Premier week-end d'automne, mais c'est un samedi estival : douceur de l'air et pas un nuage. L'occasion rêvée donc, de faire une nouvelle marche dans les environs de Paris. Aujourd’hui, ce sera donc le parc de Saint-Cloud, à l'ouest, et 2 heures de pur bonheur.

 

Arrivé par la ligne 10, je franchis la Seine au pont de Saint-Cloud, m'offrant cette vue sur la ville.

 

On grimpe ensuite pour trouver l'accès au parc de Montretout (bien dissimulée pour quelqu'un qui n'est pas de coin). Petit contournement d'un bassin et de statue...

Avant de s'offrir cette superbe vue sur le parc et Paris (panorama à taille réelle en cliquant dessus).

 

Le jardin du Trocadéro, à l'emplacement de l'ancien château, rasé fin XIX^e-début XX^e.

 

Voici à quoi ressemblait ce château, fréquenté par Marie-Antoinette (à moins que ce ne soit l'impératrice femme de Napoléon III ?).

 

On lève le nez du panneau, direction cette grande allée pour remonter tout le parc.

 

On traverse tout d'abord le jardin du Trocadéro.

Arrivé en haut des marches, se retourner vaut vraiment le coup d'œil.

 

Un petit bassin masqué, mais encore un bel exemple de jardin aménagé.

 

On avance, on monte encore un peu, et on arrive à la place des 24-Jets, malheureusement pas en service.

 

L'allée de la Grande Gerbe, avec de plus en plus d'arbres.

 

A partir de maintenant, c'est une longue ligne droite avec une pelouse au centre, et des allées ombragées sur les côté. Un peu d'ombre fait de bien, et c'est vraiment très agréable de marcher.

 

Tout au bout de cette allée (cela représente pas loin d'une bonne demi-heure de marche), j'emprunte ce chemin (avec lampadaire !) en forêt.

 

Cela permet de rejoindre l'entrée du parc à Marnes-la-Coquette (eh oui, il y a un péage pour les voitures). Voici donc la Porte Blanche.

 J'aurai pu, en traversant Marnes-la-Coquette, rejoindre des étangs, mais j'ai préféré faire demi-tour.

J'ai tout de même pu admirer quelques belles maisons, ainsi que la poste du coin.

 

Le retour se fait par le GR, et permet de passer à côte de cette belle loupe.

Attention, l'orientation n'est pas forcément évidente dans la forêt, et pour bien suivre le chemin, je ne peux que conseiller les guide de la FFRP (le Petit Crapahut, et ce n'est pas la première fois que je le remarque, n'est pas assez précis). J'ai tout de même pu retrouver mon chemin (prendre ensuit les marque jaune à l'entrée sud du parc), et j'ai pu ainsi suivre le mur, pour revenir jusqu'à la Balustrade.

 

Deux beaux derniers points de vue sur Paris.

 

Je descends alors rejoindre le tram devant le musée de la céramique de Sèvres. Mais avant cela, un dernier point de vue sur la Seine depuis le pont de Sèvres.

Nouvelle sortie, un peu fraîche, un peu nuageuse, dans le parc de Sceaux.

 

La première partie se fait le long de la Coulée Verte, un parcours d'une douzaine de kilomètres depuis la gare Montparnasse.

 

On passe entre les immeubles, dans des zones paysagères.

 

En approche du parc, avec cette belle vue sur le château et la terrasse des Pintades.

 

J'entre dans la parc par sa porte ouest, en contournant le pavillon de Hanovre (ci-dessous), déplacé pierre par pierre depuis Paris.

 

Après avoir "évité" le Grand Canal, on arrive sur l'allée principale.

On arrive sur la terrasse des Pintades, avec une belle vue sur le château, à l'intérieur duquel se trouve le musée d'Île-de-France (non visité ce jour-là).

 

Vue sur le Grand Canal, en surplomb.

 

La terrasse des Pintades, et la grande allée.

 

Dirigeons-nous maintenant vers la sortie.

 

On arrive en haut de la Grande Cascade (malheureusement pas en service, alors qu'on est dimanche). Au fond, le bassin de l'Octogone et son jet, lui bien en activité.

 

 

Je prends ma dernière allée, passant ainsi entre ces deux sculptures.

 

 

Dernière vision du Grand Canal, avant de rentrer chez moi.

 

Une sortie tranquille, mais un peu fraîche (il avait plu les heures précédentes).

Nous avons un bel été indien en ce mois de septembre, je vais en profiter pour explorer quelques parcs et bois proches de Paris. Ainsi, je commence par le bois de Boulogne, à l'ouest de Paris. J'y longerai le lac Inférieur, traverserai le bois jusqu'à l'hippodrome de Longchamp et l'étang de Suresnes, et longerai la Seine jusqu'à Saint-Cloud.

 

Une large allée pour rejoindre le lac. Evidemment, en ce dimanche ensoleillé, j'y croiserai beaucoup de joggeurs.

 

Le lac Inférieur, avec ses barques pour les promenades familiales.

 

 

L'île au milieu du lac, où les arbres commencent à avoir quelques teintes d'automne.

 

Le restaurant du Chalet, qu'on ne rejoint qu'avec le bac (payant).

 

Un héron s'est posé sur une branche haute de résineux, cela me permet de le prendre en gros plan.

 

Au bout de l'île, un kiosque en hommage à l'empereur Napoléon III, aménageur des lieux. 

 

Au bout du lac, on passe à côté des cascades, petite, comme celle-ci, ou plus grande (le GR la traverse) un peu plus loin.

 

Il y a différents types de sentiers qui passent dans le bois !

 

Je sors du bois pour longer l'hippodrome, et je me retourne pour prendre la photo de ce château.

 

En longeant l'hippodrome, on passe à côté d'un moulin restauré.

 

L'étang de Suresnes, avec quelques cygnes.

 

Puis on leng la Seine, où de nombreuses péniches sont amarrées. Cela permet d'étudier leur ponton d'entrée.

 

Enfin, je rejoint la passerelle de l'Avre, afin de traverser la Seine et d'entrer dans Saint-Cloud.

 

A droite (donc au nord), vue sur Suresnes et son fort.

 

Puis le quartier de la Défense à Puteaux.

 

Les voies du tram (que je prendrai pour rentrer), avec à côté quelques jardins potagers.

Une agréable ballade de 2 heures, et il commence à faire chaud.

En ce 14 juillet ensoleillé, je fais une grande marche (4 heures) afin de me préparer pour mes prochaines vacances dans les Pyrénées, à la poursuite du GR 10.

Une boucle autour de la ville de Viarmes, au nord du Val-d'Oise. A mi-chemin, je visiterai l'abbaye de Royaumont, mais je décrirai cette visite dans un prochain article.

 

Le quai de la gare de Viarmes, avec une seule voie de chemin de fer. A gauche, la petite route qui monte, c'est le début de la balade.

 

En partant vers Seugy, on traverse des petits bois.

 

Seugy donc, un très agréable bourg campagnard, avec sa toute petite mairie.

 

 

Un portail "urbain".

 

Il a pas mal plus ces jours derniers, le centre équestre en porte la trace !

 

En face du centre, encore une belle entrée de propriété.

 

On franchit un ruisseau, et on prend la grosse montée (30 m de dénivelé) du jour. Certes, la photo ne le rend pas forcément très bien, mais la vue est imprenable sur la vallée de l'Oise.

 

En approchant de l'abbaye, on longe des étangs, hélas (en regard de leur superficie) privés.

 

Après l'abbaye, pendant une heure, on emprunte des chemins entre les champs. Peu d'ombre, il faut éviter les flaques, bref ce n'est pas passionnant. Heureusement, une surprise m'attend : le panonceau indique "Chemin de randonnée".

 

En retrouvant la route, on retrouve aussi la verdure.

 

Autour d'Asnières-sur-Oise et de Viarmes, en emprunte des rues, ou on passe entre les propriétés, d'où des chemins étroits.

 

A l'ouest de Viarmes, on monte en forêt, la descente s'effectue par un chemin creux.

 

Et pour finir, deux photos sur Viarmes : l'église (ci-dessus) et une vue sur le vallée de puis la gare (ci-dessous).

Il était prévu du mauvais temps en milieu de semaine, si bien que la grosse randonnée du séjour est prévu pour le 2 juillet, et on ne le regrettera pas !

C'est la montée au lac du Crozet qui se profile : 600m, et ça grimpe tout le temps. Une montée sèche sur une piste forestière, puis une fois que la piste devient un chemin et s'enfonce dans la forêt, c'est une succession d'épingles. A la sortie de la forêt jusqu'à arriver à la conduite forcée, la montée se fait moins forte, mais avec davantage de pierres. Enfin, un dernier petit raidillon pour atteindre le lac.

 

Voilà le paysage que l'on peut voir à la sortie de la forêt.

 

Quelqu'un s'est fait construire ce petit chalet, et des petits malins ont essayé de voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Chalet récent, et ça ne ressemble pas vraiment à une cabane de berger !

 

Avec le printemps pourri qu'il ya eu, la neige a fondu plus tardivement. On n'a traversé aucun névé pour atteindre le lac, mais on n'en était pas loin !

 

Le toreent du Mercier, juste en-dessous du lac.

 

On a atteint le lac après un peu moins de 2 heures de montée. Un barrage, une cabane qui se confond avec les rochers, et la vue sur la Chartreuse.

 

Quand on se retourne, on voit le chemin qui monte vers le col (et le refuge) de la Pla (image agrandissable en cliquant dessus).

 

Une halte bien reposante.

 

Mais après le déjeuner, il faut songer à redescendre (par le même chemin). Allez, un dernier panorama (agrandissable en cliquant sur l'image) pour la route !

 

Ah oui, c'est vrai, on a traversé un torrent, et assez large ! Il fallait bien repérer par où passer.

 

La vue sur la montagne depuis la cabane sus mentionnée.

 

Les virages en forêt.

 

Et pour finir, la faune et flore rencontrés en passant.