Cette statue de la Vierge et de Jésus bénissant la ville du Puy fut fabriqué à partir des canons pris lors de la bataille de Sébastopol. L'enfant est inhabituellement placé à droite de Marie, pour qu'il puisse bénir la ville sans cacher le visage de sa mère. Une version rapprochée de cette statue, dans laquelle un peut grimper pour avoir un panorama plus élevé sur la région.


Le panorama vaut vraiment le coup d'œil :


Saint-Michel d'Aiguilhe au premier plan et le château de Polignac ensoleillé en arrière-plan.


La cathédrale Notre-Dame.


L'église du Séminaire.

Avant d'observer de plus près les bâtiments ayant fait la renommée de la ville ponote, déambulons dans les vieux quartiers.


Vue sur le mont Anis depuis la place de la Cadelade.


Encore le mont Anis, mais cette fois-ci depuis le musée Crozatier.


La préfecture.


Une rue pavée.


L'entrée du couvent Sainte-Claire.


L'église des Carmes.

Quelques vestiges :





L'hôtel de ville depuis la place du Martouret.

La place du Plot :




La rue Pannessac, se terminant par la tour du même nom, seul vestige des anciens remparts.






Au début de la rue Pannessac, cette sculpture nous rappelle qu'ici débute la Via Podiensis, l'un des principaux chemins de pèlerinage.



Le pensionnat Notre-Dame-de-France depuis la terrasse de mon premier gîte.

Et pour ma dernière nuit, coucher et lever de soleil sur le nord du Puy.

Et c'est parti pour la visite de cette petite bourgade, tellement charmante. Tout d'abord, le tour du propriétaire.


On commence par le nord et la visite du rocher soutenant l'église Saint-Michel. Un rocher basaltique haut de 88 m avec une très belle église romane du XIe siècle (si je me souviens bien).


Au pied de l'église, une chapelle octogonale dédié à Saint-Clair. Sur le parvis, un carré magique cher aux chéretiens (et qui suscitera l'intérêt de quelques ludophiles).


La montée à l'église se fait par un escalier sculpté dans la roche. Il faut mieux grimper tranquillement, la pente est rude (mais il y a des haltes pour se reposer).


En faisant le tour de l'église, on a un très beau point de vue sur le Puy et son agglomération (ci-dessous, le quartier historique).


Maintenant, je vous laisse admirer la beauté de cette église entièrement construite à partir de matériaux locaux typiques (comme beaucoup d'ouvrages religieux du coin).

Dernière étape, la plus courte, puisqu'elle se fit... en train. J'ai privilégié la visite du Puy à la marche. Et pour patienter, quelques photos de Vorey-sur-Arzon.

Une étape quasiment sans arrêt, le temps se dégradant assez vite. Heureusement, j'arriverai à bon port un quart d'heure avant le début de l'orage, à l'abiri en train de déguster mes moules-frites.

On attaque raide dès le départ pour revenir dans la forêt de Miaune, puis, le soleil aidant, le traversée de celle-ci fut fort agréable.


Au fait, j'ai bien retrouvé le chemin de Saint-Jacques...


En débouchant de la forêt, je me suis dirigé vers Roche-en-Régnier pour observer la tour. Je ne me suis guère attardé, le temps devenait de plus en plus gris.




Une rapide vue de l'Emblavez, avant une très légère bruine, qui ne durera pas.


Puis une belle descente jusqu'à la Loire, l'occasion de longer la voie ferrée.


La dernière partie du trajet, qui suivait plus la route que la Loire, était assez pénible, et je commençais vraiment à avoir mal aux pattes.

Après l'orage, je suis rentré me reposer dans la chambre d'hôtes (y avait plein de BD). Voici la vue que j'avais de ma chambre.