Une mignonne petite buvette, où l'on va tranquillement s'arrêter pour manger un morceau bienvenu.

 

Au moins, on a de l'humour !

 

Sous notre parasol, on sirote notre boisson (entourés de guêpes; on en aura beaucoup pendant tout notre séjour).

 

Une bonne assiette savoyarde, ça requinque !

 

Et la vue y est magnifique (vue agrandie en cliquant sur l'image).

 

Fond de Combe et toutes ses cascades.

 

Bon, maintenant il faut descendre. Et autant dire qu'on sait qu'on va en baver dans le Pas du Boret car, comme l'indique ce panneau, c'est un passage difficile, à privilégier à la montée (d'ailleurs, quand on était attablés, on voyait beaucoup plus de personnes en venir qu'y aller).

 

Ca descend tout d'abord un peu en forêt.

Puis on arrive au Pas proprement dit. Avant de s'engager, profitons une dernière fois du paysage.

 

Et voici le Pas. Malheureusement, une photo écrase toujours, mais je peux vous dire que c'est vertigineux. Tellement vertigineux qu'on descendra bien tranquillement (en 1 heure 30 minutes) : Catherine devant, moins sujette au vertige, qui nous indique le chemin (chemin à flan de falaise, avec beaucoup de câbles, mais bien bas pour ceux qui descendent). Ma mère et moi nous soutenant mutuellement derrière, pour ne pas avoir à penser au vide.

 

Une accalmie, on prend vite une photo.

On sent bien que c'est aussi impressionnant à la montée (avec tous les câbles de sécurité), mais peut-être aussi plus facile, notre vision est la paroi, alors qu'en descente on voit le paysage.

 

Ca y est, on arrive en bas, au pied d'une cascade. On est bien fatigué, mais ce n'est pas fini, il faut maintenant revenir au parking.

 

Voilà le début du Pas (on distingue le sentier dans l'herbe. Eh oui, il y a des personnes qui monte (en cliquant, vous pourrez mieux les apercevoir). Pas peu fier de l'avoir fait, mais on ne nous y reprendra plus : la boucle est vraiment à faire dans l'autre sens.

 

On rejoint la piste (en face le crique du Fer à Cheval).

 

Les Cornes du Chamois, avec la Méridienne et la Perrirta. La photo est plus facile à prendre, maintenant que le soleil a tourné.

 

Et pour finir, deux panoramiques pris depuis la ferme de Giffrenan, à un quart d'heure du parking.

Les Cornes du Chamois et le Fer à Cheval (cliquez dessus pour agrandir).

 

Le cirque du Fer à Cheval (avec le détail des cascades (il y en a 5) en cliquant sur l'image).

 

Une très belle randonnée, mais bien épuisante.

Voici la plus longue marche faite pendant mes vacances, mais certainement aussi l'une des plus belles.

 

On remonte le Giffre dans Fond de Combe, au départ seulement jusqu'au Bout du Monde, en aller-retour, soit environ 2h30 de marche. Finalement, on continuera par monter sur le plateau jusqu'au Boret, avant de descendre par le Pas du Boret, puis de revenir. La descente fut épique... Au total, on aura marché plus de 5 heures.

 

Le départ depuis le parking, avec une belle vue. Par contre le cirque du Fer à Cheval est pila face au soleil, donc on attendre le retour pour prendre des photos.

On va remonter cette vallée jusqu'au bout !

 

Comme il est relativement tôt, le soleil n'est pas assez haut pour percer au-dessus de la montagne. Il fait donc assez frais, surtout quand on longe un torrent. Mais c'est une mise en jambe tranquille (1 heure pour monter 100 mètres).

 

Un peu de brume sur le Giffre.

 

Au centre, la Méridienne, à droite la Perrirta (pour les cascades).

 

Nous arrivons à la cascade de la Vogealle.

 

 

Certes, en plein cœur de l'été, le débit n'est pas impressionnant, mais la hauteur si. Et puis, il y a un mignon petit bassin au pied.

 

Voilà, on commence vraiment à grimper, pour atteindre le Bout du Monde.

 

Il y a vraiment beaucoup de cascades dans cette vallée. Ici, celle du Violon.

 

La cascade des Lanchettes. Normalement, on aurait dû faire demi-tour ici.

 

Mais on a décidé de continuer (un peu au grand dam de Catherine), de passer le portillon, et de rejoindre le Boret, sur le plateau visible à gauche.

 

La vallée du Giffre, avec le torrent qui serpente.

 

Au départ, ça grimpe bien.

 

Encore la cascade du Violon.

 

On franchit quelques torrents, on passe en forêt, et le chemin est maintenant plus plat (on a quand même monté 400 mètres au final).

Et on arrive au Boret. ici, au début du XXe siècle, un village de mineurs s'était constitué (les hommes passaient par le Pas). Mais pas assez rentable, tout a fermé. Ce chalet a plus récemment été construit, non pas pour héberger les randonneurs, mais pour les nourrir.

Pour le moment, nous avons marché pendant 2h45 minutes (1h30 jusqu'au Bout du Monde, puis 1h15 pour arriver au Boret).

Le dimanche, on fait une petite marche tranquille au frais, le long du Giffre. Au final, avec l'aller-retour, on aura mis pas loin de 2 heures, mais comme c'était plat, c'était bien sympa.

30 minutes AR pour voir la cascade, avant de suivre le Giffre.

 

La cascade du Nant d'Ant, bien cachée dans la forêt, a encore un débit assez fort.

 

La cascade, au fond de sa cuvette.

 

Le banc permet d'apprécier bien tranquillement la fraîcheur apportée par les embruns du torrent.

 

On se sent tout petit, non ? Et encore, ce n'est rien par rapport au Fer à Cheval.

 

Le sentier d'accès en forêt.

 

Notre promenade le long du Giffre, suit une partie du GR 5 (le sentier qui traverse l'Europe depuis les Pays-Bas jusqu'à Nice). Le torrent est ici un peu tumultueux.

 

Ce qui explique la possibilité de faire du rafting sur le Giffre.

Voici quelques photos de la ville de Samoëns, dont le centre est bien charmant. Et encore, vous n'avez pas vu les villages périphériques !

 

 

 

Une boutique dans laquelle on trouve des marionnettes.

 

Cette rue permet d'accéder à la place du Tilleul (et à l'église). A gauche, la maison (et le jardin botanique, qu'on n'a pas eu le temps de faire) de Madame Jaÿ (la femme de M. Cognacq, fondateurs de la Samaritaine).

 

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, plusieurs fois remaniée.

 

Le fameux tilleul, superbe, malgré ses 700 printemps.

 

Les anciennes halles.

 

Deux maisons superbement envahies par les glycines.

Et à l'extérieur, c'est vraiment très bien !

 

Le chemin menant au gîte.

 

La maison.

 

La maison prise depuis le jardin (le gîte est en-dessous).

 

On profite du salon de jardin pour prendre un apéro.

 

On petit déjeuner avant que le soleil ne se lève (le gîte est orienté au nord).

 

Le jour de notre arrivée, il ne faisait pas très beau, donc pour la vue ce n'était pas ça.

 

Mais quand ça se lève...

 

Le Criou le soir, dans les derniers rayons du soleil.

 

Voici la vue qu'on avait depuis la terrasse (version agrandie en cliquant sur l'image).

 

Et puis, tous les jours, des parapentistes survolaient la vallée.