Mon frère quittant prochainement Grenoble, c'était la dernière fois que je me rendais chez lui, lors des fêtes de fin d'année. J'en ai donc profité pour prendre des dernières photos de montagne, prises depuis son appartement.

Belledonne

La Chartreuse, et plus précisément

Le Néron

Le mont Rachais (et son ancien fort)

La Bastille (son ancien fort et son télécabine aux cabines rondes, dites "œufs").

Pour finir l'année, nouvelle montée, mais cette fois-ci à une altitude plus basse, dans la vallée de l'Oisans, afin de visiter le village de Besse et ses très belles maisons en pierre.

A droite, l'hôtel où nous prendrons un vin chaud et discuterons longuement avec le tenancier allemand.

A gauche, un écomusée sur le pastoralisme, que nous visiterons. On sera ainsi au chaud pendant une heure ! (-8° ce jour-là; c'est moins froid qu'à l'Aiguille du Midi).

L'église, fermée.

Le soleil passe déjà derrière les montagnes, le crépuscule tombe.

Profitons des dernières lueurs pour nous promener dans le bourg, le long des chemins dégagés.

Voilà, le soir est tombé, on peut rentrer sur Grenoble.

Il fait très beau en ce lendemain de Noël, et on décide de faire 2 heures de route jusqu'à Chamonix, afin de monter sur l'Aiguille du Midi et de profiter de la vue dégagée. Et on en a profité, même si j'ai beaucoup souffert du vertige et que j'avais bien froid (on est presque à 3800 m d'altitude !).

Ci-dessus et ci-dessous, la vallée de Chamonix.

Le glacier des Bossons.

Les Grandes Jorasses (image agrandissable).

Les frères devant les Grandes Jorasses.

Belle vue plongeante sur la vallée.

L'un des chemins d'accès aux nombreuses terrasses.

Le Mont Blanc et plein soleil.

Les Alpes enneigées.

Deux panoramas, agrandissables, aux Grandes Jorasses.

Le pic de l'Aiguille du Midi.

En redescendant, on a tenté de se réchauffer avec un vin chaud et des frites. Mais il a fallu quelques heures avant que mes mains reprennent une couleur convenable.

Descendons maintenant vers la Tage, en empruntant la rua Augusta, dans le quartier très carrée de la Baixa.

Quelques foulards qui sèchent sur les balcons du magasin Pitta.

Des artistes de rue. Je les plains de rester longtemps dans cette position.

Le célèbre tramway 28 de Lisbonne.

L'arc de triomphe, auteur d'un Français, marque l'entrée de la place du Commerce, qui n'a rien en commun avec la place éponyme nantaise.

Voici une grande place carrée, ouverte sur le Tage, ancien siège du palais royal (détruit après le séisme de 1755), où de nombreux ministères ont pris place. En arrière-plan, derrière la statue, on devine le château São Jorge.

L'arc de triomphe, vu cette fois-ci depuis la place.

Partons vers le nord pour découvrir le quartier de Rossio, autour de la gare centrale. Le circuit part des deux places centrales (des Figuiers et Dom Pedro IV), et étudions tout d'abord ce qui nous entoure.

Le chevet de l'église des Carmes.

A l'angle de la praça da Figuieira.

Un métier oublié en France : le cireur de rue.

Vue sur le château São Jorge.

La place Dom Pedro IV, et sa fontaine (au fond, l'ascenseur  Santa Justa et sa terrasse panoramique, et l'église des Carmes).

L'autre côté de la place.

L'entrée de la gare ferroviaire de Rossio, en style néomanuélin.

On fait un aller-retour de la rua das Portas de Santo Antão, qui nous fait passer à côté de grands théâtres lisboètes.

Le premier funiculaire construit à Lisbonne, celui de Lavra.

Un azulejo campagnard.

La place de la Restauration (de la République). Le grand bâtiment est un ancien cinéma, reconverti en logements.

En revenant vers la Baixa, on entre dans l'église Saint-Dominique, victime d'un incendie il y a quelques décennies, donc la décoration intérieure est plus sobre (les piliers du côté droit de la nef sont particulièrement noirs).