• Parcours

    En ce premier week-end de mai, il fait très beau, c'est donc l'occasion de sortir loin de paris et découvrir d'autres aspects de l'Île-de-France. Je commence ainsi tout doucement, par une balade d'une heure dans la ville de Sannois. Elle comporte deux parties distinctes :

    • traversée du centre-ville jusqu'à l'autoroute (même en passant par des petites rues, cela n'a pas beaucoup d'intérêt)
    • montée jusqu'au moulin, bien plus intéressante (de vrais chemins de terre, traversée d'un petit bois, pour atteindre le seul moulin à pivot restant en Ile-de-France).

     

    Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul

    La première section permet juste de passer à côté de l'église, de facture XIXe, Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

     

    Une fois franchie l'autoroute, on grimpe par une rue étroite le long du cimetière. Arrivé en haut, il faut tourner à droite, ce qui me surprend car un espace dégagé se profile en face. En fait, après seulement 50 mètre, voilà ce qui s'offre à votre regard :

    Panorama 1

    Une très belle vue sur Paris, par le sud-ouest (cliquez pour agrandir et détailler ce que l'on voit).

    Panorama 2

     

    On repart alors tranquillement, par des passages et chemins, jusqu'à monter tout droit en forêt.

    Chemin

     

    Arrivé en haut, il faut contourner la pointe pour admirer le moulin de Sannois :

    Moulin de Sannois

     

    Moulin de Sannois

     

    Moulin de Sannois

     

    On redescend alors, toujours en forêt, verts le centre-ville. Quand on atteint l'autoroute, on la longe sur quelques mètres avant de passer en-dessous. Au moins, les graffeurs ont rendu plus guilleret le mur de béton.

    Mur de l'autoroute

     

    Encore une traversée peu passionnante de la ville et avant de repartir, je visite l'ancien hôtel de ville, transformée en musée local. Il s'y produit l'exposition d'artistes du coin.

    Musée Utrillon-Valadon


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  • Parcours

    Direction le nord-est et la commune de Sevran, pour faire le tour du parc de la Poudrerie.

     

    Borne

    Il faut tout d'abord rejoindre le parc depuis la station de RER, ce qui permet de longer un golf, mais aussi de découvrir cette borne kilométrique enserrée dans le trottoir.

     

    Arc

    Le parc de la Poudrerie était le siège d'une usine nationale de confection de poudre, usine fermée il y a à peu près un demi-siècle. Il en reste des vestiges, comme ces arches. 

     

    Allée

    De l'arche, je prends cette grande allée vers l'est. Avec ses nombreuses allées, ses restes de voies ferrées, le parc est grand pour croiser des joggeurs, cyclistes, et autres promeneurs avec leur famille.

    Allée

     

    Vestiges industriels

    Ces murs de béton datent bien de l'usine (protection ou essais des poudre). Ils sont maintenant reconvertis en fresque colorée.

     

    Loupe

    Une loupe, ou encore une production anarchique de cambium par l'arbre. Pas dangereux pour lui, mais impressionnant pour le promeneur.

     

    Quelques constructions restantes de l'usine, autour du Boris, comme ses arches qui acheminaient les conduites de vapeur.

    Arc

     

     

    Le Boris

    Le Boris.

     

    Groupe XI

    Le groupe XI (derrière ce tenait un atelier de poudre, en bois).

     

    Arc

    Encore une arche, perdue au milieu de la forêt.

     

    Ecureuil

    En me dirigeant vers le pavillon Maurouard, je surprends cet écureuil, qui a bien voulu se faire prendre en photo, 2 fois plutôt qu'1 !

    Ecureuil

     

    Pavillon Maurouard

    Le pavillon Maurouard, qui contenait la turbine à vapeur et assurait la distribution de la vapeur aux différents ateliers, disposés en demi-cercles autour du pavillon.

     

    Merlon

    Entre les ateliers étaient disposés ces merlons, qui contenaient l'explosion des ateliers.

     

    Pavillon

    Un pavillon sans porte ni fenêtre.

     

    Canal de l'Ourcq

    On repart vers la gare en longeant le canal de l'Ourcq.

     

    Pont

     

    Poule d'eau

    Une poule d'eau.

     

    Canal de l'Ourcq

     

    Rives

     


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  • Il fait vraiment très beau, et le printemps est bien installé (au sens où la neige a bien fondu). C'est dommage de rester enfermé sans en profiter !

    Me voici donc parti pour une boucle de 3 heures de marche avec Amandine. Départ du bourg de Valmeinier, à 1500 m, pour atteindre un col dans la direction de Valloire. Beaucoup de pistes forestières, quelques pas (plus ou moins profonds) dans la neige, et une très belle récompense finale.

     

    Pointe Rénod

    Première halte à Pierre Brune, une ferme en ruines, où un banc est aménagé (compter ½ heure). Vue sur la Maurienne et Pointe Rénod.

     

    Croix des Têtes

    Je fais le tour de la ruine (seul le poulailler est à peu près bien conservé).

     

    Pierre Brune

     

    Croix des Têtes

    Le massif de la Croix des Têtes, au-dessus du col du Télégraphe.

     

    Arrivée au col

    Après 1h30 de marche, on arrive aux 3 Croix et la chapelle Notre-Dame-de-la-Vie. Est déjà se détache les Aiguilles d'Arves.

     

    Notre-Dame-de-la-Vie

    Un très agréable lieu de pique-nique (plusieurs tables sont aménagées).

     

    Aiguilles d'Arves

    Les fameuses aiguilles, reproduites sur une célèbre marque d'eau minérale.

     

    Et maintenant le panorama, du nord au sud (en cliquant sur les images, les panoramas s'afficheront en taille réelle, avec les noms des sommets).

    Panorama aux Aiguilles d'Arves

    Panorama à la chapelle

    Panorama de la Maurienne

     

    On repart ensuite vers Valmeinier, et on rejoint la piste de l'Armera. On la longe, et on arrive aux Frasses. Les propriétaires de ce chalet ont une très belle vue.

    Croix des Frasses

     

    Hameau du Tour

    On prend enfin un chemin de traverse, non damé (qu'est-ce qu'on s'y enfonçait !) pour traverser le hameau du Tour.

    Hameau du Tour


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  • Parcours

    Il faisait beau, très beau en cette semaine du milieu du mois de mars. Cela a eu pour conséquence d'avoir un pic de pollution sur Paris. Autant dire que, le week-end venu, j'avais envie de m'aérer la tête. Voilà pourquoi je suis parti à Esbly (commune à 40 km à l'est de Paris, un peu au sud de Meaux), en profitant en plus des transports en commun gratuits.

    Cette promenade de 2 heures le long des canaux me fera l plus grand bien, surtout que je ne croiserai pas grand-monde en ce samedi midi.

     

    Canal de Montry

    On commence par longer le canal de Montry, ancien canal de navigation, où la nature a repris ses droits.

     

    Cygne

    Ce couple de cygnes m'observe sur la berge, et semble attendre quelque chose de ma part. Malheureusement, je n'ai rien pour eux.

    Cygne

     

     

    Berges

    Le printemps arrive tout doucement, quelques arbres sont en fleurs, d'autres bourgeonnent.

     

    Petit pont

    Un petit pont de bois pour mener à des propriétés privées, mais l'entretien laisse à désirer.

     

    Mésange charbonnière

    Une mésange charbonnière m'observant du coin de l'œil.

     

    Sente

    Un sentier typique de bord de rivière.

    Le retour vers le canal de Chalifert n'est pas forcément agréable (on longe des propriétés, sans nécessairement suivre le Grand Morin). Par contre, la suite (aller-retour jusqu'à Condé) me fait beaucoup penser au canal de Nantes à Brest. Un canal large, aux nombreux canards colvert et autres poules d'eau, comme vous pouvez le voir ci-dessous.

     

    Poules d'eau

     

    Canard colvert

     

     

    Pique-nique

    A l'approche de Condé, je me pose pour pique-niquer. La tranquillité de la campagne est juste interrompue, de temps en temps, par le passage lointain d'un Transilien.

     

    Canal de Chalifert

    De retour à Esbly, prise de vue d'un pont sur le canal de Chalifert.

     

    Canaux

    Le canal de Chalifert à gauche, celui de Montry à droite, je suis revenu à mon point de départ.

     

    Vieilles enseignes

    Je traverse le bourg d'Esbly pour rejoindre la gare, l'occasion de découvrir ces vieilles enseignes.


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  • Enfin arrivé sur la plage, on remonte la côte jusqu'au bourg des Moutiers, en passant devant de nombreux carrelets.

     

    Carrelets

    Le carrelet, est le nom du filet (carré) accroché aux perches visibles ci-dessus, au bout de la cabane. A marée haute, le pêcheur peut venir faire plonger son filet pour y prendre des poissons nageant à proximité de la surface. Cette pratique a surtout lieu en Charente et Gironde, mais subsiste en Vendée et Loire-Atlantique.

    En ce dimanche après-midi, c'était marée basse, nous n'avons donc pas pu voir les filets en action.

     

    Chemin côtier

    Un panneau en hommage au Lancastria.

     

    Carrelet (en état ou non)

    Des pontons sont démontés (conséquence des tempêtes de ces dernières années ?).

     

    Sur la plage

    Le carrelet est tendu, prêt à l'emploi.

     

    Rampe d'accès

    Le ponton d'accès peut être assez long (souvent, il y a une échelle d'accès depuis la plage).

     

    Carrelet et son filet

     

    Carrelets

     

    Oiseaux à marée basse

    Certains oiseaux profitent de la marée basse pour se sustenter.


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