Par cette mise en route, une étape de quatre heures de marche, mais avec tout de même 500 mètres de dénivelé cumulé. Tout en longeant l'Orne. (pour mieux lire les lieux vous pouvez cliquer sur l'image).

 

J'ai laissé ma voiture de location sur le parking de la chambre d'hôtes qui m'accueillera à la fin de la boucle. Et vous pouvez voir ci-dessous (et ci-dessus) que le cadre de l'hébergement au pied de l'Orne est tout simplement très agréable. Et ce que vous voyez ci-dessus, au loin, ce sont les rochers de la Houle, hors parcours pour moi.

 

Quelques minutes plus tard, après mes premiers pas, un beau panorama (agrandi en cliquant sur l'image) sur les rochers de la Houle.

 

Et en continue à monter, pour atteindre les rochers des Parcs.

 

Et du premier belvédère, la première chose qu'on remarque, c'est l'Orne serpentant 70 mètres plus bas.

 

Mais on voit aussi ce viaduc de voie ferrée, maintenant réhabilitée en voie verte.

Et au général, ça donne cela. C'est petit ? Cliquez sur le panorama, vous aurez même des légendes ! et avec une description ci-dessous (pour mieux lire, cliquez sur l'image).

 

Au loin, le point culminant (254 mètres) : la bien-nommée Éminence.

 

Le sentier de crête, au milieu de la bruyère.

 

 

Le méandre de l'Orne, d'un peu plus loin (image agrandie en cliquant dessus)

 

Petite précaution : les piétons sont au plus proches de la falaises, et les randonneurs véhiculés empruntent un sentier plus à l'intérieur, comme visible ci-dessous.

 

Je descends vers le Bô.

 

 

On se retourne une (dernière ?) fois vers le viaduc, l'Éminence, les rochers des Parcs, l'Orne.

 

D'ici, ça paraît bien plat !

L'Éminence, je te donne rendez-vous dans 3 jours (de marche, hein !)

 

Il m'a fallu passer par là, et prendre un GR pour enfin atteindre le GRP du TSN.

Et maintenant quelques vues du hameau du Bô.

 

Une maison en pierre.

 

Des coquelicots sur un talus.

 

L'église et son cimetière.

Et pour rejoindre la gare de Ballancourt, le point final, il me faut marcher entre les étangs de Vert-le-Petit, agréable lieu de détente (et c'est aménagé pour).

 

Une vue panoramique d'un des étangs (image agrandie en cliquant dessus)

 

Et on peut y observer de nombreuses familles d'oiseaux, comme ces bernaches :

 

 

 

Les cloches de l'église sonnent l'heure du repas.

 

Une famille de cygnes en promenade :

 

 

 

Des oies à la recherche de nourriture.

 

Un autre étang.

 

On se rassemble tous pour manger.

 

Et pour sortir de la zone, un emprunte un chemin-digue.

 

Et donc, à gauche comme à droite, on a vu sur les plans d'eau.

 

 

Je finis donc par rejoindre Ballancourt-sur-Essonne.

 

Mais comment doit-on écrire le nom de cette rivière ?

Je serai bien resté longtemps à observer ma bergeronnette, mais j'ai encore beaucoup de chemin à faire.

 

Tout en longeant l'Essonne, on remarque bien que le terrain est marécageux.

 

 

À droite la forêt, à gauche le marais.

 

Et des fois, je longe de beaux champs de blé.

 

Ça n'a pas l'air, mais ce chemin qui serpente fait partie de l'ancien parc du château d'Écharcon, petite bourgade que je traverse.

 

Tiens, une fontaine-puits originale.

 

Le château d'Écharcon, propriété privée.

 

Après Écharcon, retour en bord d'Essonne, et des observatoires offrent de belles vues sur les étangs et sa population ornithologique.

 

Et évidemment, le terrain est un peu boueux.

 

Un panorama pris depuis un observatoire (image agrandie en cliquant dessus)

 

De l'autre côté de la barrière, ce sont les marais.

 

Rigolo, non ?

À mi-chemin, à l'heure du déjeuner, je trouve un lavoir restauré. Autant s'y poser pour manger, à l'ombre et au bord de la rivière.

Et tout d'abord, un peu de lecture.

 

 

L'extérieur du lavoir.

 

 

Et son intérieur.

 

 

Intéressons-nous à ce qui se passe sous le pont.

 

Des poissons se cachant sous la petite cascade.

 

Mais surtout, j'ai pu observer une bergeronnette des ruisseaux faire des allers-retours pour nourrir ses petits. Et ça fait de bien belles photos.

 

 

 

Au-delà de la route qui longe la ruine de l'usine, j'emprunte le sentier de l'Escargot, bien caché entre deux maisons.

 

 

Le fichier porte bien son nom, tout en virage, bien envahi par la végétation et... uniquement constitué de marches, ce qui est un peu épuisant pour monter sur le tertre.

 

Je quitte Corbeil-Essonnes... en traversant l'Essonne.

 

Après avoir franchi la voie ferrée je redescends la longer (et quitte les routes goudronnées).

 

Ça donne envie de se poser, hein ? Sauf que l'autoroute passe juste à côté !

 

Le sentier longeant la rivière.

 

Arrivée à Ormoy, je remonte sur le plateau (ce qui fait un petit dénivelé) et découvre ainsi deux curiosités.

 

Un feu bien caché.

 

Et un aqueduc dominant.