Avant de partir à Grenoble, une soirée au magasin boulevard Brune pour présenter Fiese Freunde, Fette Feten à mes acolytes. Une bien belle partie, comme toujours, où le joueur qui s'est le plus plaint de ne pas avoir de jetons Sablier pour les enchères a gagné.

Ci-après, ma vie.

Retrouvailles avec des amis et un bar-jeux parisiens, où nous avons décidé de ne plus y remettre les pieds. Pour "rentabiliser" la soirée, nous avons enchaîné 4 parties de Korsar. Un jeu de cartes où l'on essaye de récupérer des galions remplis d'or à l'aide de bateaux corsaires. Les tours s'enchaînent très vite (soit on pioche une carte, soit on en pose une), et c'est nettement plus intéressant en équipe qu'en individuel. Mais de là à faire 4 parties de suite...

Pour cette soirée, un jeu de hasard et un jeu d'ambiance-enchères.

- Jenseits von Theben : Nous incarnons des archélogues qui doivent mener des fouilles dans les principaux sites méditerranéens. Pour cela, on acquiert des connaissances sur chaque site, ce qui permet de mieux fouiller (piocher plus de jetons dans le sac, en y consacrant le moins de temps possible). Ensuite, on part fouiller, en sachant que plus on fouillertôt, plus on a de chances d'avoir des ertefacts qui rapportent des points. Mais ce n'est pas sûr : lors de ma première fouille, je n'ai eu que du sable sur 7 jetons. Avec un aussi mauvais démarrage, je n'ai bien sûr pas gagné. Par contre, vous pouvez voir sur la photo suivante les moissons fructueuses du vainqueur.

- Fiese Freunde, Fette Feten : Un jeu où on refait sa vie, dans une ambiance vraiment délire. Vous devez réaliser 5 objectifs (travail, amitié, vie amoureuse, style de vie, état d'esprit) et pour cela vous allez acquérir des cartes qui permettront d'atteindre ces objectifs :

• en progressant (ou non) en tabagisme, alcoolémie, drogues, argent, maladie, obésité, tristesse, croyance, culture.
• en couchant, avec le premier venu ou un ami
• en entretien des relations amicales, amoureuses et avec ses ex.

Comme vous pouvez le voir, c'est vraiment décalé, et c'est ça qui est bien. Pous pouvez voir ci-après mon plateau final et ma vie.

Dans la lignée de We feed the world, j'ai visionné Notre pain quotidien, qui montre sans commentaire, à quoi ressemble aujourd'hui l'industrie agro-alimentaire.

Ca complète bien le documentaire sus-cité (ils sont aussi tous les deux autrichiens) et ça m'a prouvé une chose : heureusement que je ne travaille pas là-dedans.

Courage, frérot !!!

Découverte pour ma mère d'un jeu de pur hasard et tactique qui lui a vraiment beaucoup plu. En même temps, ce n'était pas difficile : il s'agit de Can't stop, où l'on fait grimper des cordées d'alpinistes (je préfère ça aux bonzes).

On jette 4 dés, on arrange 2 paires et on grimpe. Ensuite on rejoue jusqu'à ce qu'on se décide d'arrêter, ou quand on chute. Le premier qui finit 3 voies a gagné (comme moi sur la photo suivante).

Une deuxième partie fut jouée devant la soirée électorale, que j'ai également remportée.