Une partie de Comuni à 3 joueurs au programme.


Une bien belle partie, avec pas mal de pillage. J'ai réussi à m'imposer parce que j'ai pu guérir toute les blessures de ma ville. Mes partenaires ont été assez dubitatifs sur le jeu (l'imbrication de tous les mécanismes leur a paru complexe).

[Points : 39 – 35 – 31]

Durée de la partie : 100 minutes

Bonne petite soirée chez Jean-Luc, avec l'utilisation de pierres celtiques, puis l'élection du meilleur élève d'un lycée japonais.

Deux partis de Keltis, sans puis avec l'extension, toutes 2 à 4 joueurs.


La partie sans l'extension permet de se familiariser avec la notion de série ascendante ou descendante des couleurs. Ce n'est pas forcément évident, surtout quand on doit faire de grand saut, ou que l'on arrive pas à faire monter ses pierres dans le positif. J'ai tout de même trouvé qu'on était bien tributaire des cartes.

Durée de la partie : 30 minutes


Avec l'extension, il est à la fois plus facile et plus difficile de faire monter se spierres. Plus facile car les chemins de couleur s'entrecroisent (et il y a des cases jokers), donc on peut s'adapter à sa main. Plus difficile car la progression de spoints n'est pas linéaire : 0 (départ) – -4 – -2 – 0 – 5 – 3 – 6 – 8 – 7 – 6 –10 (arrivée), d'où une tentation à ne pas faire avancer les pierres qui sont sur un pic.
Bien plus intéressant, car bien plus cérébral, sans pour autant que cela ne soit trop compliqué.

Durée de la partie : 50 minutes

Enfin, une partie de Saigo no Kane, toujours à 4 joueurs.


Comme je l'ai dit précédemment, il faut s'attirer les faveurs des autre sélèves pour être le plus populaire du lycée. Pour cela, on recrute des étudiants ou de sobjets, qui nous permettent d'appartenir à des cubs, puis, à la fin de chaque manche, on résoud les objectifs dans lesquels on s'est engagé pour gagner des voix.

Le mécanisme est bien, mais il a fallu souvent se reporter à la règle pour départager les litiges. Et certaines couleurs pourront gêner les daltoniens (j'en suis un léger).

Les étudiants que j'ai recruté (coût en compétences en bas à gauche) ne m'ont pas permis d'eêtre majoritaire dans des clubs, au contraire d'autres joueurs.

[Voix : 31 – 22 – 21 – 18]

Durée de la partie : 120 minutes

La suite des aventures d'Hubert Bonnisseur de la Bath, à savoir OSS 117 : Rio ne répond plus. Et c'est une excellente suite du premier opus, où la recherche d'un ancien officier nazi n'est qu'un prétexte pour des répliques fameuses (autour de l'Holocauste, à l'ambassade d'Allemagne...) ou de gags visuels (la course dans l'hôpital, quel grand moment).
Un film très détendant.

Une très belle place, cernée de bâtiments retraçant l'histoire de la capitale iséroise.


Au sud, la préfecture.

A l'est, la bibliothèque.


Au nord-est, sur fond de Bastille, le siège de la division militaire.


Au nord-ouest, l'hôtel des facultés.

De nouveau au P'tit Bono, pour faire découvrir Palais Royal dans une configuration 3 joueurs.


Le moins que l'on puisse dire, c'est que j'ai accumulé les bonus : un sceau de chaque couleur, 2 serviteurs en plus, 2 déplacements en plus, déplacement en diagonale; il ne me manque que les 2 ors par tour, mais un adversaire s'en est chargé. Nous eûmes ainsi une belle lutte, notamment pour les majorités de statues, mais je m'en sort mieux que le trésorier (2 majorités noires contre 1 majorité verte et 1 majorité jaune) :


Grâce à cela, je gagne de peu.

[Points : 74 – 66 – 49]

Durée de la partie : 80 minutes