Une autre randonnée reposante aujourd'hui, avec 3 heures de marches (aller-retour) sur piste forestière en forêt.

Objectif : rejoindre le lac de Gers. La majeure partie de la montée, se fait au départ, jusqu'à rejoindre le Roux (premier changement de vallée). Difficile au démarrage, mais bien cool ensuite.

 

Le lieudit le Roux.

 

La piste forestière, suivie jusqu'au lac.

 

De temps en temps, la vue se dégage sur la vallée (ci-dessous la montagne du Criou, au-dessus de Samoëns).

 

Arrivée aux chalets de Porte. On sait que la dernière étape se fera au soleil.

 

On sort de la forêt, il faut maintenant aller jusqu'au hameau de Gers, où se trouve un refuge.

 

Arrivé au refuge, on se pose pour siroter un coup, avec vue sur le lac (image agrandie en cliquant dessus).

 

Sur notre droite (à l'ouest), les Frêtes de Gers (image agrandie en cliquant dessus).

 

On reprend maintenant le chemin de l'aller, pour revenir tranquillement à la voiture.

Aujourd'hui, c'est une petite marche (45 minutes de montée, 1 heure de descente, dont 30 minutes sur route), au nord de Samoëns. Mais comme vous allez le voir, cela valait le déplacement.

Le profil de l'étape.

 

On se gare un peu avant le parking du lac : moins de monde, et c'est bien plus sympa. Au moins, on voit directement l'objectif.

 

Le lac de Joux-Plane.

 

On arrive au col de Joux-Plane (10 minutes de marche tranquille, avant de vraiment monter sur la crête). Je prends cette photo de la pointe d'Angolon et du lac de Nyon, début du massif du Chablais (autour de Morzine-Avoriaz).

 

Et voilà ce qui valait le déplacement : la vue perpétuelle et superbement dégagé (pas un nuage aujourd'hui) sur le Mont-Blanc.

Le lac de Joux-Plane et le Mont-Blanc.

 

Le Mont-Blanc dans toute sa splendeur.

 

On approche du sommet, et une chèvre prend un petit bain de soleil.

 

Arrivée à destination (le télésiège indique qu'on est sur le domaine skiable des Gets), on croise un troupeau de chèvres.

 

Voilà notre récompense : se faire prendre en photo avec le Mont-Blanc en toile de fond. On va se poser pendant au moins une demi-heure, sans se lasser.

 

Bon, il y a aussi la contrepartie : ce chevreau me lèchera les jambes pendant au moins 10 minutes !

 

Il fait chaud, les animaux aussi recherchent la fraîcheur et l'ombre.

 

Que dire d'autre, sinon d'admirer la vue ?

 

La chaîne du Mont-Blanc et, en plein centre de la photo, l'Aiguille du Midi.

 

Le panorama depuis là-haut; à côté, le Chablais semble bien fade (pas de panorama fixe, uniquement une vidéo, non postable sur mon site, désolé). Vous pouvez encore mieux étudier l'image en cliquant sur la photo.

 

Mais il faut déjà penser à redescendre vers le lac.

Une descente rapide en forêt, avant de rejoindre la route.

Et la vue depuis la route est tout aussi belle (cliquez sur l'image pour l'agrandir).

 

On contourne le lac (et traversons un troupeau de vaches).

 

Avant de revenir à la voiture (image agrandie en cliquant dessus).

Une très belle marche, vraiment.

En suivant la route vers Genève, on a le temps de faire un (rapide) tour du petit bourg médiéval d'Yvoire.

 

Le bourg en tant que tel est complètement piétonnier, on a réussi à se garer dans le parking le plus proche. Ensuite on s'approche, et on a un beau décor de carte postale.

 

La porte de Rovorée, juste en face de la mairie. Et bien sûr, qui dit bourg médiéval, dit maisons en pierre.

 

L'église Saint-Pancrace.

 

A côté de l'église, la place du Thay.

 

Le château d'Yvoire, malheureusement domaine privé.

 

La rue des Bopulangers. Ci-dessus le côté gauche (en remontant), ci-dessous le côté droit.

 

Nous nous sommes attablés à un café (où le personnel n'était vraiment pas pressé, je pourrai raconter plusieurs anecdotes). En face, j'ai repéré cette gravure sur un escalier.

 

Mais il faut déjà partir pour Genève (la traversée en voiture, quelle galère !), puis nous rentrons, ma mère et moi à notre gîte pour finir la semaine.

Nous poursuivons le voyage et arrivons à trouver à nous garer à Thonon-les-Bains pour pique-niquer et contempler la vue, magnifique, sur le lac Léman.

N'hésitez pas à cliquer sur l'image pour mieux admirer le panorama.

 

On a même pu observer un héron !

 

Une journée calme, on a décidé de partir sur les bords du lac Léman (il faut dire aussi que Catherine devait rentre ren urgence, heureusement que Genève n'est pas loin.

En remontant vers le Léman, nous nous arrêtons pour faire les gorges du Pont du Diable.

Par rapport à la route, les gorges sont situés 200 mètres en contrebas, il faut donc déjà descendre.

Ensuite, ça commence par un escalier bien raide, où j'avançais très prudemment (crainte du vertige, et mon passage la veille dans le Pas du Boret ne facilite pas les choses).

 

On arrive sur une première plate-forme qui surplombe le torrent (la Dranse de Morzine).

 

On voit sur la rive droite les aménagements qui ont été faits fin XIX^e-début XX^e : un escalier creusé dans la roche. On voit aussi l'effet de l'érosion, avec les marmites de géants.

 

Une belle descente, non ?

 

Le Pont du Diable : un rocher tombé entre les deux parois.

 

Des gorges très encaissés, mais finalement pas très longues (500 mètres ?)

 

Le torrent serpentant entre les rochers.

 

On voit bien par où passait les premiers visiteurs.

 

La sortie des gorges.

 

La Dranse poursuit son chemin.

 

Ensuite on remonte. le sgorges sont vraiment bien cachées par la végétation.