Pour le seule vrai jour de beau temps (et même de chaleur) de mai, il est temps de chercher un peu de fraîcheur le long de quelques rivières franciliennes.

Et le premier tiers du parcours, le long de l'Yerres, était vraiment le plus intéressant, dans cet air de campagnes, à quelques kilomètres seulement de Paris.

On franchit l'Yerres à Jarcy, avec un moulin (réhabilité en auberge-gîte) en plein milieu !

Puis je longe un centre équestre.

Un petit verger en fleurs, avec son désormais commun hôtel aux insectes.

Traversons maintenant en petit bois en hauteur.

Mais il me faut déjà redescendre vers l'Yerres.

Et je trouverai alors un coin on ne peut plus idéal pour pique-niquer, pas loin de ce petit torrent déjà occupé.

Sympa, non ?

Je longe ensuite tranquillement l'Yerres, en passant devant un hangar à barques, plus ou moins en ruine.

À suivre...

À Villiers-le-Bâcle, on peut (normalement) visiter la dernière maison-atelier du peintre Foujita. Comme ce n'était bien sûr pas possible, j'ai remplacé cela pour une variante patrimoniale.

Il faut d'abord redescendre du plateau.

Et après quelques minutes, on arrive à ce beau lavoir, à côté du marais Bonnard.

Juste à côté, le château de la Barrerie.

Empruntons quelques passerelles...

...pour avoir un beau point de vue sur le marais Bonnard.

Ensuite, je remonte sur le plateau de Saclay, où je découvre un cimetière en pleine forêt. C'est donc un endroit on ne peut plus calme.

Puis on s'enfonce dans la forêt...

...avant de descendre sur Gif.

Et pour finir, le château de Gif, occupé par le CNRS.

Il fait toujours aussi beau en cette fin de février 2021. Comme un nouveau confinement semble se profiler en Île-de-France, j'en profite pour effectuer une balade de 3 heures 30 minutes dans la campane essonnienne.

Je commence d'abord par longer l'Yvette dans le bourg de Gif.

Je contourne ensuite un marais.

En quittant le bourge, je monte dans le bois d'Aigrefoin, où les prémices du printemps apparaissent.

Un soleil éclatant, et on admire la ramures des arbres.

On quitte le bois pour la vallée de la Mérantaise, avec une belle vue sur les collines boisées avoisinantes.

Bucolique, non ?

Pour rejoindre Villiers-le-Bâcle, prenons ce chemin dans la forêt de Tête-Ronde.

Première promenade en 2021, en profitant du beau temps du mois de février. Avec ma mère, nous voici dans le sud-est du département, à la frontière avec le Maine-et-Loire.

Les vignes sont en attente de repartir au printemps.

Des vaches au repos, de l'autre côté de la Divatte.

Les fameux panneaux indicateurs pour les randonneurs.

Après le plateau, descente pour rejoindre la Divatte, qui serpente dans son vallon. Ci-dessus, un pont gallo-romain bien restauré.

Et la Divatte, que l'on va (un peu) remonter vers sa source.

Mais au départ, il faut grimper !

Je vous rassure, c'est moins effrayant que ça n'en a l'air.

Ouf, ou redescend, pour de nouveau longer la Divatte.

Un ancien barrage, un ancien moulin ? Dur de savoir.

Très agréable, ce sentier de berge.

Voici un torrent tempétueux !

Une aire de repos bien agréable.

Et pour finir, l'ancienne église de Barbechat.

Quittons les étangs pour longer la Bièvre Vive.

Très campagnard, non ? Un endroit très agréable, surtout que les joggeurs ne sont plus de la partie !

Un vrai décor de carte postale.

L'église de Buc, plutôt récente. Il y avait une statue à voir, mais je n'allais pas rentrer en pleine messe.

Coucou !

Et on arrive aux arcades, en passant devant cette vielle fontaine.

Ces arcades acheminaient l'eau jusqu'au parc de Versailles. Il n'est plus en fonction aujourd'hui, mais il pourrait, vu son état de conservation !

Un bel ouvrage qui a plus de trois siècles, tout de même !

Et je m'arrête pour ce jour à l'entrée de Jouy-en-Josas.