Atlantes et cariatides parisiens

En ligne droite (pratiquement) depuis l'opéra Garnier jusqu'à la place de la République, en remontant les rues du Quatre-Septembre et de Réaumur, cette promenade permet de découvrir de nombreux atlantes et cariatides. Pour rappel, en architecture, ces personnages (respectivement masculins et féminins) plus ou moins dénudés sont des sculptures en soutien de balcon en façade.

Dans la mythologie, les Atlantes sont appariés à Atlas, le Géant qui devait porter le monde sur son dos. Les Cariatides, elles, feraient référence aux femmes de la ville de Carie. Cette dernière s'étant alliée aux Perses, elle perdit contre les autres villes grecques. En représailles, les épouses des guerriers vaincus devaient toujours porter les mêmes vêtements. Et c 'est sûr, que les représentations en pierre, portent toujours la même tunique !

On commence avec les statues du cinéma Opéra.

Premières cariatides rue du Quatre-Septembre.

Le Centorial, ancien siège du Crédit Lyonnais.

Encore des représentations féminines rue du Quatre-Septembre.

On change de rue après avoir dépassé le palais de la Bourse.

On prend la rue (presque) piétonne Léon-Cladel.

Pour aller voir, rue Montmartre, l'ancien siège d'un journal du début du XX^e siècle.

Rue Réaumur, des immeubles d'artistes, semble-t-il, avec ces grandes baies vitrées.

Hommes, ou femmes, à vous de choisir.

Un immeuble à la très belle façade, avec sa grande horloge, mais bien peu profond (3 mètres).

La rue Saint-Martin permet d'accéder au CNAM, et au bout à la porte du même nom.

Des cariatides espiègles.

Et pour finir, l'ange de la capitale.