Le chemin du TSN passe juste en-dessous de la Forêt-Auvray. Mais il faut absolument s'y arrêter (c'est juste une variante, sans se rallonger), car il y a un belle endroit pour pique-niquer, et le bourg est très agréable avec ses maisons en pierre (mais pas que).

 

On passe ainsi à côté du lavoir.

 

La rue principale de la Forêt-Auvray.

 

Un aménagement relaxant.

 

La mairie annexe.

 

Prenons à droite, vers l'église.

 

Malheureusement, on ne peut pas rentrer à l'intérieur (partage, j'imagine, entre les différentes paroisses pour les ouvertures des édifices religieux).

 

J'aime bien ces petits arbustes fleuris le long de l'église. Mais que voit-on au fond de l'image ?

 

Deux belles halles du XVI^e, restaurées et réaménagées. À droite, la salle communale; à gauche, des tables des pique-nique.

 

La place de l'église.

 

La halle, où je vais pique-niquer, seul, à l'abri (une ondée sera passée pendant ma pause déjeuner).

 

Ah ça, j'y étais bien !

 

À partir de la Fouillerie, on longe l'Orne rive droite, je ne vais donc pas franchir ce pont.

 

Mais cela ne m'empêche pas d'aller dessus lire la stèle et voir couler le fleuve.

 

 

Et maintenant, par une petite route plus ou moins proche de la rive, je remonte l'Orne.

 

 

Après avoir franchi un petit ruisseau, une montée sèche m'attend. Remarquez que le sentier est bien caché dans la végétation :

 

Une montée de 60 mètres, ça n'a jamais fait de mal à personne.

 

Surtout pour voir cette belle boucle de l'Orne (je suis passé devant la maison à droite, cliquez sur l'image pour mieux voir).

 

Un coquelicot.

 

Après une nouvelle portion routière, je ne suis pas mécontent de prendre un chemin creux, même en montée.

 

Un chemin creux qui se transforme en chemin entre champs.

 

Je rejoins ainsi la route vers la Bourganière, et hop, découverte d'un nouveau lieu patrimonial.

 

 

 

Sympa, la vue depuis la Bourganière !

 

Et maintenant, on descend vers l'Orne, par de beaux chemins.

 

Le passage de cette barrière n'est pas simple, surtout avec un sac à dos de randonneur !

 

Mais que dire de ce bourbier. Heureusement qu'il y a le sentier bis !

 

Et c'est parti pour vingt bonnes minutes de marche le long de l'Orne, à travers le bois des Isles.

 

 

On atteint ainsi une route, et un pont permettant de passer en rive gauche.

 

Meules, barrières en bois, la campagne, quoi !

 

L'ancien moulin du Château, et derrière les rochers du Bec Carbin.

On voit mieux les rochers, dans la montée bien pentue vers la Forêt-Auvray.

Encore une étape de traversées de vallées (500 mètres de dénivelé cumulé), 5h30 de marche, d'abord rive droite, puis rive gauche de l'Orne.

 

Les toits de Pont-d'Ouilly au démarrage.

 

Deux vues générales sur Pont-d'Ouilly et la vallée de l'Orne (l'image en-dessous est agrandie en cliquant dessus)

 

 

Mes premiers chevaux (et les seuls que je verrai, c'est plutôt une région à vaches).

 

Une belle entrée de propriété.

 

Le temps est un peu plus gris (il a plu juste avant mon départ), c'est donc agréable pour marcher.

 

Et des fois, il y a quelques rafales de vent.

 

Petite descente vers l'Orne.

 

Une photo en mode paparazzi.

 

Et j'arrive dans un coin idéal pour se poser : la Fouillerie (il y a d'ailleurs de nombreuses tables de pique-nique). Il y a des vestiges industriels : comme ce viaduc de la ligne Berjou-Falaise.

 

 

 

 

Ou encore cette ancienne usine de filature, fermée depuis 1992.

Les panneaux en bois m'accompagnent aujourd'hui, et ce n'est pas fini.

 

Le dernier tiers du parcours du jour est surtout par marqué par la remontée de la vallée de la Hère dans les petits bois visibles sur la photo (en face, c'est Bourg-d'Ouilly).

 

C'est parti, on remonte la vallée de la Hère.

 

Et voici susnommé.

 

Oui, je verrai beaucoup de digitales pendant ces quatre jours de marche.

 

Traversée du torrent (bah oui !), par remonter vers Bourg-d'Ouilly.

 

Courage, encore une heure de marche !

 

Un sentier agréable, non ?

 

Je m'élève un peu

 

Et je sors sur un plateau normand (image agrandie en cliquant dessus)

 

Mes premières vaches normandes.

 

Un chemin plus ou moins bien dégagé, avant de descendre sur Pont-d'Ouilly.

En sortant du Bô, je découvre ces beaux panneaux en vois, qui m'indique déjà la distance qu'il me reste à faire.

 

Je descends vers le lie-dit du Moulin à Papier, qui me permet de longer l'Orne.

 

Mais il me faut remonter vers les différents hameaux constituant la commune de Cossesseville.

 

Par monts et par vaux, je passe ainsi à côté de ce petit lavoir.

 

Je suis à mi-parcours, je m'arrête alors pour pique-niquer (j'ai commencé la marche après 11h, heureusement que c'est couvert et qu'il fait bon après le passage orageux de la veille).

 

On distingue l'église de Cossesseville dans ce paysage de bocage.

 

Je prendrais beaucoup de piste permettant d'accéder aux champs ou prés, autant vous y habituer !

 

Quelques meules.

 

J'arrive au hameau du Manoir, ce qui me fera ensuite redescendre vers l'Orne.

D'où ces deux photos vous permettront d'admirer le lieu très tranquille des rochers de Brisevieille.

 

Mais il me reste une dernière partie à faire, avec deux montées-descentes.

Commençons donc par ce chemin forestier pour aller vers Plainville.