La première chose que l'on observe en entrant dans la cathédrale (à part la nef, j'y reviens dans quelques instants), ce sont les belles peintures murales ou-dessus de l'entrée ouest.

 

 

On y reconnaît sans peine le jardin d'Éden et l'expulsion d'Adam et Ève.

 

Et juste à côté, on peut voir aussi des peintures sur la voûte de cette chapelle.

 

On se retourne, et on apprécie la grandeur (et la hauteur) de la nef, bien éclairée par les vitraux et les ouvertures.

 

 

Et on ne peut que lever la tête au plafond, pour voire l'intérieur des deux coupoles surplombant la nef.

 

La première a conservé ces peintures d'origine sur l'histoire de Saint Étienne.

La deuxième reçoit des projections d'œuvres plus contemporaines, comme vous pouvez le voir ci-dessous.

 

 

 

 

 

Les vitraux sont récents, mais évoquent bien des épisodes religieux.

 

La chaire de prédication.

 

Quelques chapelles latérales.

 

Le chœur, relativement sombre.

 

Dirigeons-nous à droite (donc vers le sud), pour voir ces belles représentations.

 

Par contre, la voûte du transept est un peu dégradée.

La cathédrale Saint-Étienne est un très bel exemple de différents styles architecturaux, et qui est très originales puisqu'il est des seuls exemples en France de coupoles au-dessus de la nef (voyez ci-dessous depuis la place Chapou, où se trouve l'ancien magasin du père de Gambetta, que nous avons loupé).

 

 

L'imposante façade ouest et sa rosace, mais on n'entre pas par là.

 

Allons plutôt nous mettre à l'ombre (?) en cette chaude journée pour admirer le somptueux portail nord de style roman, aux deux couleurs de pierres.

 

Cela permet aussi de voir les coupoles et les différentes tours-clochers.

 

C'est sûr, ce n'est pas le meilleur angle !

 

Bien mieux, non ? Et non, on n'entre pas non plus dans l'édifice par ces portes.

 

Le tympan avec le Christ dans sa mandorle, des représentations sur le martyr de Saint Étienne, et sur la frise inférieure, les apôtres et la Vierge.

 

Un beau chapiteau roman, et quelques bas-reliefs originaux (ci-dessous).

 

 

On contourne le chevet et ses gargouilles...

 

 

...pour revenir place Chapou et nous diriger vers le portail sud (la voilà, l'entrée !), de style mauresque.

 

On s'installe dans un restaurant rue Nationale pour déguster de bons plats régionaux, ce qui nous offre aussi la vue sur cette très belle porte Renaissance d'époque.

 

 

 

Et juste à côté, on remarque que la façade de cette maison a eu plusieurs vies.

 

La rue Saint-Priest, presque un coupe-gorge.

 

Des fenêtres reconfigurées, avec conservation des belles colonnettes Renaissance.

 

Une belle fenêtre d'angle condamnée...

...en face d'une maison à colombage...

 

...située rue Saint-James.

 

Rendons-nous, par terminer dans ce quartier, dans la cour de l'archidiaconé et son petit jardin.

 

Quelques photos de l'ancien bâtiment religieux.

 

 

 

 

L'archidiaconé se trouve au chevet de la cathédrale. Si on allait la visiter ?

Nous revenons ensuite dans le centre historique, et traversons la place Mitterrand, avec l'ancien collège des jésuites, le bâtiment où est située l'office du tourisme, et une statue de Léon Gambetta, natif de Cahors.

 

Et nous nous enfonçons dans les rue(lle)s étroites du quartier médiéval des Badernes (le quartier bas). Il s'y mêle des maisons Renaissance avec leurs fenêtres à meneaux (comme la Maison du Patrimoine)...

 

 

...et des maisons à pans de bois, avec des briques, et les arches commerçantes caractéristiques du Moyen-Âge.

 

On y trouve des ruelles sombres, étroites...

 

...côtoyant de belles maisons riches d'histoire.

 

Et on arrive sur les quais, en face du quartier Saint-Georges. Les piles de l'ancien pont romain sont bien cachées dans l'eau.

 

Il faut vraiment déambuler dans les rues pour découvrir la richesse architecturale du quartier.

 

 

 

Sur la place Saint-Urcisse...

 

...où se trouve une très intrigante horloge à billes.

 

L'hôtel de Roaldès, dit "hôtel Henrei-IV", sous toutes ses faces.

 

 

 

 

La découverte de la ville passe par tous les jardins cachés (il y a bien peu de place en ville pour avoir des jardins publics). Mais pourquoi on ne nous a pas passé le fascicule du circuit à l'OT, mystère...

 

Un porche d'accès à une cour, les briques et poutres médiévales, on en voit souvent en ville.

Empruntons la chaussée pour passer rive gauche.

 

Je pose fièrement devant l'ensemble des arches (le pont est complètement piétonnier).

 

L'escalier et la première arche sont ce qui resta du châtelet côté ville.

 

La chaussée et l'accès rive droite.

 

La belle alternance de soleil et d'ombre sur la chaussée (mais surtout dans le ciel).

 

Le Lot en aval, avec le barrage du moulin du Périé.

Le Lot en amont, avec un bateau de plaisance s'apprêtant à franchir l'écluse.

 

Les tours du pont et les avant-becs depuis la rive ouest.

 

Un autre vue du pont, en descendant un peu le long de la rivière.

 

Une photo de carte postale, non ?

 

Elle fut prise depuis la terrasse sous l'ancienne station de pompage de Cabazat, maintenant lieu d'exposition.

 

L'explication du mécanisme de pompage, dont les rouages sont bien mis en valeur dans le bâtiment.

 

Et, de loin, la fontaine des Chartreux, qui explique le développement de la ville cadurcienne dès l'époque romaine.