-
Les vacances approchent, et comme je vais être sevré de parties, j'en profite un maximum.
En visite au café Meisia, je présente Carcassonne au gérant et à sa sœur. On joue avec les marchandises, et l'auberge.
Je n'ai pas noté les scores, et la partie fut plaisante. Vous remarquerez la présence d'un circuit, et aussi d'une très grand champ.
[Scores non notés]
Durée de la partie : 1 heure 30 minutes
Note personnelle : 8/10
votre commentaire -
Une soirée chez Pierre, un peu décevante pour moi. Pourquoi ?
D'abord par une partie de Pandémie, où j'ai bien vu l'effet leader en pleine action dans un jeu coopératif. Avec 2 joueurs connaissant sur le bout des doigts tous les rôles, tu te laisses complètement guider. Tu es ainsi plus spectateur qu'acteur de la partie, et c'est bien dommage.
A noter qu'on a joué avec une variante, où chaque joueur incarnait un rôle différent, récupéré au début de son propre tour de jeu. C'est pas mal, mais encore une fois gâché par l'expertise de mes partenaires.
[Victoire]
Durée de la partie : 1 heure
Note personnelle : 5/10
Puis une partie de Factory Fun, où j'ai terminé bon dernier, ayant un peu de mal à optimiser mes réseaux (2 pastilles seulement).
Et puis, avec un mauvais éclairage, ce n'est pas toujours facile de distinguer le rouge et le marron.
[Scores non notés]
Durée de la partie : 45 minutes
Note personnelle : 6,5/10
votre commentaire -
Une soirée au Flash, pour une partie de Russian Railroads.
Jouant avec un débutant à ce jeu, nous avons passé pas mal de temps à lui prodiguer quelques conseils, donc au détriment de notre propre développement. Si les connaisseurs ont gagné, ce fut néanmoins de haute lutte, en commettant quelques belles erreurs.
La mienne fut principalement de prendre un "mauvais" objectif (m'assurer les 40 PV de bonus des conducteurs avec le conducteur supplémentaire).
J'ai joué la carte industrie et rails gris, mes adversaires jouant davantage sur le Transsibérien.
Encore une belle partie, aux scores donc relativement serrés.
[Points : 375 – 342 – 330]
Durée de la partie : 2 heures
Note personnelle : 8,5/10
votre commentaire -
Eric fait le tri parmi sa nombreuse ludothèque, en vue de son futur déménagement.
C'est pourquoi nous effectuons ce soir une partie de Batavia avec Yoann et Sam et autant le dire tout de suite : 5 joueurs n'est pas vraiment la meilleure configuration.
On peut soit proposer des cartes actions aux enchères (la distribution de l'argent se fait à circuit fermé entre tous les joueurs), soit poser des cartes action des compagnies maritimes en jeu (Royaume-Uni, France, Pays-Bas, Danemark, Suède), et avancer sur la prochaine tuile d'une compagnie où l'on est majoritaire.
La tuile ainsi récupéré permet de poser une caisse de marchandises sur la bonne case et, s'il s'agit d'une nouvelle marchandise, de vendre un lot de marchandises différentes pour marquer des points.
En fin de partie, il y a un décompte sur les marchandises, avec des points marqués pour le joueur majoritaire.
Autant le dire, à 5 on ne contrôle pas grand-chose, et il est difficile de renverser une majorité sur les marchandises (il n'y a que 5 places, une par compagnie). Certes, les pirates peuvent rééquilibrer les situations (on vire toutes les cartes de la compagnie en ayant le plus posées), mais ça ne change pas grand-chose.
Vous remarquerez qu'il y a un peloton de tête (en haut), et un peloton de queue (en bas).
A jouer à moins (idéalement 3), et puis en ne connaissant que les dix prochaines tuiles marchandises, pour qu'il y ait de l'incertitude.
[Points : 76 – 69 – 66 – 42 – 42]
Durée de la partie : 1 heure 30 minutes
Note personnelle : 7/10
Puis, pour détendre l'atmosphère, une partie d'Estiméo.
Un joueur fournit à ses adversaires 3 (ou4) défis plus le défi du maître et une valeur référence. En 30 secondes, les joueurs doivent classer ces défis (réponse chiffrée) en évitant les erreurs. La réponse peut être fixe ou variable (dépendant de la valeur du dé ou mesurable avec le mètre).
Par exemple ici, il faut estimer le tour de tête d'Eric.
Bien sympa pour finir une soirée.
[Scores non notés]
Durée de la partie : 1 heure
Note personnelle : 8/10
votre commentaire -
Visitions maintenant l'abbaye de Royaumont, fondé du temps de Saint-Louis. Sur cette vue aérienne, on repère tout de suite le cloître et, juste au nord, le plan de l'ancienne abbatiale, détruite à la Révolution.
Petite note légère, ce dirigeable ayant survolé 2 fois le domaine.
On commence d'abord par se promener dans le parc. Il y a beaucoup de canaux à l'abbaye, d'une part pour les besoins de fonctionnement (évacuation des déchets) mais aussi lorsque le site a été transformé en filature de coton au XIXe siècle (il faut beaucoup d'eau pour alimenter les machines). Aujourd'hui, le lieu est un centre d'accueil pour artistes, principalement les danseurs et chanteurs.
Une folie, construite pour un abbé au XVIe-XVIIe. L'abbé était nommé par le roi, et n'était pas vraiment issu du monde religieux.
Une vue sur le potager.
Voyons maintenant les différents bâtiments de l'abbaye, quand on arrive par l'entrée principale :
- à gauche, le bâtiment des latrines (elles-mêmes situées au premier étage
- au centre les bâtiments des moines (120 moines au plus fort du fonctionnement du monastère)
- à droite le vestige de l'ancienne église.
Un autre angle sur les bâtiments conventuels.
Le bâtiment des moines (cellules au haut, bibliothèque et parloir notamment en bas).
Le bâtiment des latrines, où coule au centre le canal. Il faut savoir qu'au premier étage, il y a 60 latrines alignés tout le long du bâtiment (30 par côté).
Je vous rassure, les latrines ne fonctionnent plus. Par contre, on ne peut pas observer cela de plus près, le premier étage est strictement interdit aux visiteurs.
Entrons maintenant dans l'ancienne abbatiale. Comme je l'ai dit, celle-ci a été détruite à la Révolution, par le nouveau propriétaire, noble, des lieux. Il a utilise 300 bœufs pour faire s'effondrer la structure, à part la tourelle, probablement à cause de (ou grâce à) son armature en fer. Les pierres ont servi pour construire la ferme située juste derrière.
Depuis le pied de la tourelle, voici l'ancienne sacristie, et un reste de drapé.
La fameuse tourelle d'escalier.
Entrons maintenant dans le monastère, avec la parloir, seul lieu où les moines pouvaient parler.
Quelques vestiges archéologiques, avec notamment l'emplacement des axes des roues pour la filature.
Les cuisines, avec le réfectoire des moines et celui des convers de part et d'autre : on ne mélange pas les torchons et les serviettes!
La salle du réfectoire des moines, qui fait aujourd'hui office de salle de concert.
Cette salle a un pavage dans le style Moyen-Age,mais refait tout récemment, avec les techniques de l'époque.
Enfin, faisons le tour du cloître, sobre, mais clair.
Vous sur les bâtiments des convers, actuellement occupé par la famille propriétaire des lieux.
Vers l'ancienne abbatiale.
Une dernière vue du domaine avant de partir.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires