Continuons à marcher, et sur une hauteur, on voit Paris ! Mais aussi un ouvrage d'art très célèbre.

 

Mais pour y arriver, il faut longer l'aqueduc du Loing et du Lunain.

 

Au moins, on est au vert.

 

Les arches de l'aquedud du Loing.

 

Encore un bout de Bièvre, que j'ai failli rater.

 

Et me voici arriver devant l'aqueduc d'Arcueil-Cachan. Je reviens ci-dessous sur cette superposition d'arches.

 

Mais voyez d'abord ce curieux cadran solaire : ce sont les ombres des deux "oreilles" qui indiquent l'heure !

 

On se sent tout petit, non ?

 

L'aqueduc est en fait constitué de trois ouvrages d'art !

• le premier aqueduc, gallo-romain, dont il ne reste que des ruines visibles, derrière la maison
• le deuxième aqueduc, dit "Médicis", est la partie basse de l'édifice actuel, en pierre blanches. Il faut construit du temps de Louis XII (il y a donc 400 ans), fait 400 mètres de long, 24 mètres de haut, et est composé de 24 arches
• le troisième, au-dessus, dit "de la Vanne", élevé au XIX^ème siècle : 900 mètres de long, 38 mètres de haut, 77 arches.

 

 

Un regard de l'aqueduc Médicis.

 

L'ancienne mairie de Cachan, et l'église Saint-Denys.

 

 

Petit parc surplombant l'église, avec un nymphée.

 

Encore un bout de Bièvre.

J'augmente petite à petit mes durées de marche, et j'atteins ainsi les 4 heures, en longeant la Bièvre en milieu urbain jusqu'aux portes de Paris.

 

Un peu de Coulée Verte pour commencer.

 

Cette allée ombragée permet de longer la Bièvre, et son bassin de retenue d'Antony, réserve biologique régionale.

 

 

Des postes d'observation (enfin des petites ouvertures) m'ont permis de prendre ces photos de cormorans à leur toilette.

 

 

Derrière cette palissade, le bassin de retenue. Et les immeubles montrent bien qu'on est en pleine ville.

 

Puis j'entre dans un parc d'Antony, en longeant d'abord l'étang du Soleil.

 

Où des canards se posent tranquillement.

 

L'entrée du parc (pour moi, sa sortie) et le château Saran (qui accueille l'école de musique).

 

Le dernier ouvrage spécifique à la Bièvre visible jusqu'à ce que la rivière se jette dans Paris : l'ancien moulin d'Antony.

 

En face du château Saran, une belle résidence.

 

Parfois, il faut regarder ses pieds, on manquerait cette plaque.

 

Le parc Marc-Sangnier, bien caché dans les lotissements d'Antony.

 

Un peu de couleur dans le gris citadin.

 

Un parc sauvage mais aménagé à Fresnes, où on retrouve la Bièvre à l'air libre.

 

Les municipalités ont décidé de rendre de plus en plus visible le cours d'eau, merci à elles. Bon, par contre, ça manque d'ombre.

 

Un petit détour par le parc départemental de la roseraie de l'Haÿ-les-Roses.

 

Malheureusement, je n'ai ps le temps de déambuler dans la roseraie, pourtant en pleine floraison :(

 

L'église Saint-Léonard.

 

Comme c'est écrit sur la colonne, cette fontaine du XIX^ème siècle fut érigée par le maire de la commune.

Après la ville, marchons dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye, où les plus larges allées sont souvent dédoublées : une pour les marcheurs (ci-dessus à droite), et une pour les cavaliers (à gauche).

 

Et voici des cavalières en promenade.

 

S'il s'agit surtout d'une forêt de feuillus, il y a aussi des résineux.

 

Une partie très agréable du circuit.

 

Empruntons cette allée droite pour atteindre le pavillon de la Muette.

 

 

Deux signalétiques, une pour les piétons, une pour les cavaliers, et à hauteurs respectives.

 

Le pavillon de la Muette, et sa terrasse sommitale, est actuellement en travaux mais devrait prochainement rouvrir pour accueillir des manifestations culturelles.

 

On part ensuite au sud, franchir le pont des voies du RER, qui servent de voies de garage.

 

Heureusement, on retrouve bien vite la tranquillité de la forêt.

 

 

Petite entorse au circuit du topo-guide, je vais directement tourner à gauche pour rejoindre la gare.

 

Je suis alors la route du Lude...

 

Et vois une dernière fois le pavillon de la Muette.

 

Tiens, encore une allée dédoublée.

 

Sortie de la forêt, je n'ai plus qu'à revenir tranquillement à la gare.

 

Au moins, on ne peut pas se tromper de quai !

Quittons le château, et partons tout droit !

 

Le château dans toute sa majesté.

 

Nous traversons l'ancien parc du château, qui a été mis en lotissement par le banquier Laffitte, qui avait dû ainsi revendre les parcelles du parc pour se renflouer. Et c'est ainsi que Maisons devint Maisons-Laffitte.

 

Un bassin bien protégé.

 

Et je suis cette longue allée, l'avenue Albine.

 

 

 

 

Les tracés des rues signalent bien que nous sommes dans un ancien parc forestier.

 

Pratique pour tenir une plaque de rue !

 

À suivre...

Direction les Yvelines pour découvrir Maisons-Laffitte est déambuler dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye.

 

En sortant de la gare, on sait qu'un arrive dans une ville hippique.

 

L'hôtel de ville de Maisons-Laffitte.

 

Un vieux panneau indicateur, qui porte l'ancienne dénomination du département.

 

Premier arrêt : le château d'époque Classique de Maisons (en cliquant sur l'image, vous lirez mieux le panneau).

 

En arrivant par la cour d'honneur, le château est bien imposant avec sa façade à colonnades et ses deux petites ailes.

Ci-dessous, quelques détails de la façade. Je ne peux pas vous en dire plus, j'ai privilégié la marche à la visite.

 

 

 

 

Contournons le château pour l'étudier sur tous ses côtés.

 

 

Cela permet de voir les douves (mais elles n'ont peut-être jamais eu d'eau) isolant le bâtiment.

 

Puis on peut voir ce qu'il reste du parc du château. (cliquer sur l'image pour mieux lire le texte)

 

La belle symétrie des jardins à la française.

 

 

Oui, il y a aussi un aspect prairie.

 

Et la vue depuis le château (ou sa terrasse, ci-dessous). (Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

 

À suivre...