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Petite randonnée dans la commune de Châteaugiron, au sud-est de Rennes.
Et vous verrez que cela ne manque vraiment pas de charme.
On commence par longer un petit lac de pêche, puis un petit ruisseau.
La partie septentrionale n'est pas la plus agréable (on longe des routes), mais il faut bien rejoindre le Rimon à Domloup.
Et la vallée de ce ruisseau et très bien aménagé : on suit on plus près le cours d'eau, avec des panneau d'interprétation. On n'avait pas le temps de tout lire, mais cela mérite de revenir. Surtout avec la végétation en pleine forme (nous ne sommes qu'aux prémices du printemps).
Le Rimon.
En approche du centre-ville, un petit détour pour voir l'Yaigne. Et aussi ces mignons petits chatons.
Enfin, Châteaugiron est remarquable pour son artère centrale aux maisons à pans de bois (comme à Rennes).
L'église de Châteaugiron.
Enfin, dirigeons-nous vers le château local, reconverti en hôtel de ville.
Deux tours moyenâgeuses, une chapelle du XIIe, un bâtiment central plutôt Renaissance.
A gauche, la tour de l'Horloge.
A droite, le donjon-poudrière.
Et derrière le château, c'est pas mal non plus !
Il va falloir revenir quand il fera plus beau, incontestablement.
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Nouvelle soirée Temple du Jeu. Déçu de ne pas avoir encore récupéré une boîte de Great Western, je fais une partie de Guilds of London, ma précédente acquisition.
C'est un jeu de majorité, où l'on place des pions sur les différentes tuiles. Quand le nombre requis de pions (en haut à gauche) est atteint, la tuile est activé : le joueur majoritaire gagne la récompense centrale, le deuxième joueur celle du bas.
On place nos pions grâce aux cartes (défausse visible à droite). Celles-ci ont trois fonctions :
- Placer un pion de la réserve générale sur la tuile centrale (le pion devient "actif")
- Déplacer un pion "actif" sur une tuile de même couleur que la carte jouée (bannière)
- Faire l'action spécifique (chaque couleur a une action dominante).
Il y a également une tuile Plantation (sur le plateau de score, à gauche, tuile non visible), avec décompte spécifique.
Évidemment, au début, il faut comprendre l'iconographie, mais on s'y fait rapidement. Et le jeu tourne très bien à 2 joueurs.
La configuration finale, et mon adversaire a très largement gagné : quasiment tous les maîtres de guilde (pions sur tuiles retournées) sont les siens. Comme en plus on marque pour les maître de guilde adjacents, ça fait encore plus. A cela s'ajoute des cartes objectifs, et il a encore bien scoré.
Mais je suis tout de même satisfait de ma partie, plutôt axée plantation.
[Points : 99 – 72]
Durée de la partie : 1 heure 15 minutes
Note personnelle : 8,5/10
Puis, je fait une partie de Barracuda à 4 joueurs, qui reprend le même principe que The Ponzi Scheme (pyramide dépensière), mais ici dans la gestion de bars.
Et je préfère cette version, même s'il m'était difficile d'évaluer tous les tenants et aboutissants. Le principe du partenaire de bar est très bien vu (on paye à l'installation, mais pas les loyers), et j'ai réussi à survivre jusqu'au bout !
[Classement : deuxième]
Durée de la partie : 40 minutes
Note personnelle : 7/10
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Pas loin de la maison familiale, découverte de Saint-Joseph-de-Porterie, ancien village maintenant rattaché à la ville de Nantes.
On traverse d'abord le parc floral de la Beaujoire, bien calme en ce début d'après-midi hivernal.
Un puits bucolique.
Saint-Joseph est devenu célèbre grâce à Barbara et sa chanson Nantes. Une statue positionné dans la rue de la Grange-aux-Loups, mais je vous laisse chercher l'histoire autour de cette chanson.
Les chemins semés de jonquilles se glissent entre les différents lotissements.
Puis on rejoint l'Erdre, à Port-la-Blanche.
Au retour, à mi-chemin, le port des Charrettes, face au château de la Desnerie.
Bonjour les cormorans !
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Profitant de cette douceur estivale pour se promener le long de la côte pornicaise. En plus, il n'y a pas les touristes, donc on en profite davantage.
Pour info, cet aller-retour représente un peu plus de 2 heures de marche.
Et voici une mouette rieuse en période nuptiale. A la belle saison, les plumes noires de la tête disparaissent.
Le port de Pornic, et son château ci-dessous.
Mais aussi, on longe ces carrelets, cabanes de pêcheurs spécifiques de la région nantaise.
Des mouettes en plein toilettage.
Une porte peu commune le long du chemin.
De retour au port, on déguste des chichis en écoutant cet organiste. Les orgues de Barbarie se font rares de nos jours.
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