• Journée du 20 novembre 2010

    Deux jeux chez Eric et Karine, le premier qui chauffe les neurones, le second qui brûle des maisons. Et tout cela, avec 5 pompiers pyromanes.


    Tout d'abord, voyageons à Norenberc.

     

    01 - Norenberc (mise en place)

    Voilà un jeu qui prend de la place ! Il faut dire qu'étant en configuration maximale, on joue avec les 6 guildes.

     

    Le principe est que nous allons acheter et vendre des ressources auprès des différentes quildes, le cours étant fixé pour le maître de guilde. Les ressources que l'on obtient nous permettent d'essayer de récupérer les blasons des guildes (en étant leur meilleur client, soit en ayant le plus de ressources de la guilde). Ou bien on les utilise pour recruter des artisans (plus on a d'artisans, plus on marque de points en fin de partie) ou des citadins (qui procurent des avantages).

     

    Il y a 4 manches au total, et le nombre d'actions que l'on peut faire par manche dépend du nombre d'agents dont on dispose (les grands meeples). On commence à 4 et on peut aller jusqu'à 8.

    Un tour de jeu consiste à choisir une ou plusieurs guildes dans lesquelles on fera 1 action (acheter des marchandises, vendre des marchandises, recruter un personnage, passer pour mieux se positionner plus tard). Si l'on veut ainsi jouer plusieurs fois sur la même guilde, il vous faudra plusieurs tours d'actions.

    A la fin de chaque manche, le joueur majoritaire en ressources gagne le maître et le blason de la guilde associé. Plus on a de blasons différents, plus on marque de points.

     

    02 - Norenberc (pièces)

    Je ne résiste pas à l'envie de vous montrer le superbe matériel des ressources, à savoir :

    - le chapeau noir

    - le papier blanc

    - le tissu violet

    - la botte marron

    - la brioche rose

    - la pinte orange

    et mes agents jaunes

     

    04 - Norenberc (détail)

    Voici à quoi ressemble une guilde de plus près, de bas en haut :

    - Le magasin de laguilde où sont stockées les marchandises (ici des chapeaux, mais il peut y en avoir d'autres)

    - Les artisans qui deviendront maître de guilde (le plus à droite). La valeur indiquée sur les tuiles indique les prix d'achat et de vente)

    - Le(s) blason(s) à récupérer

    - Les emplacements pour les personnages à recruter (par exemple, l'artisan de la guilde des brasseurs coûte 1 chapeau et 1 autre ressource)

    - Les agents des joueurs ayant déjà joué (les joueurs verts et rouges sont très présents).

     

    03 - Norenberc (manche 1)

    En cours de première manche, Pascal s'interroge sur les actions à faire. Eric, lui, se demande bien ce que Pascal mijote...

    Et vous pouvez voir que la guilde des chapeliers (complètement à gauche) a été très visitée.

     

    05 - Norenberc (manche 3)

    Nous sommes en fin de troisième manche, et Karine et moi-même savons déjà que nous ne sommes plus dans le coup pour la victoire. En ce qui me concerne, je commence même sérieusement à m'emmerder. J'ai en effet fait une mauvaise première manche, et à 5 joueurs, pour ce type de jeu, ça ne pardonne pas.

     

    07 - Norenberc (fin)

    C'est la fin de partie, enfin ! En voyant le peu d'artisans ramassés (regardez la collection de Jean-Luc à droite, et ses blasons récupérés), je ne peux vraiment pas prétendre à grand-chose.

     

    Très déçu, car, après avoir lu les articles de Grunt sur son blog, j'avais vraiment hâte de le découvrir. Mais il faut y jouer à moins de joueurs.

     

    [Points : 41 – 40 – 38 – 17 – 10]

    Durée de la partie : 2 heures 30 minutes

    Joueur Citadins Majorités d'artisans Force des artisans Diversité des artisans Argent Blasons
    Pascal (1) 5 11 / 5 / 20
    Eric (2) / 13 / 5 2 20
    Karine (4) 4 6 / 5 / 2
    Jean-Luc (3) 4 18 / 5 2 9
    Moi (5) 3 2 / 5 / /

    Ensuite, un petit jeu de crasses en tout genre : The Great Fire of London.

     

    08 - The Great Fire of London (début)

    Un feu s'est déclaré dans le centre de Londres et, comme nous sommes à la Renaissance, c'est encore le bois le principal matériau de construction des maisons, donc cela s'embrase rapidement. Et parmi les maisons de toutes les couleurs que vous voyez, il y a les vôtres, ainsi que vos quartiers de prédilection. Si l'un ou l'autre crame, ce sont des points en moins.

    Heureusement, on peu compter sur la milice et les pompiers pour éteindre les foyers les plus dangereux. Mais vos adversaires vous laisseront-ils faire ?

     

    Un jeu très plaisant, mais à la mise en place particulièrement fastidieuse, aux objectifs secrets (maison et quartier), et où les joueurs influent sur le direction du vent, et donc du feu, et du déplacement des pions.

     

    09 - The Great Fire of London (fin)

    En fin de partie, je suis tout heureux de gagner, car Jean-Luc et moi avions un intérêt commun à Tower Bridge, et j'ai éteint le plus grand nombre de foyers.

    Au moins je finis la journée sur une bonne note !

     

    [Points : 35 – 33 – 31 – 31 – 30]

    Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

    Joueur Maisons restantes Quartiers préservés Jetons Foyers éteints Sauveur de la cité
    Pascal (5) 22 4 1 3 /
    Eric (2) 24 4 / 5 /
    Karine (3) 20 6 / 5 /
    Jean-Luc (3) 16 12 / 3 /
    Moi (1) 18 8 1 6 2

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