Un voyage dans l'univers de Ken Follett au programme avec les deux jeux adaptés de son roman Les Piliers de la Terre : le jeu de carte à 2 tout récent et le jeu de plateau, avec l'extension.

Commençons donc avec Le duel des bâtisseurs, où j'incarne l'évêque Waleran (construction de la forteresse), et Laurent le prieur Philip (construction de la cathédrale).

Le prieur a gagné au dernier tour, grâce à un jet de sceau favorable, avec l'avantage d'être premier joueur. Si j'étais pourtant bien parti, je n'ai jamais réussi à avoir le bois et la pierre qui me manquait, de même que Laurent n'a pas pu obtenir de métal. Dommage que cela se finisse ainsi, le jeu est pourtant bon.

[Sections terminées : 2 – 1]

Durée de la partie : 60 minutes

Puis la partie sur le jeu de plateau à 4 joueurs.

Belle victoire de la seule fille présente, qui a usé et abusé de son avantage au prieuré (15 pts marqués ainsi). Pour ma part, je n'ai jamais eu de bons artisans, et les métaux que j'avais réussi à glaner tôt dans la partie auront juste été vendu (2 artisans seulement transformait le métal). J'ai quand même pu faire un bon dernier tour à 17 points, ce qui me permet de ne pas être trop ridicule.
Personne n'est allé en France pendant cette partie.

[Points : 51 – 48 – 48 – 43]

Durée de la partie : 100 minutes

C'est la première fois depuis une sortie scolaire au Futuroscope que je vais voir un film avec des lunettes 3D. Vous l'avez compris, j'ai zyeuté L'Âge de glace 3. C'est toujours aussi bon, même s'il n'y a plus vraiment l'effet découverte propore au premier film. Il faut un moment d'adaptation pour vraiment rentrer dans le film, et en plus, j'ai l'impression que Gérard Lanvin a arrêté de doubler Manny.
Je pense que j'apprécierait plus le film en vision normale 2D, mais on ne boude pas son plaisir.

Par avance, désolé pour les photos : elles ont été prises avec mon téléphone portable.

Pour commencer, une bien belle partie de Snow Tails à 5 joueurs, particulièrement semé d'embûches : 2 virages qui se succèdent, une traversée de forêt (ci-dessous), un grand virage à gauche, un autre à droite, un éboulement et l'arrivée.

L'ambiance y était, c'est le principal.
J'ai terminé avant-dernier, ayant dû souvent patienter sur place pour avoir de meilleures cartes.

Durée de la partie : 70 minutes

Puis un Tsuro à 6 joueurs, pour une défaite collective, la seule case libre ayant été inaccessible dès le départ. Mais c'était tendu jusqu'à la fin.

Durée de la partie : 20 minutes

Enfin, la découverte des Piliers de la terre – Le duel des bâtisseurs. Les règles sont assez simples, et on voit bien les dilemmes qui se présentent à la pose des jetons.


Philip l'a emporté devant Waleran; bien qu'il fut mal parti (pas de conflits remportés et beaucoup de sceaux pour l'évêque). Mais un bon alignement des cartes dans le dernier tiers de la partie m'a permis de remonter et de gagner à l'avant-dernier tour. Une très bonne première impression.

Pour le plaisir, une vue de ma construction finale :


[Victoire par construction complète de la cathédrale]

Durée de la partie : 40 minutes

Un après-midi sympathique, rempli de petits jeux assez funs : le jeu du brevet, celui du dictionnaire, Tokyo Train et un proto. Mais au commencement il y eut Dice Town à 5 joueurs, où j'ai été particulièrement mauvais, finissant bon dernier.



[Points : 30 – 23 – 19 – 11 – 10]

Durée de la partie : 50 minutes

Et pour clôturer la journée (en ce qui me concerne) : Darjeeling, également à 5 joueurs.

Une bien belle partie, assez serrée, mais on avait parfois du mal à évaluer quand on avait intérêt à livrer.

[Points : 97 – 78 – 73 – 67 – 63]

Durée de la partie : 60 minutes

Une boucle le long du faubourg Saint-Antoine et de la rue de Cambronne, voilà le plan.

Et les premières cours visitées sont très agréables, soit pour leur intérieur, soit pour leur entrée :








Un rappel pour ceux qui ne le saurait pas : le faubourg Saint-Antoine est réputé pour son artisanat mobilier, ce bas-relief en témoigne :


Un bien bel exemple d'immeuble Art nouveau, très floral :




Une fontaine proche de l'hôpital Saint-Antoine où les pigeons aiment faire trempette :






Dans la rue Faidherbe, la façade de locaux de la RATP, et de vieux scooters :




Le Palais de la Femme, lieu d'hébergement des jeunes filles célibataires :




Un dernier passage pour la route ?