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Sur les conseils du guide Michelin, nous nous rendons dans le village de Rouffignac (enfin, le bourg de Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac), sous un ciel gris.
J'y ai remarqué ces plaques photographiques montrant le bombardement du village pendant la Seconde Guerre Mondiale, où seule la façade de l'église a tenu debout (pour cet édifice).
Le porche d'accès a pu être conservé, mais l'intérieur a été complètement reconstruit.
Un porche bien décoré, mais est-il en cours de restauration ?
Une sirène, représentation incongrue pour un édifice religieux.
Un des chapiteau de colonne du porche.
Le nef de l'église, avec ses piliers torsadés, et son escalier hélicoïdal pour le tourelle d'accès aux cloches.
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En cette journée pluvieuse (surtout le matin), nous sommes contents de nous mettre à l'abri dans la grotte de Rouffignac. Sachez qu'il faut arriver le plus tôt possible, car aucune réservation n'est possible (ou peut-être des groupes). Comme pour Pech Merle, comme pour Cougnac, pas de photos possibles à l'intérieur, d'où des photos récupérées sur le web (avec précision de la source).
La grotte a toujours été accessible (contrairement à celles que nous avions visités plus tôt), ce qui explique de nombreuses présences humaines.
Par contre, comme les signes rupestres sont à plus de 2 kilomètres de l'entrée, nous prenons un petit train électrique. Le guide peut ainsi expliquer l'origine de la grotte (une ancienne rivière souterraine, asséchée depuis looooongtemps).
Ce fut un lieu très prisés des ours (à la Préhistoire), comme en témoignent ces nombreuses bauges (les couches des ours).
Nous ne verrons pas ce signe tectiforme (car hors circuit et difficile d'accès), tracé aux doigts dans l'argile (remarquez les bourrets finaux) avant fixation.
Rouffignac est la grotte dite des "50 mammouths", comme ici le Patriarche, avec ses longs poils et son regarde espiègle.
Le frise des Dix Mammouths, qui ne s'affrontent pas. si la partie basse n'est plus visible, c'est tout simplement dû au passage du temps (à - long - terme, la frise n'existera plus).
Et surtout, le Grand Plafond. Si nous pouvons le voir debout, c'est parce que le chemin a été creusé. Nos ancêtres étaient couché sur le dos pour dessiner 66 animaux emmêlés, avec plusieurs espèces représentées (mammouths, chevaux, bouquetins, aurochs...)
Les archéologues ont dû éliminer les graffitis-signatures présents pour mieux faire ressortir les animaux. Ce mammouth est magnifique, non ?
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Pendant mes vacances d'automne, ma mère a souhaité faire plusieurs parties des colons de Catane cartes, histoire de bien se remettre dedans. Il y eut des parties sans extension, des parties avec, et pour une finir par une égalité sur le nombre de parties remportées par chacun; par contre je suis devant aux points cumulés (on se console comme on peut).
Pour la première partie (pas de photo), joué avec le jeu de base (on ne retrouvait pas une carte nécessaire pour une extension, qui s'était bien cachée), je me suis imposé 12 – 6. Et pour les parties suivantes, voyez ci-dessous.
Deuxième partie (avec extension)
Ce fut une lutte âpre pour avoir la figurine Moulin (merci au Port, qui m'a permis de la conserver, voir ci-dessous). Mais ma mère s'est imposée -ci-dessus), ayant pu plus "facilement" construire des villes, pour pouvoir poser les cartes rouges.
[Points : 13 – 10]
Troisième partie (avec extension)
Deuxième partie de suite où le gagnant avait le moins de colonies. Pourtant ma mère avait de très bons terrains, bien positionnés (ci-dessus), mais les villes n'ont pas pu être beaucoup construites. Pour ma part, ci-dessous, j'ai parachevé mon œuvre avec la pose d'un canon.
[Points : 13 – 9]
Quatrième partie (sans extension)
Pour une fois, il y eut peu de chevaliers posés (ma mère a conservé la figurine avec un 2/1). Par contre, mon orientation commerciale me permettait de récupérer les minerais manquants pour poser mes développements rouges.
[Points : 12 – 9]
Cinquième partie (avec extension)
Ma mère gagna les deux dernières parties. Pour celle-ci, j'ai bien pesté quand le brigand m'a fait perdre 8 ressources, alors que je m'apprêtais à poser un chevalier pour prendre la figurine. J'ai certes pu la récupérer plus tard, mais trop tard. Ma mère a gagné sur la construction du Colosse de Catane.
[Points : 13 – 10]
Sixième partie (sans extension)
Une victoire sans appel de ma mère, alors que j'avais deux entrepôts fortifiés. Mais j'ai eu relativement peu d'argile au dbut, ce qui m'a ralenti dans mon développement.
[Points : 12 – 7]
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On présente Great Western Trail Nouvelle-Zélande à la compagne de Guillaume, Ericka. Et autant dire que les scores furent très disparates...
Ericka (en blanc) a beaucoup construit (voyez son "HLM") et, pour une fois, j'en ai aussi fait un peu. Des constructions stratégiques pour Guillaume, qui a d'abord navigué, avant d'augmenter la valeur de son cheptel.
Sur la mer, la présence de Guillaume est très forte, Ericka est parti vers l'ouest, et moi au nord. Et oui, j'ai pas mal tondu.
Ce fut en effet mon orientation principale, et je suis personnellement content de valider 5 objectifs, ce qui est plutôt rare.
Cet opus est personnellement mon préféré, probablement par ses différentes orientations permises avec l'ajout de la tonte, la navigation, les cartes supports et bonus, etc.
[Points : 210 – 143 – 104]
Durée de la partie : 3 heures
Note personnelle : 9/10
Joueur Guillaume (1) Ericka (3) Moi (2) Argent 4 0 7 Bâtiments 11 21 9 Livraisons 42 15 39 Ports 32 7 1 Exploration 15 15 13 Dangers + tuiles B 7 21 15 Deck 41 8 30 Objectifs 26 6 17 Capitaines 19 2 / Plateau personnel 13 9 7 Fin de partie / / 5
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Voici une journée bien riche en visite, entre la dernière grotte préhistorique, quelques villages, des découvertes et une maison-forte.
En clair, tout ce qui est punaisé sur cette carte.
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