De nouveau une grande journée ludique, mais cette fois-ci chez Eric et Karine.

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C'est tout d'abord Massilia, un jeu qui a connu moultes péripéties avant d'être édité, je ne reviendrai pas dessus.

Nous sommes des marchands de poissons de l'antiqué cité romaine, qui allons essayé de revendre nos produits aux clients pour engranger des points. Tout en surveillant le consul (pion blanc).

 

Pour cela, un pool de dés est lancé, et on en choisit un pour faire l'action associée :

• acheter des marchandises
• déplacer un personnage (pour vendre si c'est un client, pour ralentir ses adversaires avec les autres pions)
• acheter une carte dieu
• marquer des points.

Cela rappelle un peu Troyes, mais le jeu a du mal à tourner, car il est très agressif, et il est très dur de développer un moteur monétaire. En plus, acheter une carte coûte très cher, la corruption est plus qu'indispensable (on s'affranchit des couleurs ou valeurs des dés), et c'est long.

 

Nous avons arrêté après 3 tours, n'ayant pas du tout envie d'aller plus loin. Il y a de l'idée, mais le jeu est bien trop agressif, même à son corps défendant.

 

[Scores indicatifs après 3 tours sur 5 : 18 – 14 – 12 – 11]

Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

Note personnelle : 4/10

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Pour se détendre, on fait une partie de Colt Express, et son train en 3D.

 

Nous incarnons des bandits qui attaquons ce convoi, le but étant d'être le plus riche : on dépouille les passagers, on tabasse ses adversaires, on essaye d'anticiper les mouvements des autres joueurs. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire, je l'ai bien senti !

 

Je termine pitoyablement dernier, Eric étant l'as de la gâchette (il faut dire aussi que je me suis pris 4 balles en un tour de jeu !). Mais c'est très fun !

 

[Scores non notés]

Durée de la partie : 50 minutes

Note personnelle : 8/10

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Une nouvelle partie de Deus, mais cette fois-ci à quatre joueurs.

 

Karine a certes fortement développé le militaire et le commerce, mais sans temple, c'est dur de rivaliser.

 

Développement relativement équilibré d'Eric, qui s'impose d'une courte tête.

 

Pierre a bien lutté avec ses cartes brunes et rouges, mais ce ne fut pas suffisant.

 

Pour ma part, j'ai sûrement trop bloqué des temples dans ma main pour bien optimiser mes cartes.

 

Les placements des bâtiments.

 

[Points : 45 – 44 – 29 – 28]

Durée de la partie : 1 heure 10 minutes

Note personnelle : 8/10

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On fait une ensuite une partie de Vérone, un jeu dans le style de Love Letters ou Complots : un jeu de bluff rapide. Sauf que là, ça ne marche pas.

Cela reproduit la guerre entre les Montaigu et les Capulet. On dispose d'une main de trois cartes (personnages ou objectifs), et on en pose une chacun son tour, à gauche ou à droite. Une fois notre carte posée, on peut placer un jeton sur un objectif, pour marquer des points s'il se réalise.

Et bien, autant dire, qu'on a aucun contrôle sur le jeu, et encore mieux en jouant avec les poisons (qui font annuler un objectif en le retirant en fin de partie). 3 cartes, c'est peu pour avoir des infos, il n'y a pas assez de renouvellement (1 seule carte écartée), et autant jouer au pif. Seul Eric a trouvé de l'intérêt au jeu.

 

[Scores non notés]

Durée de la partie : 20 minutes (2 manches)

Note personnelle : 3/10