Un topo-guide me permet de suivre la Bièvre, depuis sa source (près de Sain-Quentin-en-Yvelines) à son embouchure (pas loin de la gare d'Austerlitz). Il me faudra quelques jours pour faire le parcours, voici ma première sortie. Beaucoup d'étangs seront longés, avant de passer au pied d'un ouvrage d'art (j'y reviens de le prochain article).

 

Sortie de la gare de Saint-Quentin, je traverse un parc pour rejoindre la Bièvre.

 

Cela permet d'observer l'architecture de cette ville nouvelle.

 

Promenade matinale, en ce mois de septembre très estival.

 

Heureusement, on est souvent  l'ombre, comme ici dans le bois des Roussières.

 

Je rejoins alors le premier des quatre étangs du jour : l'étang des Roussières, où des canes en profitent pour se nettoyer.

 

 

Premier passage sous un tunnel.

 

 

Derrière, on longe le petit ruisseau de la Bièvre, avant de passer devant la fontaine restaurée des Gobelins (au-delà de la barrière, j'ai pu voir un jeune cerf se restaurer).

 

 

Le sentier longe par la rive nord l'étang du Moulin à Renard, ce qui me permet d'observer ce héron à l'affût.

 

Petit panorama sur l'étang du Moulin à Renard (que j'avais déjà longé il y a quelques années).

 

Troisième étang : celui du Val d'Or. Bien sûr, en ce dimanche matin, je croise beaucoup de joggeurs et autres vététistes.

 

Enfin, l'étang de la Geneste, et son déversoir.

 

 

Mais il faut maintenant revenir sur Albepierre.

 

En marchant le long d'une piste forestière, je peux voir ce beau paysage de bocage.

 

Que je retrouve en sortant de la forêt (image cliquable)

 

Un peu plus loin, je passe devant cet oratoire qui incite au repos, mais je n'ai malheureusement pas le temps.

 

Juste avant d'arriver à la dernière cascade du jour, je m'assied à côté d'un calvaire, et peux encore avoir une belle vue sur Albepierre.

 

Un beau calvaire en pierre, non ?

 

 

 

Et voici donc la cascade de Prapsou.

 

 

 

Et pour finir, une dernière fontaine-abreuvoir.

J'enchaîne avec une boucle de trois heures sur la commune d'Albepierre, où j'y verrai de très belles cascades.

 

C'est donc parti pour 3 heures de marche ! Pendant ce temps-là, ma mère visitera le musée de la Faune à Murat.

 

Sur la place où je me suis garé, il y a une belle croix (ci-dessous) et un bel abreuvoir (ci-dessus).

 

Je commence par monter un peu, et j'ai une belle vue sur le village d'Albepierre (image cliquable)

Encore une croix, à côte du chemin que j'emprunte à travers des landes.

 

Je passe à côté d'un buron, grange dans un champ, et dans lequel on faisait aussi auparavant les fameux fromages auvergnats.

 

Et j'arrive alors à la cascade des Prés Longs.

 

 

Je remonte alors le torrent, et admire la cascade des Vergnes.

 

 

Un peu de patrimoine, quelques mètres plus loin.

 

 

Un passage à gué.

 

Et à la sortie du chemin de montée, plein écran sur le Plomb du Cantal.

 

Mon premier (et seul) sommet des vacances : environ 450 m à monter pour atteindre le Plomb du Cantal, le point culminant des monts du Cantal. Et plutôt que de redescendre par une piste tout le long, un détour en contrebas des rochers de Chamalières.

 

Ce qui me prendra 3 heures au total.

 

Un paysage bien dégagé pour atteindre le Plomb du Cantal, juste en face (image cliquable).

 

Le seul petit cours d'eau dans ce vaste espace, qui est aussi une station de sports d'hiver.

 

En montant par le GR 4, je passe au milieu des gentianes.

 

Je rejoins alors un sentier de crête, qui me mènera au sommet.

 

Et les monts du Cantal (auxquels des nuages s'accrochent) m'apparaissent (image cliquable).

 

Allez, un dernier effort !

 

ET j'arrive en plus suffisamment tôt (avant 10h), juste avant l'afflux des touristes par le téléphérique du Lioran.

 

De nombreux cairns sont disposés au sommet.

 

Belles vues, non ? (images cliquables)

 

Pour la descente, je prends l'escalier d'accès, tout en bois.

 

Quelques vaches, bien paisibles.

 

Une dernière vue sur le Plomb, gâchée par les remontées mécaniques.

 

Je change de paysage en me dirigeant vers les rochers de Chamalières. (image du dessous cliquable)

 

 

Mais il faut rentrer au Prat de Bouc.

 

Dernière vue sur tout ce que je viens de faire (image cliquable)

Première randonnée dans le Cantal : sur le plateau de Cézallier, à l'ouest du lac du Pêcher. Un circuit pédagogique, avec de nombreuses informations sur les oiseaux, les fleurs, et les vaches de la région.

 

Le lac du Pêcher depuis le parking (image cliquable).

 

Différentes "longues-vues" sont positionnées sur le petit mont à l'ouest du lac. Et par exemple, ici, vue sur les monts Dore.

 

Le village de Fortuniès, typique du plateau.

 

Les pâturages entourés de pierre et, au loin, le Plomb du Cantal, que je gravirai le lendemain.

 

Deux belles vus sur les monts du Cantal (image cliquable).

 

 

Le Plomb du Cantal.

 

Le lac du Pêcher, et d'autres champs délimités par les pierres.

 

Le lac du Pêcher depuis l'observatoire ornithologique (image cliquable)