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Retour provisoire aux Ludopathes Nantais, mon club des débuts, où je n'avais plus joué depuis plus de 10 ans ! Bien sûr, le public a été bien renouvelé, mais je retrouve des têtes connues. Je suis arrivé juste pour une partie d'Asgard.
Si un manche est finalement assez simple (se placer auprès des dieux, puis résoudre leurs effets), il faut surtout se préparer pour le combat final (le Ragnarok), et ce n'est pas simple de voir cela. J'ai finalement pu bien mener ma barque, construisant de beaux bâtiments, assurant les deux dernières manches pour les batailles, et jouant avec escient mes tuiles pour le combat. Bien sûr, celui qui découvrait le jeu, a fini très loin (pas assez joué les batailles, n'en gagnant qu'une de toute la partie).
[Points : 119 – 106 – 98 – 79]
Durée de la partie : 2 heures
Note personnelle : 8/10
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Une nouvelle partie de Kanagawa avec ma mère, que je n'ai pas assez cherché à bloquer. Elle finit la partie avec 13 estampes à 9, ce qui augure mal du décompte final.
Je pense que le jeu doit être plus vivant à plus de joueurs.
[Points : 35 – 27]
Durée de la partie : 30 minutes
Note personnelle : 7/10
Joueur Mum (1) Moi (2) Estampes 13 9 Saison 6 6 Lotus 3 5 Diplômes 11 4 Premier joueur 2 /
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Un mois d'avril ensoleillé mais, fidèle à sa réputation, un peu frais. Mais cela n'empêche pas de sortir pour réaliser cette boucle de 3 heures à l'ouest de Châteaubriant.
Départ du plan d'eau de Saint-Aubin-des-Châteaux (nommé ainsi car il y avait beaucoup de postes de garde au Moyen-Âge).
Vue sur le bourg. Vous voyez le bâtiment en pierre au centre de la photo ? Rendez-vous en fin d'article !
Traversée de sous-bois, avec un arbre fourchu.
Le circuit traverse quelques hameaux fermiers, où subsistent également des moulins, comme ci-dessous.
On longe la Chère, pour rejoindre la Grippais. Nous croiserons beaucoup de calvaire en ardoise bâti sur le même plan. En voici quelques exemples.
Un verger en fleurs; malheureusement, les couleurs ne ressortent pas assez.
Puis on atteint l'étang de la Hunaudière. Dans ce hameau, jusqu'à la fin du XIXe, des forges réputées ont fonctionné. Il ne reste plus grand-chose de l'industrie, mais les bâtiments d'habitation et de culte sont toujours là, comme cette chapelle dédiée à Saint-Éloi, patron des fondeurs.
Une maison de maître du XVIIe à droite, et du XVIIIe à gauche.
Les anciennes maisons d'ouvriers.
Le calvaire typique de la région.
Et voici l'église des Templiers, du XIIIe. Elle sert désormais de salle d'exposition.
Bâtie en pente, où la symétrie n'est pas respectée (voussures, fenêtres).
La niche comportait une statue de Saint-Jacques, patron des Templiers, et on devine deux arbalètes de part et d'autre du blason, emblème des Templiers.
Un enfeu aux fleurs de lys.
Le bourg de Saint-Aubin.
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Outre quelques petits jeux (comme Twins), j'ai surtout découvert Yamataï lors de cette soirée du Temple du Jeu.
La dernière production Days of Wonder est magnifique par le matériel, et les règles relativement simple. Par contre, même à 3 joueurs, les temps d'attente peuvent être long (puisqu'on joue dans l'ordre des jonques prises au tour précédent). C'est donc vraiment un jeu opportuniste. En plus, les jeu chatoyant utilise finalement trop de couleur (j'avais du mal à distinguer les bateaux rouges et marrons sur les bâtiments, par exemple).
Bref, je suis déçu.
Et pourtant je me suis bien battu, jouant les spécialistes, notamment les éventails (doublés en fin de partie, et j'avais intérêt à ne pas construire mes bâtiments côte à côte). Je n'ai pas pu prendre une photo du plateau, mes partenaires étaient pressés de ranger le jeu.
Les scores sont relativement serrés, mais nous n'avons pas vraiment été convaincus.
[Points : 42 – 41 – 35]
Durée de la partie : 1 heure 45 minutes
Note personnelle : 5/10
Joueurs Gildas (1) Philippe (3) Moi (2) Argent 7 9 3 Éventails 5 1 20 Bâtiments 28 15 13 Spécialistes 2 10 5
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Il fait bon en ce début de printemps, et je préfère prendre l'air pour bien décompresser. Et je fais la deuxième partie d'une boucle commencée 7 mois auparavant.
Après être passé sous le pont de chemin de fer, je découvre que j'entre dans un parc de l'an 2000, aménagé après une crue de la Seiche.
C'est un sentier d'interprétation, le long de la Seiche, que j'ai le plaisir de découvrir.
Un cours d'eau bien tranquille.
Ici, tous les arbres ont été plantés par des enfants de la commune.
Et maintenant, un peu de poésie.
Une petite zone humide.
À la sortie, voici un pont enjambant la Seiche. On ne peut plus routier.
Mais derrière se cache dans la végétation l'ancien pont, dit de Saint-Armel.
Je descends ensuite vers la Vilaine, traversant de charmants villages.
Après avoir franchi le fleuve, je me dirige vers le Boël.
Une écluse pour le passage des bateaux, mais surtout l'ancien moulin (la prochaine fois, j'irai le voir depuis l'autre rive).
La maison de l'éclusier.
Et devant, le poteau indiquant les niveaux d'inondation. C'est monté quand même au moins à 2 mètres au changement de millénaire !
Je pars dans l'autre sens, direction Pont-Réan.
L'embouchure de la Seiche.
Ici, je suis à 20 kilomètres du centre de Rennes.
Une petite boucle. Autant vous dire que je ne suis pas le seul à profiter de la douceur printanière sur les rives de la Vilaine.
Le pont à 9 arches à Pont-Réan, avec ci-dessus, le bourg côté Guichen.
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