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Il fait beau en ce début d'année, et comme j'ai prévu un trek de randonnée cet été, autant se préparer, en finissant mon petit tour des arrondissements parisiens. Place aujourd'hui donc un quartie du Sentier, mais au grand calme : c'était un dimanche et les principales rues étaient fermées à la circulation. Très appréciable pour découvrir le coin !
Départ depuis le métro Sentier pour finir sur le boulevard Poissonnière, en descendant les rues de Cléry et d'Aboukir, le long du tracé des anciens remparts de Charles V.
Un mascaron féminin et un chiffre (PB), nous sommes ici au croisement des rues de Cléry et des Petits-Carreaux.
Revenons un peu sur nos pas pour admirer ce bel immeuble à l'angle des rues de Cléry et de Mulhouse, l'hôtel Picard, où eurent lieu des salons des Lumières pendant le XVIIIème siècle.
Et voici la rue de Mulhouse avec, côté pair, de très belles façades que nous allons voir en détail sur les photos suivantes.
Le n°2 (ci-dessus), et le n°6 (ci-dessous) ont de beaux parements, n'est-ce pas ?
Avant de revenir rue de Cléry, nous pouvons admirer cette très belle porte d'entrée, au 1 rue des Jeûneurs.
Nous voici ici au croisement entre les rues de Cléry et Poissonnière, avec ce bel hôtel de Noisy, construit en 1720, et son fronton sur le toit. Ci-dessous, le détail de la porte d'entrée.
En face de l'hôtel, une statue de Sainte-Catherine :
Nous finissons de descendre la rue de Cléry maintenant, en nous arrêtant devant la façade caractéristique du n°54, siège de la coutellerie Hamon, qui gagna des médailles lors de l'Exposition universelle de 1855. Vous les avez en gros plan sur la façade.
Un peu plus loin, on ne peut s'empêcher de s'arrêter devant la plus courte rue au monde : la rue des Degrés, reliant la rue de Cléry à la rue Beauregard.
L'immeuble sis au n°97 est également caractéristique (la plaque indique par erreur qu'ici habitait le poète André Chénier).
Avant de rejoindre la rue d'Aboukir, jetons un dernier regard sur la rue de Cléry.
La rue d'Aboukir est moins "belle" (il faut dire que certaines façades sont en rénovation), néanmoins la plaque de numérotation ci-dessous est finement travaillée.
Finissons cette boucle avec un immeuble "antique" donnant sur la rue Réaumur.
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J'ai décidé de redonner sa chance à Vinhos, mais cette fois-ci en configuration 3 joueurs chez Philippe.
Les trois premières années sont passées, et pour le moment bien sûr, rien de transcendant : j'était content d'être troisième au concours, avec mes adversaires à égalité sur la première place !
J'ai vidé mon plan d'investissement, mais ai tout de même un petit pécule sur mon compte en banque. Nous avons chacun vu deux VIP, sauf Philippe qui doit se contenter d'Alexandre.
J'ai fortement désinvesti pour pouvoir avoir 3 domaines ouverts (j'ai retenu les leçons de ma première partie). Deux propriétés viticoles, un œnologue, un cellier : il y a de bonnes bases.
Philippe a exactement la même configuration (3 domaines, 1 cellier, 2 propriétés, 1 œnologue) mais il a décidé de faire du porto. Pourquoi pas ?
Olivier a décidé, pour le moment, d'exploiter au maximum 1 seul domaine : 2 propriétés, 1 œnologue, 1 cellier. Cela sera-t-il payant ?
A l'issue du deuxième salon, Philippe a pris une petite avance. Il domine également sur l'échelle des investissements, quand Olivier a le plus grand compte en banque et fut le premier à exporter. Philippe prépare la fin de partie, puisqu'il s'est positionné sur le multiplicateur des vignobles. D'ailleurs, en parlant de VIP, Olivier y est mal placé (2, contre 3 pour Philippe et 4 pour moi).
La partie est maintant terminé et Philippe nous a mis un boulevard, surtout grâce à ses nombreux vignobles (multiplicateur des vignobles et des domaines plains, ça aide) et 3 premières places au salon. Par contre, il a peu exporté, mais c'est normal (j'y reviendrai plus tard).
Olivier a pu constater qu'un domaine n'était pas suffisant. Pour ma part, j'ai appris qu'il ne fallait pas attendre pour les mutliplicateurs, celui des œnologues m'est passé sous le nez !
On a peu exporté, car la météo fut particulièrement mauvaise : nosu avons eu les 4 tuiles négatives de la deuxième à la cinquième année ! Mais on peut néanmoins s'en sortir.
Avec une propriété occupée par domaine, je pensais être pas mal. Mes le temps pourri et ma suffisance ne m'ont pas permis de vraiment scorer.
Philippe a donc deux domaines pleins, mais a surtout utilisé beaucoup de vins pour utiliser les relations des VIP, ce qui l'a bien sûr aidé pour sa belle victoire.
Enfin, Olivier a lancé deux petits domaines pour avoir plus de possibilités, mais quand le ciel n'est pas de la partie, cela n'aide pas beaucoup.
Au final, une partie qui m'a réconcilié avec le jeu (personne n'a pu faire la super combo du premier tour) et j'en accepterai volontiers d'autres parties.
[Points : 76 – 54 – 43]
Durée de la partie : 2 heures 30 minutes
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Soirée galette des rois chez Jean-Luc, à base de frangipane, clémentine et autre champagne. Une fois dans l'ambiance, c'est parti pour deux jeux à 7 joueurs, d'1 heure environ chacun. Pas de photo, pas de score, des jeux comme cela, ça se vit !
Tout d'abord un Fictionnaire, où on retiendra que Pierre est un bon semeur de pistes, mais surtout le fameux lancer du premier Nokia de 12 kilos à 3 mètres de hauteur par Jean-Luc !
Puis une partie de Compatibility nouvelle version. Assez dubitatif au départ (piste plus courte, moins de cartes car plus de joueurs potentiels, plus de points inscrits quand on a une carte mal positionnée), finalement ça tourne très bien en mode impair. Ici, il y a un meneur dont il faut deviner les intentions (le meneur marque autant de points que le joueur en ayant marqué le plus).
Belle victoire de Laurent car, c'est bien connu, qui dit adolscence dit cigarettes !
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C'est donc une nouvelle année ludique qui commence ! Et trois parties au programme : 2 pour finir le réveillon de la Saint-Sylvestre, 1 pour vraiment commencer l'année.
Tout d'abord une partie d'Igel Ärgern, le jeu de course de hérissons de Matthaus, joué sans variante, à 5 joueurs.
Les hérissons sont sur la ligne de départ, prêt à partir : Karine en jaune, Eric en rouge, Pierre en vert, Amandine en violet, moi en bleu.
Comme lors de ma dernière partie, Karine puis Eric furent les premiers à faire arriver l'un de leurs hérissons. Malheureusement pour Eric, deux de ses autres pions tombèrent sur les cases noires et ne purent en être délogés (regardez notamment tout au bout de la ligne 6). Pierre ne connaîtra pas la joie d'arriver à bon port, ses pions étant assez loin de l'arrivée, dont un se retrouvant bloqué.
Je reviens ensuite dans la course avec 2 hérissons, Amandine également et Karine place son deuxième hérisson. Il est clair que la victoire se joue entre nous 3, et j'ai la joie de voir arriver mon derner hérisson en ligne 4.
Un jeu sans prise de tête, idéal en pleine nuit.
[Hérissons arrivés (positions) : 3 (4,5,8) – 2 (1,3) – 2 (6,7) – 1 (2) – 0]
Durée de la partie : 30 minutes
Puis une partie de Mord im Arosa, toujours à 5 joueurs.
Pas une superbe partie de ma part, puisque je finis dernier. Bien sympathique, ce jeu de suspicion et d'écoute (ou pas !). Je n'ai pas d'autre souvenir de cette partie, n'ayant en plus qu'une seule photo.
[Pas de score]
Durée de la partie : 30 minutes
Et après le lever, on commence joyeusement l'année avec une partie de Troyes à 4 joueurs.
Une situation en tout début de partie, quand les joueurs se sont positionnés sur les bâtiments (religieux pour ma part [naturel], Un peu partout pour Pierre et Amandine [vert et bleu], plutôt civil pour Eric [orange]).
Pour les cartes d'activité, je vais enfin pouvoir constater si les archers sont forts.
Je me suis d'ailleurs positionné sur la carte, Eric privilégiant clairement le moine. Amandine est allé voir le marchand, Pierre a commencé à construire la cathédrale.
Pour le deuxième tour, nous aurons l'aubergiste, la chasse et la confession.
On commence le troisième tour, et la ville champenoise a du mal à contenir les ennemis (on lance 6 dés). Pierre a complètement fini le porche (première colonne de la cathédrale).
Nous sommes en milieu de partie, et rien ne s'arrange côté événements (il n'y a plus assez de place sur la ligne !). Conséquence logique : beaucoup de forces sont consacrées pour buter les ennemis, ce qui ne nous empêche pas de développer la ville (chaque joueur a 2 apprentis placés, 2 colonnes de la cathédrale sont terminées, et Pierre squatte le palais des comtes).
La partie est maintenant terminée : la cathédrale a fière allure, Pierre s'est clairement positionné sur le militaire et Amandine sur le civil (1 apprenti par carte chacun), alors que personne n'est allé se confesser.
Pierre remporte logiquement cette partie, car il a réussi à faire, lors du cinquième tour, 10 points avec les joutes, ce qui est loin d'être négligeable. Pour ma part, j'ai bien résisté, obtenant une belle deuxième place.
[Points : 44 – 33 – 29 – 28]
Durée de la partie : 1 heure 30 minutes
Et pour finir, l'ensemble des événements que nous n'avons pas réussi à contrer (et le placement intelligent de Pierre). Comptez le nombre de dés noirs qu'il fallait lancer !
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Les émotifs anonymes est clairement le genre de film à visionner pendant les fêtes : une petite comédie sentimentale sans prétention, centrée autour d'une chocolaterie artisanale. Isabelle Carré est Benoît Poelvoorde y incarne deux hyperémotifs, la première se "soignant" avec une thérapie de groupe (le titre du film), le second consultant un psy. L'homme est le directeur de l'entreprise familiale qui est au bord de la faillite, la jeune femme la nouvelle représentante commerciale qui a des talents cachés de chocolatière. Bien sûr, il vont tomber amoureux, mais comment dévoiler ses sentiments quand la moindre émotion vous fait, au choix, transpirer ou tomber dans les pommes ?
Un agréable moment passé dans une salle obscur, voilà mon opinion.
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