• Dernière visite du Périgord, le site troglodytique de la Roque-Saint-Christophe.

     

    Falaise de la Roque-Saint-Christophe

    Il s'agit d'un ancien village médiéval, on vivait plus de 1 000 personnes à son apogée, qui s'est aidé des différentes anfractuosités de cette falaise pour y vivre.

     

    La Roque-Saint-Christophe

    Le gros du village vivait le long de cette grande terrasse de 700 mètres de long. Il y a 5 niveaux (la hiérarchie sociale suivant), les autres étant peu visibles sur ces photos, car cachés à gauche. Au total, le village s'étendait sur 1 km de long.

     

    Au niveau de l'église

    Zoomons sur l'emplacement de l'église, avec la reconstitution de la cloche, et l'empreinte de la nef, dont le plafond a été creusé dans la roche.

    Voyons d'abord différents lieux de travail et de vie de la première partie, quand on visite les différents niveaux.

    Étable

    Voici l'étable, où les ficelles indiquent où les bêtes étaient attachées.

    Abattoir

    L'abattoir , avec l'évier au fond, le recueil des graisses au sol, un établi...

     

    Séchoir à viandes

    Le séchoir, où les viandes étaient accrochées au plafond.

     

    Montée d'étage

    Les escaliers creusés (et d(origine) permettent d'accéder au différents niveaux. Et pour vous situer, vous avez :

    • En bas à gauche : l'étable
    • En bas à droite : l'abattoir
    • Au milieu de l'image : le séchoir.

     

    Étage du village

    Un niveau-étage du site, avec les traces d'aménagements.

     

    Coffre-fort

    Tiens, un ancien coffre-fort !

     

    La Vézère

    En-dessous coule la Vézère.

     

    La grande terrasse

    La grande terrasse et la vallée de la Vézère.

     

    Escalier

    Un escalier de communication entre niveaux.

     

    Vallée de la Vézère

    La vallée de la Vézère.

     

    Grand escalier

    Le grand escalier monolithique de plus de trente marches.

     

    Cusiines

    La cuisine en plein air reconstituée.

     

    Mur médiéval

    Voici à coin ressemblait les murs des maisons au Moyen-Âge (vers le XIVe siècle, si je me souviens bien).

     

    La Vézère

    Quelques touristes dans leurs canoës sur la Vézère.


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  • En sortant de la salle des États, on emprunte un escalier Renaissance, sous une voûte en palmier.

    L'escalier Renaissance

     

    Voûte de l'escalier

     

    Les personnes que vous apercevez cherchent à entrer sur le seuil du salon aux boiseries, beaucoup décoré, mais dont, f'une certaine manière, on ne voit pas grand-chose.

    Salon aux boiseries

     

    Plafond du salon

     

    Il faut encore monter tout en haut, sur la terrasse du donjon, dominant de 150 mètres la vallée.

    En haut du donjon

    De quoi avoir le vertige.

     

    La Dordogne

    Les canoës sont tout petits en contrebas.

     

    Terrasse de l'éperon

    La terrasse triangulaire.

     

    Sur la terrasse

    Un jeune homme est encore moins à l'aise, déjà que je ne fais pas le fier !

     

    Église Notre-Dame

    Quelques vue de l'église Notre-Dame, et la vallée de la Dordogne en aval.

    Église Notre-Dame

     

    Panorama à l'église

     

     

    Chambre de Richard Cœur de Lion

    La chambre dite de Richard Cœur-de-Lion, tout en haut du donjon.

     

    Dans la cour intérieure

    On redescend, passons dans une cour intérieure, puis sous l'escalier Renaissance...

     

    Cuisines

    ..pour voir la dernière pièce très bien reconstituée : les cuisines. On est bien dans l'ambiance, avec le sol en pisé, comme pour la salle des gardes.

    Cuisines

     

     

    Depuis la barbacane

    On ressort à l'air libre par une petite barbacane.

     

    La basse-cour

    Et ous voici de retour dans la basse-cour (en expo sur Aliénor et son fils Richard se tenait dans le grand bâtiment).

     

    Le château depuis la basse-cour

    Un château toujours aussi impressionnant.

     

    Et pour terminer le château vu depuis le haut de Beynac.

    Beynac

     

    Le château

     

    Le château

     


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  • Nous allons maintenant entrer dans le château... après avoir un peu attendu pour prendre le billet.

    Entrée du château

     

    Le logis

    En écoutant l'audioguide sur le smartphone sur l'histoire du château, on peut l'observer avec ses tourelles, ses fenêtres à meneaux, ses latrines...

    Sous le logis

     

    Enceinte du château

    Mais il est temps de franchir la deuxième enceinte.

     

    Accès à l'église depuis le château

    L'église Notre-Dame, et son accès pour les châtelains (derrière la porte en bois, là où l'on voit le retable).

     

    Vallée de la Dordogne

    Toujours la vallée de la Dordogne (le ciel s'était un peu obscurci), et les quatre châteaux à épier/observer.

     

    Bâti sur le rocher

    Où l'on se rend compte que le château et construit à même la roche.

     

    Le château depuis la terrasse

    Une autre vue du château, depuis la terrasse. Entrons nous mettre à l'abri.

     

    Salle des gardes

    On arrive dans la salle des gardes, bien plus sombre en réalité (c'est voulu) avec au fond les écuries (où la roche affleure).

    Écuries

     

     

    Escalier en colimaçon

    Un escalier en colimaçon étroit, tournant vers la droite, donc gênant l'assaillant s'il doit combattre (l'épée se porte à droite).

     

    Maquette du château

    Dans une autre pièce du rez-de-chaussée (au sol en pisé), une maquette du château.

     

    Coussièges

    Une pièce de vie, comme le montre ces larges ouvertures, et les coussièges.

     

    À l'étage, la grande salle en voûte de bateau, où se tenait il y a quelques siècles les États du Périgord.

    Salle des États du Périgord

     

    Salle des États du Périgord

     

     

    Cheminée dans la salle

    Le cheminée subsistante de la salle et, en face, les peintures (un peu naïves) de l'oratoire (ci-dessous).

    Peintures de l'oratoire

    Des (s)cènes de la vie du Christ, évidemment.

     


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  • Et voyons maintenant les parties de la nuit, bien plus légères.


    Une partie de Très futé, avec de forts taux de remplissage des sections jaune et bleue par chaque joueur.

    Très futé

    Voici ma fiche de cette partie, avec une section violette un peu pâlichonne. Mais je n'étais pas le pire.

     

    [Points : 267 – 244 – 196]

    Durée de la partie : 30 minutes

    Note personnelle : 8/10

    Joueur Manu (3) Éric (1) Moi (2)
    Section jaune 60 60 60
    Section bleue 46 37 46
    Section verte 36 36 28
    Section orange 24 34 30
    Section violette 10 25 16
    Renards 20 75 64

    Éric nous présente ensuite Faraway.

    Faraway

    Chaque joueur pose une série 8 cartes, l'une après l'autre (on a une main de trois cartes, on en choisit, et un ordre d'initiative indique comment les joueurs complètent leur main dans un étalage). Jusqu'à là, pas beaucoup d'originalité. Sauf que les cartes seront décomptés dans l'ordre inverse de pose, notamment pour vérifier que les conditions sont remplis. Donc plus une carte de décompte est posé tardivement, moins il y a de chance qu'elle score. Il y a d'autres subtilités (les cartes Sanctuaire), mais que je ne développe pas ici.

    Un petit jeu sympa, qui reste bien sûr sensible aux différentes pioches.

     

    [Points : 79 – 64 – 57]

    Durée de la partie : 20 minutes

    Note personnelle : 7/10


    On enchaîne avec Cat in the Box, un jeu de pari sur le nombre de plis faits dans une manche. Mais ce sont les joueurs qui détermineront la couleur des cartes qu'ils joueront. Chaque couple valeur/couleur ne pouvant être appliqué qu'une fois, il peut arriver qu'un joueur ne puisse jouer de cartes, ce qui crée un paradoxe.

     

    Cat in the Box

    Et pour la dernière manche (ci-dessus), tout le tableau, donc il n'y a pas eu de paradoxe.

    Un jeu bien malin, mais que je préfère à plus de joueurs, je l'estime alors bien plus amusant.

     

    [Points : 8 – 3 – 3]

    Durée de la partie : 30 minutes

    Note personnelle : 7/10


    Manu nous présente deux petits jeux.

    Pour Town 77, il s'agit de poser des tuiles dans un carré virtuel 7x7, en commençant en haut à gauche, les tuiles devant se toucher. Il est interdit d'avoir la même forme ou la même couleur dans une ligne ou une colonne.

    Après avoir posé on tuile, on peut décider de réduire sa main d'une tuile (on commence avec 4), le vainqueur étant celui qui a le moins de tuiles en main lorsque la partie est terminée. Et voici à quoi ressemblait la ville quand on n'a plus pu jouer.

    Town 77

    J'ai été le premier éliminé, alors que j'avais encore 2 tuiles en main.

    Un bon petit jeu japonais.

     

    Durée de la partie : 20 minutes

    Note personnelle : 7/10


    Puis c'est Patronize, un autre jeu de plis.

     

    Patronize

    7 plis à faire, mais chaque n'a que 5 manches. On doit donc passer 2 fois, l'occasion de voler des cartes aux adversaires. Mouais.

    7 cartes, c'est bien court pour faire des stratégies efficaces de récolte de cubes, et le jeu n'est guère passionnant (il faut passer le plus tard possible).

     

    [Points : 57 – 49 – 48]

    Durée de la partie : 40 minutes

    Note personnelle : 5/10


    Enfin, pendant que Manu ferme ses yeux, Éric et moi en profitons pour découvrir Sky Team, un jeu coopératif spécifiquement pour 2 joueurs.

     

    Sky Team

    Nous sommes les pilote et copilote d'un avion en phase d'atterrissage, et il faut coordonner nos dés pour que tu se passe bien :

    • dégager le ciel des autres avions afin de bien s'approcher de l'éaroport
    • sortir les volets et les trains d'atterrissage
    • baisser progressivement notre vitesse
    • maintenir notre assiette (ce que nous n'avons pas pu faire).

     

    Un jeu bien malin, et pas facile (car évidemment on ne connaît pas les valeurs de notre partenaire). Et encore, ce n'était que l'aéroport d'apprentissage !

     

    [Défaite]

    Note personnelle : 1 heure

    Note personnelle : 8,5/10


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  • La traditionnelle manifestation ludique de la ludothèque de Saint-Leu (pour celle dont j'ai connaissance) avait lieu le week-end du 11-Novembre, c'est parti pour 16 heures de jeu non-stop !

    Et ce fut l'occasion de pas mal de découvertes.


    Commençons avec Intrigue City.

     

    Intrigue City (plateau central)

    Chaque joueur dispose d'un plateau avec une table hexagonale, chaque quartier symbolisant une guilde dont a veut s'attirer les faveurs. Pour cela, on doit atteindre exactement 6 points d'influence avec les cubes. Ceci occasionne un équilibre récompensé par une carte de guilde au bout de deux tours de jeu, cartes que l'on s'efforcera de valoriser.

    À chaque tour de jeu, et selon le principe de la piste de temps d'Olympos, chaque joueur fera deux actions parmi les 9 possibles (visibles sur la photo ci-dessus), qui permette d'ajouter/déplacer/enlever des cubes. Une action sera faite pour soit, l'autre action sur le plateau d'un adversaire.

     

    Intrigue City (en cours)

    Vous avez donc compris que c'était un jeu très interactif, avec une bonne dose de "Pan dans ta face", ce qui ne fait pas partie des mécanismes ludiques que je préfère. Mais on se laisse quand même prendre au jeu, car on peut voir qu'on peut s'en sortir. Mais cela ne se découvre qu'après pas mal de pratique, ce que je ne ferai pas.

     

    Intrigue City (fin)

    Décompte final, avec deux groupes de joueurs. Vous pouvez ainsi voir les actions bénéfiques et agressives faites.

     

    Intrigue City (mon plateau)

    Mon plateau final, avec un équilibre réalisé (guilde bleue).

     

    [Points : 74 – 73 – 62 – 61]

    Durée de la partie : 2 heures

    Note personnelle : 5/10


    Nous enchaînons avec une partie d'Evergreen.

     

    Evergreen

    Il s'agit de développer les pousse d'arbres sur notre planète, en sélectionnant des cartes qui nous ferons agir dans une région spécifique. Le nombre d'actions diminuant avec les manches, il s'agit d'être efficace !

    À chaque fin de manche, le soleil éclaire les arbres, et il vaut mieux ne pas créer trop d'ombre (cela rappelle un peu Photosynthesis).

    Une décompte final a lieu en fin de partie, pour récompenser les grands arbres dans chaque région (ou pas, selon les cartes d'action non prises).

    Un jeu "familial+" bien malin.

     

    Evergreen (mon plateau)

    Mon plateau personnel, avec des arbres disposé en losange, pour bénéficier au maximum de chaque ensoleillement.

     

    [Points : 155 – 151 – 138 – 100]

    Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

    Note personnelle : 8/10


    Le gros jeu pratiqué fut Nucleum.

     

    Nucleum (en cours)

    On y développe un réseau industriel (avec des rails, des bâtiments à alimenter, et des objectifs à réaliser), qui mélange Barrage (chaque joueur à des technologies qui lui sont propres) et Brass (pour la constitution du réseau et l'alimentation des centrales et bâtiments), et Great Western Trail, lorsque l'on fait un rafraîchissement de ses actions (avec la piste aux étoiles complètement à gauche).

    Il y a beaucoup d'icônes partout, ça peut donc faire peur, mais c'est finalement bien fluide, car on réalise deux actions par tour parmi : acquérir de nouvelles tuiles d'actions, construire des bâtiments, construire des sites, sélection des contrats, alimenter ses bâtiments.

     

    Nucleum (fin)

    La photo finale, où nous n'aurons pas vraiment coopéré pour faire le réseau : je me suis implanté au nord-ouest, Manu au sud-ouest et Éric à l'est.

     

    Nucleum (mon plateau)

    Mon plateau personnel, avec presque toutes mes technologies débloqués, des revenus bien développé, beaucoup de bâtiments construits. Merci Manu d'avoir prolongé le plaisir !

     

    Un bon jeu industriel, clairement mais un peu trop encombrant pour rejoindre ma ludothèque.

     

    [Points : 239 – 197 – 119]

    Durée de la partie : 3 heures

    Note personnelle : 8,5/10


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