Une nouvelle soirée chez Eric et Karine, avec Antoine de passage.

Une partie d'Epix tout d'abord.

4 manches pour contrôler le plus de territoires, ou prendre un château adverse. On joue 1 carte action (2 à la dernière manche) pour

• recruter
• prélever des impôts (donc prendre de l'argent)
• se déplacer, et éventuellement faire des combats

Si combat il y a, on met une certaine somme dans sa main, et le jouer attaqué doit deviner la somme misée pour que l'attaque échoue.

Simple, et très rapide (30 minutes max), mais bien peu passionnant, car trop minimaliste.

J'ai gagné très facile, et par le contrôle des territoires, et par la prise de château. Et je n'aurai mené une attaque qu'au dernier tour.

[Victoire]

Durée de la partie : 30 minutes

Note personnelle : 5/10

Ensuite, une bien belle partie de Colt Express, avec la diligence et les chevaux.

Les chevaux permettent de se déplacer plus rapidement: la diligence permet de prendre une nouvelle mallette, mais avec un shotgun, qui reste toujours dehors. Et en entrant dans la diligence, on se coltine un otage, qui a ses avantages et inconvénients.

Super fun (Antoine qui se prend 5 balles en deuxième manche, Eric qui rencontre trois fois le marshall dans le même tour), c'est vraiment très prenant.

Fin de partie, et Karine s'impose, ayant pu passer entre les gouttes.

On s'est vraiment bien poilé, et c'est bien l'essentiel.

[Argent : 2100 – 1750 – 1700 – 1000]

Durée de la partie : 1 heure

Note personnelle : 8,5/10

Une soirée tranquille avec l'ami Jean-Luc.

Une partie de Shakespeare tout d'abord.

On termine sur une égalité parfaite, avec deux orientations distinctes : les actes II (jaune) et III (bleu) pour moi, plutôt des décors pour Jean-Luc (voyez ci-dessous).

Peu de costumes pour Jean-Luc, qui a plutôt progressé sur les pistes avec les activations. Il s'est même permis le luxe de ne pas payer deux personnages !

Puck, Iago, Lear (même si 3 décors à 4 au deuxième tour, ça n'aide pas) bien vite costumés pour bien répéter. Et évidemment, le décore s'en ressent.

Un bien bon cru, mais je ne vois vraiment pas comment on peut atteindre les 25 points.

[Points : 21 – 21]

Durée de la partie : 1 heure

Note personnelle : 8,5/10

Pour finir tranquillement, on fait une partie de Patchwork. 

On prend ces différents éléments, pour remplir au mieux sa grille, la but étant d'amasser le plus possible de boutons, en ayant aussi le moins de cases vides quand nos deux marqueurs atteindront le centre de la piste.

Simple, bien pensé mécaniquement (le joueur le plus en retard joue, on peut jouer pour avoir accès aux pièces qui nous intéressent), et Jean-Luc et moi aurons deux approches différentes.

De grosses pièces pour Jean-Luc, pour bien remplir, mais qui le font jouer moins souvent.

Des pièces plus petites pour moi, qui m'ont permis de faire le fameux 7x7, qui m'on fait avoir une avance confortable.

[Points : 20 – 10]

Durée de la partie : 30 minutes

Note personnelle : 8/10

Une grosse partie de Descendance avec Eric et Karine, puisqu'on y joue avec toutes les extensions (Auberge, Port, Objectifs de vie).

Eric a gagné, notamment en jouant beaucoup sur les voyages, grandement améliorés avec le port. Peut-être un poil trop fort quand un seul joueur le pratique ?

De beaux clients pour moi, tout le monde a fait ses objectifs (je pense bien dispensables).

Pas mal, car maintenant, les clients, l'église, le voyage se valent... si on a pleine latitude (donc sans les objectif).

[Points : 108 – 89 – 84]

Durée de la partie : 2 heures

Note personnelle : 8/10

Pour une fois, pas de jeu coopératif chez Philippe, bien au contraire.

Automania est un jeu de production de voitures. Pour cela on acquiert des tuiles sur l'espacement central, disposant la tuile récupérée soit dans sa chaîne de production, soit au-dessus de celle-ci (option sur les modèles), soit en tant qu'employé. La voiture ainsi produite est chargé sur un cargo, soit à gauche vers les Etats-Unis, soit à droite vers l'Europe). Selon les équipements, la voiture placée rapportera plus ou moins de points (la demande des clients est indiqué par les jetons verts).

En fin de manche, les voitures sont vendues sur les continents, soit pour des points (plutôt en Europe), soit pour de l'argent (plutôt aux States).

La mise en place de la deuxième manche.

Et la situation à la fin de celle-ci. Les cartes visibles en haut du plateau représente des contrats, c'est-à-dire certains modèles à produire pour marquer davantage de points.

La situation en fin de partie, avant le décompte final.

Puis après. La lutte fut âpre entre Eric (jaune) et moi, la réalisation tardive de ses contrats permettant à Eric de gagner.

L'usine d'Eric (il pouvait faire des voitures électriques, qui ont plus de prestige).

L'usine de Philippe : même nombre de cases pour chaque modèle ne semblait pas être le meilleur avantage.

Mon usine, où je pouvais vendre une voiture sur une case déjà occupée, pas mal.

Un jeu très sensible à l'AP, car chaque action est cruciale. Je préfère, dans le même style, Kanban.

[Points : 81 – 77 – 65]

Durée de la partie : 2 heures 30 minutes

Note personnelle : 7/10

Deux nouvelles parties de Pandémie Legacy ce soir.

Si janvier s'était très bien passé (on a éradiqué la maladie bleue), la maladie rouge est devenue notre CodA, c'est-à-dire qu'on ne sait pas la guérir, mais on peut la mettre en quarantaine. On a pu tout de même, assez facilement, faire les trois autres remèdes.

On enchaîne sur le mois de mars, avec du bleu de sortie. En tout cas, sur ces premières parties, la chercheuse est bien utile.

Maintenant, on doit remplir deux objectifs parmi ceux-ci, dont celui de gauche.

Ouh, l'Afrique est très mal en point, avec déjà deux villes en émeute.

Mais on arrive tout de même à sen sortir, en éradiquant la maladie noire.

On sent que la difficulté augmente, mais pour le moment on gagne, donc plus de subventions !

[Victoire en février et mars]

Durée de chaque partie : 45 minutes

Note personnelle : 9/10