• Même cause, mêmes effets : élection oblige, retour à Nantes (accessoirement, c'était aussi mon anniversaire). Et le samedi soir, c'est soirée chez les Ludopathes, avec un voyage dans l'Antiquité, un peu d'heroic-fantasy, et beaucoup d'ambiance.


    - Colosseum : Je ne vais pas revenir sur mes impressions du jeu, j'en ai déjà parlé et ça n'a pas changé. Si, dans cette partie, j'ai réussi à faire 5 spectacles différents (mes deux adversaires n'en ayant fait que 4), grâce à l'utilisation des médailles, je n'ai pas gagné. Cela est surtout dû au fait que je n'ai pas réussi à avoir des vedettes, et ça compte.

    Configuration finale du jeu :


    - Drakon : Pour rappel, nous incarnons un personnage qui essaye de s'enfuir d'un donjon, tout en récupérant de l'argent. Le premier qui atteint 10 pièces a gagné. A son tour, soit on pose une salle et on en applique l'effet, soit on déplace son personnage.

    Un jeu très sympathique, le sparties sont rapides, donc une fois de temps en temps pourquoi pas.


    - Petits meurtres et faits divers (en avant-première) : Un jeu d'ambiance vraiment très très fun. Chaque joueur reçoit un livre (en fait un agenda) qui résume les règles et indique le rôle de chacun : le greffier (qui sert d'arbitre), l'inspecteur, un coupable, et des innocents. Le greffier choisit une enquête et l'inspecteur interroge les suspects, ceux-ci ont 1 minute pour délivrer leur témoignage, en incluant des mots qui leur sont imposés. Le coupable a de smots différents, et le sel du jeu et de savoir repérer ces mots importants. Ensuite, chacun vote pour savoir si l'inspecteur va trouver le coupable ou non. Et on recommence, en faisant tourner les agendas.

    C'est vraiment très rigolo, et avec 250 enquêtes, il y a le tmps de voir venir. Le seul bémol, c'est que le comptage de spoints n'est pas évident, et qu'il manque un pion pour symboliser chaque joueur.

    Je vous le recommende chaudement !


    - Time's up : Découverte de la dernière édition (Purple), donc des nouveaux personnages, mais sans jouer la photo. Et bien sûr on a bien rigolé, notamment quand il fallait faire trouver Sœur Emmanuelle. Et mon équipe a gagné.


    votre commentaire
  • Cela faisait un moment que je n'en avait pas lu, et c'est maintenant chose faite, en attendant avec impatience le prochain. Vous l'avez compris, je parle d'un livre de Harlan Coben, en l'occurrence Faux rebond.

    Une nouvelle enquête de Myron Bolitar, ex-basketteur devenu agent sportif, qui revient à ses premières amours. Comme toujours, il est question de sexe, d'argent, de mafia et de sang. Comme toujours, c'est très prenant et on dévore le livre. Mais pour une fois, AMHA, il n'y a pas trop de sang, ce qui n'est pas plus mal.


    votre commentaire
  • Une redécouverte et une découverte (pour les autres, puisque le jeu fait partie de ma ludothèque) dans la magasin parisien.

    - Durch die Wüste : Un jeu de placement et de blocage dans le désert. On construit des caravanes de chameaux de 5 couleurs différentes (rose, bleu, vert, jaune et blanche; des couleurs difficiles à distinguer, même pour un non-daltonien) pour relier des oasis, des palmiers ou former des territoires. Mais vos adversaires ont le même but que vous et chercheront notamment à vous empêcher de fermer vos territoires. A la fin de la partie, il y a attribution de points supplémentaires por les joueurs ayant formé la plus grande caravane dans chaque couleur.

    Les tours sont très rapides (on ne pose que 2 chameaux), les choix sont cornéliens (il y a tant de choses à faire), bref un très bon jeu. Une bonne re-découverte. En plus, grâce à l'erreur d'un joueur, je préserve ma deuxième place.


    - Blue Moon City : Une partie à 4 joueurs, où je finis encore deuxième. Tout le monde a eu l'air d'apprécier, même si ce n'est pas évident au départ d'apprivoiser le pouvoir de chaque carte, ni de déterminer, en fin de tour, les cartes à conserver et les cartes à défausser.


    votre commentaire
  • Toujours à Grenoble, nous nous sommes rendus dans un cinéma d'art et d'essai pour zyeuter le dernier documentaire autrichien à la mode We feed the world (Le monde de la faim).

    Il est constitué de plusieurs séquences, chacune sur un thème précis (production de pain, élevage intensif de poulets, culture du soja en Amazonie), qui montre la surproduction agro-alimentaire dans les pays riche, l'exploitation des pays du Sud, bref un exemple parmi d'autres de la mondialisation. Et c'est édifiant. Chaque reportage est conclue par une intervention de Jean Ziegler, rapporteur spécial de la Commission des Droits de l'homme de l'ONU pour le droit à l'alimentation. Le président de Nestlé est également interrogé, et il tient un vrai discours de gérant d'une multinationale.

    Bref, à aller voir.


    votre commentaire
  • Pour le 1er mai, j'étais descendu voir mon frère qui travaille sur Grenoble, encaissé entre trois massifs alpins : Chartreuse au nord, Vercors au sud-ouest, Belledonne à l'est. Moi qui adore la montagne, j'étais bien sûr ravi. Surtout qu'il a fait très beau (et limite chaud).

    Voici quelques photos prises sur place :

    - Le village de Pont-en-Royans, qui domine la rivière de la Bourne, et dont certaines maisons sont construites à flanc de montagne. Très agréable aire de repos le long de la rivière.

     


    Nous avons pris le train touristique de la Mure (voie qui mène aux anciennes mines de charbon). A un moment, on surplombait le barrage de Monteynard, avec vue sur le Vercors en fond. C'était très impressionnant. Sur la première photo, la sorte de "verrue" qui apparaît juste sous la couche nuageuse, c'est le Mont Aiguille, célèvre lieu d'escalade.

     


    votre commentaire