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Par deepdelver le 16 Septembre 2019 à 12:00
Deuxième partie de pseudo-boucle, à travers la forêt de Verrières, le parc de la Vallée-aux-Loups et le parc de Sceaux.
Cette table d'orientation est située à l'emplacement d'une ancienne batterie militaire. Il y a normalement un beau point de vue sur Paris, mais avec les arbres, on ne voit rien.
Par contre, la traversée de la forêt, à l'ombre, est très appréciable.
Certaines portions de la forêt sont des aires naturelles, où il n'y a plus d'interventions humaines. D'où les sens interdits, pour éviter de mauvaises surprises.
Pour rejoindre le parc de la Vallée-aux-Loups, on traverse la cité-jardin de la Butte-Rouge.
La première partie du parc est bien dégagée, et offre une petite vue panoramique sur le sud de Paris.
Par contre, si la partie nord est en forêt, emprunter ces larges chemins asphaltés est un peu pénible.
À la sortie du parc, on passe à côté de l'entrée de l'arboretum (il faudrait que j'y aille un jour, mais pas ce jour-là).
Enfin, je traverse le très beau parc de Sceaux, bien plus appréciable au soleil (contrairement à il y a cinq ans).
N'hésitez pas à cliquer sur l'image ci-dessous, pour mieux en voir les détails.
Le Grand Canal.
Vue sur le parc depuis le château (actuellement en rénovation).
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Par deepdelver le 13 Septembre 2019 à 12:00
En ce jour de fête, je profite d'un beau dimanche pour faire une grande balade dans des espaces verts de Hauts-de-Seine (voyez ci-dessous).
Passage devant l'église Saint-Saturnin.
Juste avant d'entrer dans le parc Heller, on passe devant un ancien moulin, le long de le Bièvre (rivière francilienne plus ou moins enterrée).
La roue à aubes, qui ne bouge plus mais raconter le passé industriel du lieu.
Le petit château du parc Heller.
Je vais ensuite me mettre rapidement à l'ombre, en passant à côté de ce ravissant bassin-fontaine.
La promenade le long du bief (canal d'alimentation du moulin).
Un ruisseau, que je suivrait pratiquement jusqu'à la forêt de Verrières.
Un bassin du parc Heller.
Ces champignons sur une souche, c'est très photogénique !
Bon, on suit quoi ?
On suit ce chemin.
Au moins, les arbres se plaisent dans ce milieu, au vu de leur taille.
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Par deepdelver le 10 Septembre 2019 à 12:00
Il faut très beau en ce dimanche de l'Assomption, et nous (avec ma mère) partie découvrir la butte Sainte-Anne et l'ancienne commune de Chantenay-sur-Loire, annexée à Nantes au début du XXe siècle. Temps total du parcours : 3 heures, et un peu plus de 8 km de marche.
Et ça commence par le belvédère depuis la butte sur les rives de la Loire, comme ci-dessous le village de pêcheurs de Trentemoult.
Mais aussi cette belle vue sur les quais de l'Île de Nantes (image agrandie en cliquant dessus), avec les célèbres grues Titan.
À gauche, le musée Jules-Verne, au centre la statue de Sainte-Anne en haut de l'escalier des Cent-Marches, à droite un autre nid japonais. (image agrandie en cliquant dessus)
Sur cette photo, on voit de gauche à droite :
- Notre-Dame-du-Bon-Port (sous la grande bâche blanche)
- La Tour de Bretagne
- La cathédrale
- La grue Titan jaune (qu'on voit de derrière ci-dessous)
Enfonçons-nous maintenant dans Chantenay avec de belles maisons basses.
Une maison balnéaire, un peu incongrue ici.
Une maison typique des ouvriers bas-bretons qui résidaient ici au XIXe-XXe siècle.
La mairie de Chantenay.
L'école de la Mutualité (côte filles, il y a le même bâtiment en face pour les garçons; en tout cas, c'est ce qui est écrit sur les façades).
Ce qui fait aussi le charme de cette promenade, c'est de voir toutes ces herbes folles poussant le long des trottoirs. Et ces nombreuses pleurs blanches sont des pâquerettes des murailles.
Un panneau routier plutôt rare. Pouvez-vous me dire ce qu'il indique ?
Un très beau cadran solaire (à l'heure), avec l'explication des heures solaire, d'hiver et d'été écrite en breton.
Le cimetière de Saint-Martin, plus ou moins sauvage.
Et à côté l'église Saint-Martin, de style québécoise, car de nombreux Acadiens ont résidé dans le quartier.
La grue noire, moins connue, mais également inscrite au patrimoine historique.
Tiens, un petit hommage à Jules Verne !
L'ancienne carrière Misery, en cours de reconversion en grand parc public, et où sera installé dans quelques années l'Arbre aux hérons de Royal de Luxe.
Et une petite vue sur l'Arbre blanc (coupé) et la grue Titan grise.
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Par deepdelver le 2 Septembre 2019 à 12:00
Voici le gîte des Viellettes, reprend un jeune homme depuis quelques années. C'est le troisième lieu d'hébergement à avoir changé récemment de propriétaire, après le centre de vacances d'Arrens et le refuge d'Haugarou.
La grande pièce du salon avec un coin cheminée. Nous y déjeunons à l'abri et au chaud.
Le réfectoire. Six personnes dormaient dans le refuge ce soir-là : un retraité français et un couple d'Australiens faisant le GR 10, et un couple de Californiens en vadrouille. Il y a donc eu des conversations intéressantes.
Et deux photos du dortoir.
Pas encore une excellente nuit, mais je pense que c'était surtout dû au très mauvais temps annoncé pour le lendemain : de la pluie toute la journée, alors qu'on avait une étape de 8 heures de marche, 1200 mètres de dénivelé positif, 1500 mètres de dénivelé négatif !
Mais pour savoir comment cela a continué, il va falloir aller sur mon autre blog.
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Par deepdelver le 1 Septembre 2019 à 12:00
Quatrième et dernière étape, la plus reposante et tranquille : une longue montée d'Argelès au hameau des Viellettes. On revient d'abord sur Arras-en-Lavedan, avant de monter à Sireix (juste au-dessus de Bun sur l'image satellite). Ensuite, c'est en sentier en forêt, longeant les champs, qui nous amènera au gîte. Une marche de moins de 4 heures.
Voilà, le beau temps est parti, nous aurons deux jours gris. Heureusement ce jour-là, il ne pleuvra pas le matin, pendant qu'on marchait.
La belle église d'Arras-en-Lavedan, et son clocher-porche. Comme vous pouvez le constater, les sommets sont bien dans les nuages.
Le bourg de Sireix n'a pas forcément beaucoup d'intérêt, à part cette fontaine-abreuvoir à étages.
Comme il ne pleut pas, pas besoin de mettre la cape de pluie.
L'endroit le plus poétique et féerique de cette étape brumeuse fut le franchissement de l'Arribancie sur une passerelle couverte de mousse.
Il aurait fait chaud, c'était un endroit idéal pour une pause. Mais on préférait avancer, pour être à couvert le plus vite possible. Piur info, nous sommes partis depuis 3 heures d'Argelès quand nous atteignons ce point.
Une pure ambiance bretonne, non ?
Une dernière petite descente pour arriver au gîte. Un endroit idéal pour une petite glissade !
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