-
Par deepdelver le 2 Mai 2011 à 12:00
Un temps estival incite forcément à se promener dehors, voici donc une petite boucle de 90 minutes sur les bords de l'Erdre à Sucé.
Voici le sentier qui suit l'Erdre, plutôt technique puisque très souvent, on doit passer sur des pierres glissantes, au dessus de la berge ! Tellement technique que nous ne pourrons pas aller au bout.
Avant de remonter dans le bois, petite vue sur le bourg de Sucé et son port de plaisance (bon, c'est vrai on ne voit pas grand-chose, mais toutes les photos ont été prises avec un téléphone portable, alors ne vous plaignez pas trop !
La partie méridionale de la ballade contourne un centre sportif, s'enfonce dans un petit bois en longeant un marais et rejoint une ferme.
Ensuite, plein nord pour revenir auprès de l'Erdre et on prend des petites rues pour arriver, bouche bée, devant une drôle de maison.
Déjà l'ardoise nous met dans l'ambiance : Il vaut mieux rire dans une chaumière que pleurer dans un château.
Et quelle chaumière !!! On a vraiment l'impression d'être transporté dans un conte de fée, et on reste de longue sminute sà observer les 1001 détails de la propriété. A vous de jouer !
Le puits.
La maison.
L'entrée du garage et du jardin.
Après cela, on a bien mérité un pot sur le port !
votre commentaire -
Par deepdelver le 13 Avril 2011 à 12:00
Avant de repartir à Valmeinier, entraînons-nous aux pentes de cette colline, le long de l'ancien tracé de la Bièvre.
Un parcours très tarabiscoté, plein de montée et descente, mais très agréable en ce jour printanier.
Rue Vergniaud, une petite église de la confrérie antoiniste.
La Villa Daviel, qui ressemble à d'autres villas parisiennes (rue pavée étroite, maison en briques de deux étages accolées les unes aux autres, petits jardinets).
Le jardin Brassaï, bien caché derière une barre d'immeubles.
L'église Sainte-Rosalie, construite au XIXe siècle dans un style moyenageux. Vous ne trouvez pas qu'il lui manque quelques chose ?
Un vitrail à l'intérieur, richement décoré.
L'école supérieure des arts et industries graphiques; le portail d'entrée provient de l'atelier Eiffel.
Le terre-plein central du boulevard Auguste-Blanqui en face de l'école, aux couleurs printanières et avec un kiosque à musique, plutôt rare sur un boulevard.
Repartons maintenant à l'assaut de la butte, avec ses petites rues pavées et ses pavillons campagnard, comme ici rue Gérard.
Place de la Butte-aux-Cailles, voici la piscine, à l'emplacement exact d'un ancien réservoir de la Bièvre.
Juste à côté de la piscine, je vous présente "le Château", une appellation ironique des habitants du quartier.
Prenons la rue Buot pour descendre vers l'église Sainte-Anne, dont vous apercevez le dôme et les clochers.
Vue de derrière, l'édifice est particulièrement impressionnant. Regardez comme la maison se fait toute petite !
Revenons au XXe siècle, avec cet éloge au progrès à l'entrée de l'école Telecom ParisTech.
Le passage Vandrezanne, très pittoresque.
Le passage du Moulinet, avec des arbres en fleurs, et une tranquillité bienvenue.
On aime la verdure, ici !
Beaucoup plus resserré, et moins accueillant, donc plus de tranquillité.
La façade de l'église Sainte-Anne-de-la-Butte-aux-Cailles, particulièrement imposante, voilà qui finit en beauté mon premier périple dans les arrondissements parisiens.
votre commentaire -
Par deepdelver le 5 Avril 2011 à 12:00
En ce premier jour du printemps, partons à la découverte de la célèbre butte (vous pouvez agrandir le plan en cliquant dessus).
La place du Tertre est bien entendu un lieu incontournable, et les arbres encore effeuillés laissent apparaître les clochers du Sacré-Cœur.
L'église Saint-Pierre et, comme vous le verrez sur d'autre photos, le bâtiment emblématique de la butte.
Partons à l'ouest maintenant en empruntant la rue Norvins, une rue typiquement villageoise.
En arrivant rue de l'Abreuvoir, une vue se dégage sur Montparnasse.
Enpruntons la rue Cortot, et arrêtons un instant devant la cour du Musée de Montmartre.
Les décorations de l'immeuble situé au 1 rue Cortot, sont très animalières :
Repartons vers l'ouest, pour découvrir ce qui (a) fait la renommée de Montmartre :
Ses vignes (vous pouvez cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Le Lapin agile.
La Maison Rose, où la terrasse est pleine
Et le Moulin de la Galette.
Juste à côté de la Maison Rose, le 4 rue de l'Abreuvoir nous fait voyager, et sourire :
Traversons le square Suzanne Buisson, et sa rotonde très Art déco.
La villa Léandre est typique de ces petites impasses parisiennes, riches de pavillons charmants, et de verdure très présente.
La sculpture du Passe-muraille ne peut bien sûr être situé que sur la place Marcel Aymé.
Avant de partir, cette demeure fut l'une (sinon la) des dernières résidences de Dalida. Elle est située rue d'Orchampt.
Et enfin, avant de reprendre le métro à Abbesses (dont les quais sont situés 36 mètres sous terre !), une dernière vue sur les toits de Paris.
votre commentaire -
Par deepdelver le 29 Mars 2011 à 12:00
A l'est du cimetière du Père-Lachaise, l'ancienne commune de Charonne nous permet de quitter l'ambiance très citadine, pour ne pas dire urbaine, de Paris et son agglomération. Petit voyage dans l'espace (vers les petits bourgs campagnards), voire le temps.
Mais avant cela, un dessus-de-porte plutôt mélancolique, au fond de la villa Stendhal.
Prenons un instant de repos dans le cimetière de Charonne, l'un des seuls à Paris à jouxter une église.
Et voici l'église du village (Saint-Germain-de-Charonne), légèrement surélevée, malheureusement fermé pour cause de rénovation.
Prenons en face la rue Saint-Blaise, rue pavée, (presque piétonne), aux maisons basses. Mais l'immeuble au fond nous rappelle que nous sommes à Paris.
Je préfère très nettement cette vue-là, avec les volets blancs, les jardinières, l'ouverture sur le toit, et l'église en toile de fond.
Rue de Bagnolet, un accès à la porte d'entrée original.
Le pavillon de l'Ermitage est tout ce qui reste du château du même nom, dont la propriété attenant était 5 fois plus grande que l'étendue actuelle du cimetière du Père-Lachaise ! Maintenant, c'es tun petit lieu de verdure.
A la fin de l'excursion, flânons dans les rues Irénée Blanc et Jules Siegfried, très paisibles, et admirons ces petits pavillons, construits au départ (lors des travaux du XIXe) sous l'égide de l'association La campagne à Paris. Et sur cette petite butte, la circulation ne s'entend vraiment pas, c'est donc très agréable de découvrir les premiers bourgeons et fleurs printaniers, qui renforcent la touche colorée de l'endroit.
La Campagne, vue depuis la Porte de Bagnolet.
1 commentaire -
Par deepdelver le 28 Février 2011 à 12:00
Picpus est le nom d'un acien village, maintenant intégré à Paris, juste à côté de la place de la Nation. Cela n'a pas été la plus belle excursion proposée par mon guide, et ne plus il ne faisait pas beau. Néanmoins, quelques bâtiments dignes d'intérêt.
La fondation Eugène Napoléon, créée à l'origine pour accueillir les orphelines, sert maintenant davantage de résidence universitaire pour jeunes filles.
En face de la fondation, le n°1 rue de Picpus, avec ses balcons en fer forgé et des frontons travaillés.
La rue Dorian est caractéristique de ses immeubles Art nouveau conçus par l'architecte Falp. Le bâtiment en angle avec la rue de Picpus est original avec les créneaux sur les toits, dont on voit les détails ci-dessous.
Entrons dans la rue, pour observer les portes d'entrée.
2 rue Dorian.
4 rue Dorian.
6 rue Dorian.
Côté impair, c'est pas mal non plus.
Remontons maintenant vers Nation via la rue Fabre d'Eglantine, et arrêtons-nous quelques instants devant le n°9, au décor moyenâgeux.
Empruntons la rue de Bel-Air, pour retrouver un immeuble de Falp, toujours avec ses chevelures féminines au vent.
On retrouve alors la rue de Picpus avec, au n°37, l'entrée d'un ancien couvent.
Ci-dessus les insignes de cet ordre religieux.
Un des pavillons de l'hôpital Rotschild.
Enfin, pour terminer la visite, quelques pavillons en pierre rue Dagorno.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique