• Du tourisme

    Mes promenades et visites, à Paris et ailleurs. C'est tout simple, mais c'est déjà bien.

  • Le ciel est dégagé pour ce premier jour de 2024, j'en profite pour faire une petite marche autour du Saint-Just-d'Avray, dans les monts du Beaujolais.

     

    Saint-Just-d'Avray

    Le bourg est sur sa colline, d'où on a une belle vue sur les hameaux environnants.

     

    Crêt Neiry

    Le Crêt Neiry qui culmine à 713 mètres. Et vous pouvez voir la petite chapelle du hameau de Saint-Maurice (prise de plus près ci-dessous).

    Chapelle de Saint-Maurice

     

    Campagne du Beaujolais

    La vallée d'Avray, ses étangs, ses prés bordées de haies.

     

    Sous Saint-Just-d'Avray

    Il est temps de monter au bourg, d'où émerge l'église.

     

    Montée dans un bois

    J'emprunte cette piste forestière (heureusement pas trop humide)...

     

    Vallée d'Avray

    ... ce qui permet d'avoir une vue ensoleillée de la vallée.

     

    Période de fête

    J'arrive derrière l'église, et on voit bien que c'est la période des fêtes.

     

    Église de Saint-Just-d'Avray

    L'église de Saint-Just-d'Avray, originaire du XVIe siècle, mais remaniée probablement dans les siècles suivants.

     

    Nef de l'église

    La nef et la chaire du prêtre.

    Chaire

     

     

    Maisons de Saint-Just

    Les maisons en pierre du Beaujolais, sur la place de l'église.

     

    Panorama du bourg

    Vue sur Saint-Just et son environnement.

     

    Maisons de Saint-Just

    Une petite impasse du bourg.

     

    Crêt Neiry et château de la Valsonnière

    Une dernière vue sur le Crêt Neiry avec au premier plan, le château de la Valsonnière.

     

    Saint-Maurice

    Quelques hameaux profitent du soleil.

     

    Vallée d'Avray

    Les monts du Beaujolais, au nord de Saint-Just-d'Avray.


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  • Traversons le cours des Cinquante-Otages pour faire la partie occidentale du parcours.

    La nuit je vois (le cerf)

     

    Un autre des réverbères colorées, en bord de la rue Crébillon, qui permet d'explorer la rue Contrescarpe.

    La nuit je vois (rue Contrescarpe)

     

    La nuit je vois (rue Contrescarpe)

     

    La nuit je vois (rue Contrescarpe)

     

    La nuit je vois (rue Contrescarpe)

     

    La nuit je vois (rue Contrescarpe)

     

    Petite montée par la rue du Calvaire :

    La nuit je vois (rue du Calvaire)

     

    La nuit je vois (rue du Calvaire)

     

    La nuit je vois (rue du Calvaire)

     

    La nuit je vois (rue du Calvaire)

     

    Le réverbère de la rue Boileau :

    La nuit je vois (rue Boileau)

     

    Et on atteint la place Graslin :

    Place Graslin

     

    Place Graslin

     

    La nuit je vois (place Graslin)

     

    Il est temps de renter, par la rue du Couëdic, en s'effarant devant la longue queue d'entrée à l'Entrecôte :

    La nuit je vois (rue du Couëdic)

     

    La nuit je vois (rue du Couëdic)

     

    Vous vous souvenez des décors style papier mâché, vu de jour dans l'article précédent ? Voilà à quoi cela ressemble la nuit !

    La nuit je vois (allée Flesselles)

     

    La nuit je vois (allée Flesselles)

     


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  • Vous connaissez "le Voyage à Nantes", un parcours de déambulation dans le centre historique avec de l'art contemporain. Il y a maintenant sa déclinaison hivernale, moins fournie mais tout aussi intéressante.

     

    En cette fin de journée, nous nous rendons d'abord au pied des douves du château des ducs de Bretagne, découvrir les nouvelles cloches de l'abbaye de Fontevraud (enfin, les quatre premières fabriquées, il en manque encore deux).

    Les cloches dans les douves

     

    De gauche à droite, je vous présente...

    Richard

    Richard

     

    Pétronille

    Pétronille

     

    Aliénor

    Aliénor

     

    Gabrielle

    Gabrielle

     

    Avant le spectacle sonore

    Les lumières sont allumées, le spectacle va commencer !

     

    Et ce qui sert de fil conducteur, ce sont des décors inspirés des décors Nantais, réalisés en tissu selon une technique japonaise par l'artiste Vincent Olinet : "La nuit je vois".

    Décor de "la nuit je vois"

    De jour, c'est coloré mais finalement peu lisible.

     

    La nuit je vois (château des ducs)

    Mais dès que l'éclairage est allumé, cela prend une toute autre dimension. Arpentons les différentes rues du centre ville.

     

    La rue de Verdun :

    La nuit je vois (rue de Verdun)

     

    La nuit je vois (rue de Verdun)

     

    La nuit je vois (rue de Verdun)

     

    La nuit je vois (rue de Verdun)

     

    La nuit je vois (rue de Verdun)

     

    La place du Pilori :

    La nuit je vois (place du Pilori)

     

    La nuit je vois (place du Pilori)

     

    La nuit je vois (place du Pilori)

     

    La nuit je vois (place du Pilori)

     

    La nuit je vois (place du Pilori)

     

    La nuit je vois (place du Pilori)

     

    La place du Change :

    La nuit je vois (place du Change)

     

    La nuit je vois (place du Change)

     

    La nuit je vois (place du Change)

     

    Église Sainte-Croix

    L'éclairage du beffroi de l'église Sainte-Croix.

     

    La rue des Trois-Croissants :

    La nuit je vois (rue des Trois-Croissants)

     

    La nuit je vois (rue des Trois-Croissants)

     


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  • Nous pouvons maintenant emprunter l'escalier d"honneur pour aller à l'étage.

    Escalier d'honneur

     

    En haut de l'escalier, on peut observer différents groupes de putti au travail dans plusieurs disciplines.

    Putti de l'escalier d'honneur

     

    Putti de l'escalier d'honneur

     

    Putti de l'escalier d'honneur

     

    Putti de l'escalier d'honneur

     

    Coupole de l'escalier d'honneur

    Depuis le palier de l'escalier, la plafond est une coupole bien lumineuse.

     

    Vue sur le jardin

    Voici ce qu'il reste du parc-jardin du château, en cours de réaménagement. Comme vous pouvez le constater, c'est une vue aussi vers Paris, avec les immeubles du quartier de la Défense.

    Chambre Laffitte

    Le banquier Laffitte, qui avait racheté le domaine au XIXe siècle, a restauré une chambre, en style Empire. Mais il devra revendre le domaine par lots suite à des déboires financiers.

     

    Chambre Laffitte

    La grande salle (notamment de bal), avec de large peintures, la galerie des musiciens (visible sur la photo ci-dessous), et une balustrade séparant la salle de l'antichambre.

    Grande salle

     

    Portrait de Louis XIV

    Un portrait de Louis XIV, inspiré d'un célèbre tableau, orne la grande cheminée.

     

    La dernière pièce visitée est un cabinet à l'italienne (le plafond est en forme de coupole).

    Cabinet à l'italienne

     

    Cabinet à l'italienne

    Un meuble-secrétaire et une représentation de Jésus chassant les marchands du Temple.

     

    Et côtoyant ce cabinet, une petite pièce plus intimistes, dite "cabinet aux miroirs".

    Cabinet aux miroirs

     

    Cabinet aux miroirs

     


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  • Au printemps, j'avais fait une belle marche de 3 heures à Maisons-Laffitte, découvrant le château (et son extérieur), l'ancien parc, maintenant loti, et dans la forêt de Saint-Germain. En cette fin octobre, je visite le château avec ma mère.

    Le château de Longueil

    Il ne reste du château que le bâtiment principal, à droite sur cette maquette. Celle-ci doit représenter le domaine pour son premier propriétaire, les Longueil, au XVIIe et XVIIIe siècle.

     

    Cabinet de travail de Longueil

    Quelques meubles du cabinet de travail (et un portrait du Louis XIII) de Longueil, et son plafond en caissons.

    Plafond du cabinet de travail

     

     

    Chambre des Captifs

    La très belle cheminée de la chambre des Captifs, dont vous pouvez étudier les détails ci-dessous.

    Frise de la cheminée

     

    Médaillon de la cheminée

    Avec encore un médaillon de Louis XIII.

     

    Le pièce la plus majestueuse, et le vestibule d'honneur, pièce d'entrée dans le château.

    Vestibule d'honneur

     

    Armes parlantes

    Un aigle qui fait le fier, est un rébus, ou plutôt une "arme parlante" (arme au sens d'armoirie) : son œil est allongé, "long-œil" = "Longueil".

    Les tympans des quatre côtés du vestibule incarne les 4 éléments fondamentaux, représentés par des dieux romains. Je vous nomme le dieu, à vous de retrouver l'élément associé.

    Jupiter (le feu)

    Jupiter

     

    Junon (l'air)

    Junon

     

    Neptune (l'eau)

    Neptune

     

    Cybèle (la terre)

    Cybèle

     

    Salle au stuc

    Un salon cosy, ou salle du stuc.

     

    Salle à manger du comte d'Artois

    La salle à manger du comte d'Artois, assez froide.

     

    Décor de la cheminée de la salle à manger

    Un décor de cheminée évidemment fastueux, et quatre statues de déesse incarnant les quatre saisons.

     

    L'hiver

    L'hiver

     

    Le printemps

    Le printemps

     

    L'été

    L'été

     

    L'automne

    L'automne


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