Fin de la trilogie Millenium avec La reine dans le palais des courants d'air. Du même niveau que les autres, on découvre maintenant la machination qui a fait de Lisbeth Salander ce qu'elle est. Et Mikael Blomkvist a a priori enfin trouvé l'âme sœur. Une bonne lecture de détente.

Pour en finir avec mon périple auvergnat, quelques images prises depuis le train. A vous de deviner à quoi elles correspondent.

Et on finitcette ballade touristique par un monument classé au patrimoine de l'humanité de l'UNESCO : la cathédrale Notre-Dame-du-Puy.


Comme vous pouvez le voir, elle fut bâtie entre le XIe et le XIIe siècle. Mais si les transepts et l'abside ont été construits sur le mont Anis, le reste de l'edifice (sa partie ouest) le fut au-dessus du vide (15 m de dénivellation entre le porche d'entrée et l'arrivée dans la nef). Ceci a donc por effet de grimper un nombre incalculable de marche, et c'est étonnant de rentrer en plein milieu du bâtiment, et de sortir par les transepts (d'où l'expression locale "On entre par le nombril, on sort par les oreilles").


La rue des Tables permet d'accéder au proche ouest de la cathédrale. Quand je me suis promené dans la villes, c'était le moment des préparatifs de la procession de l'Assomption, d'où ces fanions aux couleurs mariales.


L'entrée de la cathédrale, très monumentale.


Cette vue permet de deviner les bâtiments de l'évêché.


Juste avant d'entrer, une petite vision des escaliers.


La rue des Tables depuis le porche.


La nef de la cathédrale.


La célèbre Vierge noire du Puy, promenée lors de la procession du 15 août.

Dirigeons-nous maintenant vers la sortie, et admirons quelques vestiges romains :


Terminons la visite par le magnifique cloître roman du XI^e-XII^e siècle. Et pour commencer, quelques vues d'ensemble.






Détails des arcades et des chapiteaux.






Enfin, la splendide fresque de style byzantin de la salle capitulaire.


Le Puy mérite largement iun détour pour admirer ses richesses, j'en ai bien profité pendant ces 2 jours.

Cette statue de la Vierge et de Jésus bénissant la ville du Puy fut fabriqué à partir des canons pris lors de la bataille de Sébastopol. L'enfant est inhabituellement placé à droite de Marie, pour qu'il puisse bénir la ville sans cacher le visage de sa mère. Une version rapprochée de cette statue, dans laquelle un peut grimper pour avoir un panorama plus élevé sur la région.


Le panorama vaut vraiment le coup d'œil :


Saint-Michel d'Aiguilhe au premier plan et le château de Polignac ensoleillé en arrière-plan.


La cathédrale Notre-Dame.


L'église du Séminaire.

Avant d'observer de plus près les bâtiments ayant fait la renommée de la ville ponote, déambulons dans les vieux quartiers.


Vue sur le mont Anis depuis la place de la Cadelade.


Encore le mont Anis, mais cette fois-ci depuis le musée Crozatier.


La préfecture.


Une rue pavée.


L'entrée du couvent Sainte-Claire.


L'église des Carmes.

Quelques vestiges :





L'hôtel de ville depuis la place du Martouret.

La place du Plot :




La rue Pannessac, se terminant par la tour du même nom, seul vestige des anciens remparts.






Au début de la rue Pannessac, cette sculpture nous rappelle qu'ici débute la Via Podiensis, l'un des principaux chemins de pèlerinage.



Le pensionnat Notre-Dame-de-France depuis la terrasse de mon premier gîte.

Et pour ma dernière nuit, coucher et lever de soleil sur le nord du Puy.