• Nous n'étions ce soir que 5 (au lieu de 6, ayant un malade à déplorer). Nous nous adaptâmes donc et partîmes sur une partie de

    - Les Aventuriers du Rail : Dorénavant, toutes mes parties de ce jeu familial se feront avec l'extension 1910, les cartes étant plus agréables à manipuler, et il y a beaucoup de cartes Destination.

    Ce soir, nous avons fait la totale, et à 5, ça bloque à tout va (sauf pour Pierre (joueur bleu) et moi (joueur jaune)). Au contraire, Didier (joueur rouge) et Nathalie (joueur vert) ont toujours lutté dans la même zone, ce qui les a donc beaucoup desservi.

    J'ai gagné cette partie grâce à l'erreur commise par Pierre à l'avant-dernier tour : au lieu de construire une liaison de 5 wagons et de clôturer la partie, il décida de prendre des cartes destination, ce qui lui fit perdre des points. De plus, comme j'avais réussi le plus d'objectifs, j'engrangeais les 15 points de bonus, ce qui me permit de chiper la première place.


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  • Retour aux Ludopathes, avec pour commencer une partie de :


     

    - Augsburg 1520 : C'est un jeu d'enchères qui se passe, comme son nom l'indique à l'époque de la Renaissance en Allemagne. Nous sommes un prêteur sur gages qui, grâce à l'influence de notables, allons pouvoir ouvrir de nouveaux comptoirs (pour gagner plus d'argent), acquérir de nouveaux titres de noblesse (pour gagner des points de victoire), ou bien avoir plus de responsabilités dans la ville (pour avoir plus de cartes lors des enchères). Cependant, tant qu'on n'a pas construit d'église, on ne peut dépasser les 25 points, et si on n'a pas construit de cathédrale, on reste bloqué à 45 points.

    Le principe des enchères s'apparente au poker : on peut suivre l'offre en cours, surecnhérir ou passer. Si, en suivant, on ne gagne pas l'enchère, on obtient une compensation financière.

    Voici, les scores finaux et le plateau du vainqueur (qui n'était pas moi) :

     


     

    - La vallée des mammouths : Un jeu sensé être court et que nous avons arrêté au bout de 3 heures, personne n'étant en mesure de l'emporter. S'il peut sembler amusant au départ, il devient très longuet quand personne n'est en position de l'emporter, et cela pour plusieurs raisons :

    • Il faut avoir 4 camps pour gagner, mais pour les fonder, il faut des femmes, qui ne naissent en moyenne qu'1 fois sur 3.
    • Vos adversaires peuvent vous piquer vos camps.
    • Les animaux peuvent les détruire, et on peut perdre des combats, même en supériorité numérique (c'est un lancer de dés).
    • Enfin, il y a des cartes événements qui peuvent beaucoup ralentir.

    En clair, je n'y rejouerai pas de sitôt.


    - Drakon : Nous avons fait 3 parties. Si les deux premières furent rapides, et donc amusantes, la dernière s'éternisa. Tout le monde était foudroyé par le dragon, on revanait donc au départ. Seulement, à cause des harpes, le chemin était imposé et on retrouvait le dragon, d'où retour à la case départ. Heureusement, nous avons pu nous sortir de ce cercle vicieux et un joueur a enfin pu l'emporter.


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  • Rappelez-vous du courrier de réclamations que j'avais envoyé à l'UCPA après mon séjour en Corse. Il semblerait qu'il m'ait (ou du moins tous ceux qui leur avaient écrit) écouté.

    Voici la présentation du séjour en 2006 :

    Voici le nouveau catalogue 2007 :

     


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  • Une fois n'est pas coutume, j'ai été voir un film roumain : 12h08 à l'est de Bucarest. Ce film est centré sur une émission d'une télé locale ayant pour thème : "Lors de la chute de Ceaucescu, y a-t-il eu une révolution dans notre ville ?"

    C'est vraiment très rigolo, puisque c'est fait avec les moyens du bord : un décor en carton-pâte, un cadreur pas vraiment professionnel, des interventions et des réparties plus ou moins à propos... Bref des personnages qui essaient d'exister dans cette nouvelle Roumanie.

    A voir si vous êtes en pleine forme (c'est généralement en VOST, et quand on est fatigué, ce n'est pas très simple à suivre).


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  • Je viens de finir le premier tome des Chroniques d'Arcturus par Gilles Servat, à savoir Skinn MacDana.

    J'ai vraiment moyennement aimé :

    • L'action est très rapide, on n'a pas le temps de se familiariser avec les personnages.
    • Il y a des termes inventés, qu'on a beaucoup de mal à saisir.
    • L'orientation géographique est différente de celle que l'on connaît (nord-sud-est-ouest), c'est donc difficile de se repérer.
    • Les mots d'amour que s'échangent les deux héros sont risibles et très pompeux.

    En clair, je ne pense pas lire la suite. Même si l'auteur est breton !


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