Dernière soirée à Lisbonne, passé dans un bar à porto, avec une belle décoration intérieure de cave à vin.

 

 

Une assiette à tapas, avec des quartiers de pomme très rafraîchissants.

 

 

Une dernière vue sur la praça da Figueira, avec le château Saint-Georges illuminé.

 

Le lendemain, lever tôt pour prendre notre avion low-cost... qui partira avec 90 minutes de retard. Et puis, il était entièrement composé de retraités de retour d'un voyage culturel, ça faisait bizarre.

On avait commencé la visite de Lisbonne par un musée archéologique (dans l'église des Carmes en ruines), on finit avec un musée original, mais magnifique : le musée des Carrosses, dans l'ancien manège royal (un nouvel espace est en cours de construction, plus moderne, pour y héberger le musée et rendre le manège à son ancienne fonction).

Deux salles (l'une avec des carrosses du XVII^e au XIX^e siècle, l'autre plus petite et des carrosses plus petits (berlines, carrosses pour enfant...) et une galerie supérieure de portraits.

 

La salle principale vue d'en haut.

 

Le carrosse du roi du Portugal João V, lors d'une rencontre avec le pape Clément XI, dont le carrosse, encore plus somptueux, est en-dessous.

 

 

 

 

Le carrosse de Marie-Anne d'Autriche.

 

Le plus vieux carrosse, celui du roi Philippe II.

 

Le carrosse de la reine Elizabeth II, quelques années après le Seconde Guerre Mondiale.

 

Une berline de procession religieuse.

 

Un musée à faire, si vous vous rendez dans la capitale portugaise.

 

Voilà, c'est la fin de journée, il faut rentrer. Depuis l'arrêt de tram, voici le bâtiment du musée. Au fond, on reconnaît la coupole du monastère des Hiéronymites.

Revenus du côté du monastère, nous faisons le tour du Monument des Découvertes, éloge salazariste au passé maritime du Portugal.

 

 

 

Le personnage en tête, avec la Caravelle, est Henri le Navigateur.

 

Vue lointaine sur le monastère des Hiéronymites.

 

Sous l'épée, l'entrée du monument : petit musée et terrasse en haut, mais vu la météo, nous n'avions pas envie (ni le temps) d'y rentrer.

 

Les personnages du côte est (côté centre de Lisbonne).

 

 

Le blason portugais.

 

Une mappemonde en carrelage, avec les principales découvertes des marins portugais.

 

Des calades ondoyantes, en nous dirigeant vers notre dernière visite.

 

On repart maintenant vers l'est et le centre-ville de Lisbonne. Mais auparavant, il y a encore beaucoup de choses à voir à Bélem, notamment le monument des Découvertes.

Mais pour cela, il faut affronter le vent (bien fort), le long du Tage).

 

Au loin (bien loin) passe un voilier.

 

Ça souffle, hein ?

 

Le pont du 25-Avril et, à droite, le Christ-Roi. On ne l'a pas vu (pas le temps), mais il ressemble beaucoup au Christ brésilien.

 

On se retourne vers l'embouchure du Tage, et la tour de Bélem.

Il fait toujours aussi beau, voici donc ma deuxième marche en Hauts-de-Seine de l'année, pour 2 heures de foulées. Départ de la gare RER de Robinson (à droite), remontée vers l'étang Colbert, puis descente dans deux parcs.

 

Y a pas, ma saison préférée est le printemps, avec le radoucissement du temps et le réveil de la nature. Le camping-car ci-dessous peut en témoigner !

 

 

Toujours des arbres en fleur, à l'entrée est du parc Henri-Sellier. Une petite grimpette (on passe à côté d'anciens arbres-guingettes), descente à proximité du Théâtre de Verdure, pour rejoindre l'étang Colbert (comme son nom l'indique, il a été aménagé du temps du Roi-Soleil, aujourd'hui lieu propice pour la pêche).

En cliquant sur l'image de l'étang, vous aurez une vue panoramique du lieu.

 

Direction l'ouest, pour grimper dans la rue du Belvédère. Et voici ce qu'on y voit, juste avant d'entrer dans le bois de la Garenne.

 

Une ancolie des bois.

 

On arrive dans le centre -ville du Plessis-Robinson (ci-dessus le blason de la ville). Et la place du village, l'hôtel de ville dans un ancien château, et surtout l'église Saint-Jean-Baptiste au clocher roman nous font voyager, en tout cas sortir loin de la grisaille parisienne. Jugez-en par vous-mêmes :

 

 

 

 

Mais voilà, les constructions New Urbanism (avec mélange de style), nous font rapidement revenir sur terre.

 

 

 

Le parc du 11-Novembre-1918, à côté de l'hôtel de ville.

 

On traverse le parc Henri-Sellier,

Afin d'embrasser le regard sur le sud (au contre, Orly, avec décollage et atterrissage d'avions.

 

Ca donne envie de flâner, non ?

 

La Tour Robinson, bien caché.

 

Le reste de l'étape consiste à descendre via la parc de la Vallée-aux-Loups jusqu'à l'entrée de la maison de Chateaubriand (non visitée), pour remonter la rue Anatole-France jusqu'à la gare.