Une nouvelle soirée chez Eric et Karine, et nous nous lançons dans le nouvelle version de Pandémie : Legacy.

Je préviens aimablement le lecteur : je risque de dévoiler pas mal de chose sur le jeu, donc, si vous n'avez pas encore fait la campagne, et que vous ne voulez pas être spoilé, changez d'article !

Au départ, le principe est le même : trouver les remèdes aux 4 maladies. Sauf que, déjà, quand une ville subit une éclosion, elle reçoit un petit autocollant, qui rendre, au fur et à mesure des parties, sa guérison plus difficile. Et on dévoile de nouveaux éléments au fur et à mesure des parties.

La campagne dure une année, avec une partie par mois.

La première partie s'est bien passée, puisqu'on a éradiqué la maladie rouge; par contre le jaune a davantage souffert (voyez la situation en Amérique du Sud), et qu'un des personnages s'est pris une cicatrice.

A suivre.

[Victoire en janvier]

Durée de la partie : 40 minutes

Note personnelle : 8,5/10

Ensuite, Yoann et Sam nous ont rejoint pour le dîner, et après celui-ci, nous avons fait deux parties de Mysterium, en mode intermédiaire, avec deux victoires.

C'est toujours aussi bon, même Yoann a apprécié.

[Deux victoires]

Durée des parties : 2x45 minutes

Note personnelle : 8/10

Découverte ce soir dans la dernière production Splotter : Food Chain Magnate.

Certes, le plateau de jeu ne fait pas envie (mais c'est un Splotter aussi). Le pitch ? On gère une chaîne de restauration fast-food dans un quartier, et on doit être le plus riche, en satisfaisant les besoins des clients.

Vous voyez ci-dessus les maisons des clients (cases numérotées), les dépôts de boissons (petits carrés colorés) et les routes (pour les calculs de distance).

Alors oui, c'est un jeu de cartes, qui prend de la place. Les trois lignes du haut liste les milestons (objectifs procurant des bonus pour les premiers à les atteindre).

En bas, vous voyez tout le personnel recrutable. Car, à chaque tour, on va définir les personnes de notre équipe qui travaille (sous forme d'arborescence hiérarchique). Les personnages permettent de :

• rouge : placer des maisons, restaurants et jardins
• noir : développer notre arbre hiérarchique, et donc faire plus d'actions
• rose : jouer sur les prix de vente
• gris : recruter et former les salariés (donc booster nos actions)
• vert clair : récupérer des boissons
• bleu : faire des campagnes publicitaires
• vert foncé : récupérer des plats (burgers et pizzas).

Voici le placement de nos premiers restaurants. : je suis seul à gauche, alors qu'Eric et Karine sont proches à vol d"oiseau, mais pas en suivant les routes.

Les différentes phases d'un tour de jeu sont :

• choisir son arbre hiérarchique
• déterminer l'ordre du tour
• faire toutes ses actions, dans l'ordre du tour
• contenter les besoins des clients
• payer ses salariés
• réaliser les campagnes publicitaires

Quand la banque est épuisée, on dévoile les cartes réserves, qui indiquant l'argent remis à la banque (ce sont les joeuurs qui déterminent ces réserves). On continue à jouer et jusqu'à épuisement de nouveau de la banque. On arrête la partie et il faut être le plus riche.

La situation de fin de partie, assez courte, alors qu'on était en configuration moyenne. Si j'ai raté le coche au départ (produisant sans bénéficier des campagnes adverses), je commençait à revenir avec mon quartier tranquille à gauche. On commençait aussi à voir l'effet d'une guerre des prix, mais on sent qu'il y a beaucoup de potentiel, puisqu'il faut s'adapter à la concurrence.

Le jeu de Karine (enfin, plutôt sa fortune).

Celui d'Eric.

Et le mien.

Peu de milestones pour ma part (meilleur vente des pizzas, peu de problème de stockage, des serveuses plus efficaces, réduction sur les salaires notamment).

Un grand jeu microéconomique, dont on sent qu'on peut faire plusieurs parties différentes.

[Argent : 297 – 217 – 156]

Durée de la partie : 2 heures

Note personnelle : 9/10

Une soirée chez Jean-Luc avec Pierre, parce que les jeux l'intéressaient :)

On découvre 504, le jeu-concept de Fridemann Friese.

Un ensemble d'éléments, des règles générales, mais surtout un livret aux pages séparées en 3 sections numérotées. Les joueurs choisissent avec quelles sections on fera la partie, en sachant qu'elles doivent toutes avoir des chiffres différents. Et si vous comptez bien, cela fait donc 504 configurations différentes.

On aurait dû faire la configuration préconisée pour une première partie (123, en  pick and delivery), mais comme on n'avait pas la bonne carte, on a fait la 263, avec 1 heure d'épluchage des règles.

Dans cette configuration, il s'agit d'implanter des résidences (tuiles carrées) dans un certain nombre de villes (hexagones rouges) (c'est donc une course, module 2). Mais les revenus pour pouvoir faire ces implantations, sous forme de réseaux routiers, se fait avec les types de terrains implantés (module 6). Enfin, il y a également des cartes privilèges (module 3).

Vue l'heure tardive de démarrage, nous n'avons pas été au bout de la partie.

Une idée intéressante, à creuser avec d'autres configurations (4-5 je dirai) pour se rendre bien compte si le jeu nous plaît ou pas.

[Partie non terminée]

Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

Note personnelle : ? (mais plutôt positive)

Puis une partie d'Evolution, le jeu de cartes de générations d'espèces animales.

Avec une deuxième partie, on comprends mieux les tenants et aboutissants (voyez la force de mes deux espèces), mais ce n'est pas une claque ludique, on reste tout de même dépendant des cartes piochées.

[Points : 66 – 63 – 60 – 35]

Durée de la partie : 40 minutes

Note personnelle : 7/10

Une nouvelle partie de Signorie avec Eric et Karine.

Si, à mi-partie, j'ai beaucoup joué sur les mariées, m'accaparant pratiquement Rome, j'ai plus de mal avec les hommes.

En plus, au cinquième tour, j'ai dépassé le seuil d'un malheureux point, ce qui m'oblige à faire des actions non voulues par la suite, et bien sûr cela se paye sur les emplacements dans les villes. D'ailleurs, on aura beaucoup joué sur les missions ce soir.

Beaucoup d'assistants pour ma part (9), alors que Karine termine première ex-æquo avec seulement trois assistants. Je pense qu'il faut bien définir ses priorités.

Un bien bon jeu de gestion, aux parties qui peuvent vraiment être différentes.

[Points : 171 – 171 – 128]

Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

Note personnelle : 8,5/10

Puis une partie de For Sale.

Vous pouvez constater qu'avec un tirage pareil, les mises s'envolent !

Mes ventes de propriétés. Certes, j'ai eu les deux billets à 15000$, mais je termine bien loin de mes adversaires. La configuration 3 joueurs est très particulière, car ça ressemble beaucoup à du tout ou rien. Je préfère donc y jouer au moins à 4, on peut jouer davantage masqué.

[Scores non notés]

Durée de la partie : 30 minutes

Note personnelle : 7/10

On refait la légende 7 d'Andor ce soir, et on l'a enfin gagnée.

Et pour se faire, il faut vraiment utiliser les possibilités offertes par le bateau :

• aller sur l'île centrale pour avoir la possibilité d'améliorer le bateau
• combattre en groupe depuis le bateau les créatures marines (plus pourvoyeuses de gains), pour augmenter conjointement notre fortune et les points de prestige
• prendre les 3 équipements (balise, deuxième mât, harpon) pour bien optimiser les actions.

Puis ensuite foncer pour trouver Merrick, dévoiler le géant, qu'on a pu battre sur notre premier lancer. De toute façon, il ne restait plus que ça à faire, sinon on perdait !

Le géant, qui s'est rendu compte qu'on n'était pas dangereux.

Notre bateau, l'Aldébaran, mais sans ses équipements.

C'est vraiment un pur jeu d'optimisation, on va maintenant savoir ce que Merrick a à nous raconter.

[Victoire légende 7]

Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

Note personnelle : 8,5/10

Pour finir la soirée, on a fait une partie de Jam, un jeu de dés où il faut être le premier à sortir ses dés d'un plateau de jeu. Rigolo, mais c'est vrai que c'est un peu long à 4 joueurs, puisqu'il y a autant de manches que de joueurs.

[Partie non terminée]

Durée de la partie : 30 minutes

Note personnelle : 7/10