Comme chaque année Nantes invite tout le monde à découvrir la ville à travers des installations d'art contemporain. Et il y en a pour tous les goûts.

Par exemple, cette végétation luxuriante, au fond d'un passage, derrière le beffroi de l'église Sainte-Croix. Avec des plantes peu communes de nos latitudes.

 

 

 

 

 

Patrick Ramette est l'invité de la manifestation cette année, et différentes sculptures, éloge d'attitude de la vie contemporaine, émaillent le parcours. En voici deux exemples (le deuxième dans la cour du château des ducs).

 

 

Puis, dans le Jardin des plantes, on découvre de nouvelles œuvres de Johann Le Guillerm, comme les Surgissantes : il faut pomper pour voir apparaître d'étranges fleurs dans le bassin.

 

 

Un lieu a priori moins gai : le cimetière de la Bouteillerie, qui s'étend sur 6 hectares. Mais Gaëlle Le Guillou en a fait un parcours interprétatif, très émouvant, dans ce cimetière réapproprié par les habitants du coin (vivants, eux !).

Derrière cette tombe à l'ange, la tombe en forme de chapelle contient la dépouille d'un religieux important (dont j'ai oublié le nom et la fonction...) à Nantes.

 

L'ossuaire, sur lesquelles sont posés d'anciennes couronnes en céramique, et des plantations de joubarbe, notamment. Très poétique.

 

 

Une tombe bien coloré, en l'honneur du créateur du Manège enchanté Serge Danot.

Juste à côté le cimetière militaire de 1914-1918, où repos(ai)ent des soldats français, arabes, anglais, allemands, etc.

 

Allée dite "des chapelles", comme ci-dessous.

 

 

 

Avant de quitter le cimetière, une sculpture très émouvante sur la perte d'un enfant.

 

Voici enfin deux fleurons architecturaux de la plus grande ville bretonne : la porte Saint-Pierre.

 

Et la place Foch, avec la statue de Louis XVI.