Après Jouy-en-Josas, on passe le long de champs pour rejoindre Bièvres.

Cela permet de voir passer une rame du RER C.

 

La vallée de la Bièvre et ses hauteurs (image agrandie en cliquant dessus). Ce n'était pas la portion la plus intéressante, car cette piste cyclable goudronnée longe une départementale.

 

Un reptile en approchant de la gare de Vauboyen, où je vais faire une petite pause à côté du lavoir.

 

 

Je reconnais ce type de panneau (j'ai déjà fait une boucle à Bièvres).

 

Quelques photos du cours d'eau.

 

 

 

 

 

La promenade est très agréable ici, sur ces sentiers piétonniers larges et quiets.

 

Même les bernaches se plaisent dans le golf de Verrières !

 

 

Profitons de cet aspect "sauvage" de la Bièvre, car à partir de Massy, cela va devenir bien plus urbain.

 

Et pour terminer, le lac (bien artificiel) de Verrières-le-Buisson.

 

Un an plus tard, je reprends le cours de mon suivi de la Bièvre, en en terminant avec la partie "campagnarde" : en partant de Petit-Jouy, je vais aller jusqu'à Massy.

 

Il y en a pour toutes les directions (avec aussi un peu d'humour).

 

 

Les quais de la gare sont juste au-dessus du pont, et je vais passer en dessous pour rejoindre Jouy-en-Josas.

 

Je n'ai malheureusement pas le temps de m'arrêter pour visiter le musée sur la célèbre toile de Jouy. Pourtant, la voie d'accès est très agréable.

 

 

Redescendons marcher le long de la Bièvre, sous quelques frondaisons.

 

 

La Bièvre est certes canalisée, mais cela paraît presque "naturel".

 

Un peu plus loin, voici le canal de la Manufacture. Comme son nom l'indique, son cours permettait de faire fonctionner les tapisseries de toiles.

 

Le clocher de l'église de Jouy-en-Josas, et ses 4 pyramidions.

 

Une nef romane, qui abrite une très belles statue en bois d'une Vierge à l'Enfant du XII^ème siècle, dite "la Diège" (la Mère de Dieu) :

 

La première maison occupée par l'ingénieur Oberkampf, dite au pont de pierre.

 

Dans le jardin, les stèles de la famille Oberkampf. Et je vous laisse lire ci-dessous l'épitaphe.

 

On se retourne, et on voit déjà le deuxième étang : l'étang Laurence.

 

 

 

Après l'avoir longé, je passe devant la fontaine du frère Jean, un compagnon de Jeanne d'Arc qui pleure de l'avoir abandonnée.

 

Puis le troisième étang, celui dit "Isabelle" (pour le dernier, le plus grand, en l'honneur de Virginie, on ne peut le voir).

 

 

 

Dernier plan d'eau, une petit canal. Vous voyez les branches mortes dans l'eau à gauche ? J'y ai observé un canard en pleine toilette.

 

 

Et encore, vous n'avez pas la vidéo !

Petit détour par le bois des Ormes, puis retour dans la forêt de Bondy.

 

 

Le carrefour des Six-Routes, signe d'une forêt royale de chasse.

 

 

Un petit ponton, pour avoir les pieds au sec.

 

Je termine de traverser la forêt, vers Clichy-sous-Bois et Livry-Gargan.

 

 

L'église, bien blanche, de Livry.

 

Et ma dernière pause casse-croûte, avant de prendre les transports en commun et rentrer chez moi.

On continue l'entraînement pendant le pont de l'Ascension, en commençant les marches de 3 heures ou plus. Me voici donc à la limite entre la Seine-Saint-Denis et la Seine-et-Marne, dans la forêt de Bondy.

 

Ces panneaux en bois rythmeront ma marche. Et non, je n'ai pas été faire de l'acrobranche.

 

Je prend d'abord une grande allée, bien rectiligne, car je passe sur l'aqueduc (souterrain) de la Dhuis. Et ces bornes hectométriques jalonnent l'édifice.

 

Voulez-vous entrer dans la forêt ?

 

Et le voici, l'aqueduc ! Enfin, l'allée qui passe dessus...

 

Une allée transversale.

 

En ce point (et avec ce regard), on quitte l'aqueduc, et la forêt, pour entrer dans Montfermeil. Mais repartons plutôt dans cette dernière, car il y a des plans d'eau à aller longer.

 

Comme celui-ci, et sa belle roselière. Et j'ai pu ainsi observer tout à loisir une famille de foulques, ce qui est plutôt rare. Donc régalez-vous avec les photos ci-dessous.

 

 

 

 

 

Mais il faut bien avancer, en suivant le GR.

 

Une petite clairière.

 

J'aime vraiment ces chemins étroits, serpentant entre les arbres.

 

Et j'arrive aux étangs des "sœurs" : quatre étangs portant le nom des filles d'un ancien propriétaire de la forêt. Voici d'abord l'étang Dominique, et ces canards.

 

À suivre...

Dernier jour d'avril, éloignons-nous un peu de la capitale (tout en restant dans le Val-de-Marne) et promenons-nous dans Champigny.

 

La Marne et ses nombreuses îles.

 

Et c'est parti, prenons le chemin de berge.

 

Tiens, une borne des Ponts et Chaussées !

 

Un couple de cygnes, rejoignant une oie bernache.

 

Un temps couvert, mais sans pluie, un peu de douceur, idéal pour marcher.

 

Voici six oies bernaches, s'occupant diversement, et dont certaines veillent sur leur progéniture, regardez bien !

 

 

 

 

Une photo qui rappelle les gorges de la Loire... il y a 12 ans !

 

Je viens de franchir une voie ferrée, et je monte sur le tertre de Champigny.

 

Mais il faut en redescendre. Au loin, le quartier de la Défense.

 

Les trois photos suivantes rappellent la guerre de 1870 contre la Prusse, avec d'abord l'ossuaire de la bataille de Champigny.

 

 

Et la Maison aux éclats. Comme son nom l'indique, on pouvait y voir il y a quelques années des impacts de balles (et même un obus !) dans les murs. Mais avec le ravalement de façade, il n'y a plus rien :(

 

Et pour finir, l'église campagnarde de Champigny.