    Note personnelle : 8/10


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  • Fabrice m'a invité, avec Laurent et un autre joueur, pour faire une partie du dernier Splotter : The Great Zimbabwe.

     

    01 - The Great Zimbabwe (début)

    Il s'agit ici d'ériger des monuments en faisant appel aux artistes locaux. La construction des monuments nous rapporte

    des points, et nous avons un objectif à atteindre. Cet objectif varie (surtout à la hausse), en fonction du dieu que l'on prend (bonus pour toute la partie) et des artisans que l'on peut poser sur le plateau. Pour pouvoir surélever nos monuments, il faut atteindre les artistes, et payer les coûts de fabrication, tout en respectant une chaîne d'approvisionnement (chaque artisan a besoin d'une ressource, les artisans secondaires ayant besoin en plus d'un artisan primaire). La règle de distance n'est pas forcément très intuitive (les étendues d'eau sont une seule grande case, les monuments peuvent servir de relais), mais on sent qu'il y a du gros potentiel (plusieurs dieux, plus des spécialistes non joués lors de cette partie de découverte), et les parties sont courtes (2 heures pour un Splotter, c'est pas mal).

    02 - The Great Zimbabwe (fin)

    Je m'impose grâce à mon implantation à l'est du plateau, et au fait que plus la partie avance, plsu l'ordre du tour est primordial. Je me suis battu pour être premier joueur dans ce quis era le dernier tour, et cela s'est avéré payant. Fabrice, en noir, n'était pas si loin que ça, et Laurent a eu du mal à bien visualiser le jeu, d'où un dieu mal exploité.

     

    03 - The Great Zimbabwe (mon plateau personnel)

    Un artisan secondaire, un dieu qui me donnait 2 zébus par tour (le zébu est la monnaie du jeu). L'aide de jeu individuelle résume à gauche un tour de jeu (enchères sur l'ordre du tour, phase d'actions, revenus), à droite la chaîne des artisans et en bas les points marqués sur les monuments lors de la construction de chaque étage.

     

    05 - The Great Zimbabwe (Fabrice)

    Fabrice avait un petit boost sur les enchères, mais sa deuxième place au dernier tour lui sera fatal.

     

    06 - The Great Zimbabwe (Laurent)

    Des artisans pour Laurent, mais il n'est pas vraiment rentré dans la partie.

     

    04 - The Great Zimbabwe (scores)

    Les scores finaux, le disque indiquant l'objectif, le cube le score réel.

     

    Un très bon Splotter, encore, et que personnellement je préfère aux autres, par ses règles plus simples, et sa faible durée de jeu.

     

    [Points (socre à atteindre) : 29 (28) – 25 (27) – 19 (27) – 21 (32)]

    Durée de la partie : 2 heures

    Note personnelle : 8,5/10


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  • Certes, cela fait un mois que la pièce a été vue, et les acteurs ont changé depuis (un due par mois). Mais la pièce vaut le coup pour le sujet abordé et la façon dont il est traité. Inconnu à cette adresse raconte la correspondance entre deux amis, un juif américain et un allemand. Ils ont crée ensemble une galerie d'art et l'Allemand revient dans son pays en 1932 pour développer leur activité en Europe. Si la correspondance est excellente dans les premiers mois, l'arrivée d'Hitler et ses premières mesures antisémites vont irrémédiablement brouiller les deux hommes. Et si l'Allemand semble épouser les idées du nazisme, le Juif n'est pas non plus exempt de tout reproche. Je n'en dis pas plus, si vous souhaitez connaître cette évolution, allez voir cette pièce d'une heure au théâtre Antoine.

    Pour info, lorsque nous avons vu la pièr, Stéphane Guillon incarnait l'Allemand et Gaspard Proust l'Allemand. Et ils étaient très bons dans leurs rôles respectifs pour cette pièce au sujet grave. 


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  • 00 - Situation

    Le soir, nouvelle soirée au théâtre. Avant d'évoquer la pièce, voici quelques photos de la salle du théâtre Antoine, puis de la porte Saint-Denis, que j'ai vu souvent de jour mais jamais de nuit.

     

    01 - Théâtre Antoine

     

    02 - Théâtre Antoine

     

    03 - Théâtre Antoine

     

    04 - Porte Saint-Denis


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