C'est très bien le tourisme, mais on est aussi là pour marcher. Et si les Vosges du Nord sont des collines boisées (point culminant aux alentours de 500 m). Il y a tout de même pas mal de choses à voir et à faire. Et, dans une guide nous détaillant 32 circuits, nous en ferons 2 :

- "Les Quatre châteaux", avec un détour rapide en Allemagne

- "Le circuit des fontaines" à Eschbourg.

 

J'ai aussi fait un tour au Nideck, comme indiqué, mais c'était en deuxième semaine, il va donc vous falloir attendre quelques jours pour découvre le site :)

C'est le mois de juin, l'été revient, les promenades au grand air aussi. Aujourd'hui, comme il fait chaud, recherchons l'ombre en forêt, et la fraîcheur le long d'une rivière.

 

On commence par longer le viaduc du RER, en prenant ensuite un souterrain magnifiquement peint.

 

 

 

 

Une petite traversée de la forêt de Sénart nous fait passer à côté de quelques constructions enfantines, semble-t-il.

 

Que signifie cette signalétique ? Tout simplement qu'on va traverser une route.

 

Une belle route foerestière.

 

Et pour celle-ci ? Prendre la deuxième à gauche.

 

Pour la deuxième partie du circuit, on longe l'Yerres, une très belle rivière francilienne.

 

Une poule d'eau fouille la berge, son petit m'a repéré et cherche à se cacher.

 

Une belle passerelle sur l'Yerres.

 

Du street art sous un pont routier.

 

L'ancien moulin de Rochopt (dont l'échauguette est malheureusement peu visible pour le promeneur).

 

 

Ces propriétés ont un jardin en bord d'Yerres, pas mal.

 

On termine la boucle le long de ce canal...

 

... puis en rejoignant ce barrage.

 

 

Un aller-retour dans la campagne, mais qui permet de traverser trois vallées et d'en voir une quatrième, c'est pas mal en trois heures !

 

L'église du bourg.

 

 

Deux circuits partent du bourg, nous partirons à droite par le circuit décrit à gauche.

 

Un vieux lavoir dans la vallée de la Cure.

 

Vous pouvez cliquer sur l'image, pour deviner la vallée de la Loire.

 

Voici la vallée de Malhara, et son étang.

 

Quelques chemins dans les hautes herbes.

 

 

Quelques curiosités de la nature :

 

On passe à côté de la mare de la vallée de la Carriais.

 

 

Une marque à ne pas louper pour pouvoir faire une boucle finale dans le bois de Boitouze.

 

 

 

 

Avant de retourner, une dernière vue sur la vallée de la Loire.

Je quitte le bord de l'Yerres, et passe à côté de la fondation Dubuffet (pas encore visitable en ce début mai, fermeture des lieux culturels oblige).

 

Et ici, je me trompe de chemin (indications peu claires dans le topo-guide). Mais avouez qu'il y avait de quoi !

 

En tout cas, cela m'a permis de découvrir le bourg bien charmant de Périgny.

 

 

 

J'ai perdu environ un quart d'heure, reviens en arrière, et poursuit sur le bon parcours.

 

Mais la traversée de Mandres, en début d'après-midi, avec peu d'ombre, est bien longue. On passe tout de même à côté dece mûrier âgé de 400 ans.

 

Puis j'atteins une voie verte...

 

...qui me permet de traverser une petite forêt afin d'atteindre la vallée du Réveillon.

 

Si le début de la vallée est très bucolique (étang, oies bernaches)...

 

 

 

...le peu d'ombre, encore une fois, rend cette traversée pénible, et le ruisseau est vraiment petit.

 

Mais la dernière partie est plus agréable, en forêt.

 

 

Le dernier point d'intérêt est cette allée qui menait au château de Grosbois.

 

 

Eh oui, les familles étaient de sortie !

Pour le seule vrai jour de beau temps (et même de chaleur) de mai, il est temps de chercher un peu de fraîcheur le long de quelques rivières franciliennes.

 

Et le premier tiers du parcours, le long de l'Yerres, était vraiment le plus intéressant, dans cet air de campagnes, à quelques kilomètres seulement de Paris.

 

 

On franchit l'Yerres à Jarcy, avec un moulin (réhabilité en auberge-gîte) en plein milieu !

 

 

 

Puis je longe un centre équestre.

 

Un petit verger en fleurs, avec son désormais commun hôtel aux insectes.

 

 

Traversons maintenant en petit bois en hauteur.

 

Mais il me faut déjà redescendre vers l'Yerres.

 

 

Et je trouverai alors un coin on ne peut plus idéal pour pique-niquer, pas loin de ce petit torrent déjà occupé.

 

 

Sympa, non ?

 

Je longe ensuite tranquillement l'Yerres, en passant devant un hangar à barques, plus ou moins en ruine.

 

À suivre...