• Ma plus longue étape, très belle, mais où je ne voyais pas la faim. Résultat : 6 ampoules au pied ! Les jours suivants ont été assez rudes. Mais je n'aurai pas dû faire le détour par le Suc de Bartou, qui m'a rallongé d'une heure.


    Le voilà, ce Suc de Bartou. La montée fut agréable en sous-bois, et j'avais une belle vue sur la rive gauche de la Loire.





    En reprenant ensuite le chemin normal, il ne valait mieux ne pas se tromper !


    Avant de rejoindre la Loire, la traversée du hameau de la Fayolle est très agréable.







    Une fois arrivé à Chamalières-sur-Loire, je m'arrête pour prendre un pot est découvrir la très belle église romane.







    Ci-dessus, le reste du cloître (les arcades).

    Ci-dessous, une maison et une vue générale du village.




    Il y avait ensuite une belle grimpette (±400 m de dénivelé) pour atteindre la forêt de Miaune. En sortie, j'avais la joie de découvrir les paysages de l'Emblavez.





    A mi-chemin de la descente, j'ai été faire une visite rapide aux ruines du château d'Artias. S'il ne reste plus que trois pans de murs, le panorama sur la vallée est magnifique.








    Le soir, après avoir dîné en extérieur et m'être bien reposé les pieds, j'ai pu admirer Artias au soleil couchant.


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  • Découverte de l'Emblavez aujourd'hui, avec un magnifique panorama à 360° depuis le mont Recours. Mais je vous laisse d'abord admirer ma dégaine :


    Autrement, l'Emblavez ("terre à blé" dans le jargon local), ça ressemble à ça :

    Une plaine dominée de sucs (des collines volcaniques) culminant à 900-1000 m environ.

    Maintenant, profitez du panorama pris depuis le mont Recours :






    Une des autres choses que j'apprécie dans la rondonnée, c'est le passage de gué et les traversées de village, avec par exemple les fours à pain.




    Arrivé le midi à Blanlhac, j'ai tout le temps pour découvrir mon gîte (une maison-assemblée en fait) et me reposer.



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  • Me voici de retour après un mois d'absence, un mois fort occupé par les vacances et un déménagement. Peu de loisirs ludiques, mais beaucoup de plaisir.

    Pendant dix jours, j'ai fait le tour à pied (et un peu en train) des gorges de la Loire sauvage, entre le Puy-en-Velay et Aurec-sur-Loire. Je vais vous narrer mes différentes étapes (il y aura beaucoup d'articles).



    Ma première étape me conduisit à Lavoûte-sur-Loire, en traversant d'abord l'agglomération ponote (Le Puy – Brives-Charensac), suivi d'une montée jusqu'à Chaspinhac, et enfin un sentier de crête jusqu'à Lavoûte.

    Le début du parcours commençait par le contournement du la chapelle Saint-Michel à Aiguilhe (par la suite, je l'appellerai Mont Aiguilhe), déjà impressionnant vu d'en bas :







    Pris depuis le pont Tordu qui enjambe la Bourne.


    Ca y est, je passe la Loire sur le pont de la Chartreuse (le moine est de circonstance n'est-ce pas ?).


    Après une petite grimpette (et un peu de pluie), une halte bienvenue sur le mont Serre : un beau paysage gâché par la couverture nuageuse.

    Suit le sentier de crête et un pique-nique dans un village en ruines, l'occasion de découvrir le début des gorges.




    Puis je descends sur Lavoûte, avec une belle vue sur le premier château de la Loire (il y en a 42), celui de Lavoûte-Polignac.


    Une fois posé mes affaires à l'hôtel, je pars le visiter, et il est ma foi bien sympathique ce petit château :

    Le blason de la famille qui occupe toujours les lieux.







    Et une visite du village, en enjambant encore une fois la Loire.



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  • Je ne pouvais décemment pas finir sans parler du merveilleux réveil dont nous gratifiait Robert. Pour en avoir un aperçu, cliquez ci-dessous. 

    Un grand merci à Christophe, Didier, Anne-Laure, Gaëlle, Robert, Marie, Delphine, Nathalie, Line pour cette merveilleuse semaine.


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  • Samedi 26 août : dernier jour de la boucle. Il était initialement prévu de passer par les Pinzi Corbini mais le temps n'était pas vraiment de la partie (nuages sur les sommets et vent). Nous reprîmes donc le GR 20 pour atteindre Vizzavona.

     

    Après avoir pris notre dernier petit déjeuner devant les bergeries de Capanelle,

     

    nous partîmes plein d'entrain sur le GR 20 à suivre les courbures de la montagne, tout en admirant la côte orientale.

     

    Rien de particulier à signaler pour cette dernière journée, si ce n'est que nous prîmes le dernier pique-nique aux bergeries de l'Alzela, assez particulières et voici pourquoi :

     

    Si cette belle couleur rouge peut surprendre au premier abord, l'explication doit être à mon avis, un repérage facile de ces bâtiments par mauvais temps, notamment l'hiver.

    Après une dernière sieste illustrée ci-après, nous passâmes notre dernier col avant de descendre à travers la célèbre forêt de Vizzavona.

     

     

    Une fois arrivés à destination, nous prîmes un dernier rafraîchissement en attendant la Micheline qui nous ramenait à Bocognano.


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