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Il était prévu du mauvais temps en milieu de semaine, si bien que la grosse randonnée du séjour est prévu pour le 2 juillet, et on ne le regrettera pas !
C'est la montée au lac du Crozet qui se profile : 600m, et ça grimpe tout le temps. Une montée sèche sur une piste forestière, puis une fois que la piste devient un chemin et s'enfonce dans la forêt, c'est une succession d'épingles. A la sortie de la forêt jusqu'à arriver à la conduite forcée, la montée se fait moins forte, mais avec davantage de pierres. Enfin, un dernier petit raidillon pour atteindre le lac.
Voilà le paysage que l'on peut voir à la sortie de la forêt.
Quelqu'un s'est fait construire ce petit chalet, et des petits malins ont essayé de voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Chalet récent, et ça ne ressemble pas vraiment à une cabane de berger !
Avec le printemps pourri qu'il ya eu, la neige a fondu plus tardivement. On n'a traversé aucun névé pour atteindre le lac, mais on n'en était pas loin !
Le toreent du Mercier, juste en-dessous du lac.
On a atteint le lac après un peu moins de 2 heures de montée. Un barrage, une cabane qui se confond avec les rochers, et la vue sur la Chartreuse.
Quand on se retourne, on voit le chemin qui monte vers le col (et le refuge) de la Pla (image agrandissable en cliquant dessus).
Une halte bien reposante.
Mais après le déjeuner, il faut songer à redescendre (par le même chemin). Allez, un dernier panorama (agrandissable en cliquant sur l'image) pour la route !
Ah oui, c'est vrai, on a traversé un torrent, et assez large ! Il fallait bien repérer par où passer.
La vue sur la montagne depuis la cabane sus mentionnée.
Les virages en forêt.
Et pour finir, la faune et flore rencontrés en passant.
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Le lendemain, premier jour de juillet, je pars avec ma mère pour faire une deuxième montée, de 400m de dénivelé cette fois. On longe d'abord des prairies, puis on grimpe en forêt, avant d'atteindre un alpage jusqu'au Ménil (environ 1 heure).
Voici le but de la ballade : Le Château Vert.
A partir du Ménil (simplement un coin à l'ombre avec une table de pique-nique), on doit trouve run chemin qui, par la ligne de crête, permet d'avoir un très beau point de vue sur le Vercors. Et c'est bine, c'est indiqué !
Oui, sauf que le chemin est très peu pratiqué, avec une progression difficile au milieu de la végatation, et en montant et descendant des rochers. Et puis, il ya de spassages de crevasses sur lapiaz qui nous ont bloqué, pour cause de vertige). Peut-être n'avons-nous pas pris le bon chemin.
Cela n'empêche pas de mieux dominer et d'avoir une belle vue sur les massifs.
Je pose fièrement devant le Mont Aiguille.
Deux panoramas agrandissables en cliquant dessus : le Vercors en haut, la vallée et le Mont Aiguille en bas.
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De retour sur Grenovle, on peut (enfin) faire quelques marches dans la région. Histoire de ce chauffer els jambes, on commence par une randonnée familiale traditionnelle du coin : la Pierre Percée, l'une des 7 Merveilles du Dauphiné.
Comme d'habitude, je prends toujours les signalisations :-)
La montéele long des prairies permet de voir les 3 lacs à l'entrée de la Matheysine. Ci-dessous le lac de Pierre-Châtel.
Beaucoup de fleurs dans les alpages.
Sur ce panorama (agrandissable en cliquant dessus), 2 des 3 lacs sont visiblers : Pierre-Châtel et Petichet.
Une heure de montée, une heure de descente. Il y a du monde en haut, mais on trouve facilement un coin pour pique-niquer.
Voici le plateau de la Mathysine, ave cla Pierre Percée (cliquez dessus pour agrandir).
On se tourne un peu, et voit ces vertes collines (cliquez pour agrandir).
Deux visions originales, à travers le trou de la Pierre Percée.
Forme bizarre, non ?
On redescend dans la vallée, face ouest.
Après être passé par Puteville (on ne se moque pas !), on revient à notre point de départ. Et on distingue de hauts sommets dans les nuages.
Une mise en route tranquille.
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A côté de notre hôtel, voici une curieuse résidence de luxe : la villa Crespi, du nom de son premier occupant qui voulait faire "maure".
A part ça, quand on revient du Sacro Monte, on emprunte cette belle rue en descente.
En se retournant, une belle façade d'église.
Un peu plus bas, une glycine bien envahissante.
Et on arrive sur la grande place d'Orta, la piazza Marconi, et sa maison des Communautés. Notez que la circulation motorisée (hors résidents, et encore) est interdite dans Orta San Giulio.
Quelques vues de la place :
En face, l'île San Giulio, et au fond, sur son rocher, Madonna del Sasso.
Encore une rue bien fleurie, cette fois-ci de géraniums, de jasmins, de glycines.
Nosu avons dîné dans un bar à vin. De bons amuse-bouche, et de bons vins.
Le soir tombe, on rentre à l'hôtel. C'est beau une île la nuit !
Arrivederci Orta, arrivederci Italia !
Peut-être que, dans quelques années, nosu verrons les autres alcs italiens (lac de Côme, lac de Garde...). Pour l'heure, il faut revenir en France faire quelques randonnées alpines.
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Alors qu'on bouquinait tranquillement sur nos lits de chambre, on voit l'horizon s'éclaircir. On préfère donc sortir (on est en milieu d'après-midi, et on aura bien fait !
Avant de découvrir le village d'Orta San Giulio, on visite le Sacro Monte. Il y a beaucoup de Sacro Monte dans la région, et ce sont des petits monts constellés de chapelles, en l'honneur d'un saint, d'un patriarche, etc. Ils sont quasiment tous inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco (celui-ci, depuis 2003).
Le parcours est constitué de 20 chapelles qui racontent, à travers des peintures et des scupltures (toutes faites vers le XVe-XVIIe siècle) la vie de Saint-François d'Assise.
On monte d'abord depuis le village, pour atteindre la première chapelle, et ensuite on se laisse guider (vous allez voir).
Une très belle vue sur le lac, et l'île San Giulio.
Début du chemin, avec la Chapelle I à droite, et la chapelle II au fond.
Les indications du circuit sont données par ces mains : les gens de l'époque de la réalisation ne savaient pas tous lire, il fallait donc les aider à tout comprendre (les peintures et scupltures, certes, mais aussi la marche à suivre).
On abserve toujours les saynètes à travers des grilles (œuvres fragiles). Les peintures extérieures ont tendance à se dégrader.
Une autre chapelle.
Deux chapelles proches, mais qui ne se suivent pas.
Deux exemples de scène. Ci-dessus, la marche de Saint-François dans Assise à demi-nu, en signe d'humilite. Et le scène finale, ci-dessous : sa canonisation.
Ci-dessous, la dernière chapelle.
Le ciel est maintenant bien dégagé, on va pouvoir descendre sur Orta pour dîner.
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