• Pour finir en douceur l'hiver, rien de tel que le visionnage de L'heure d'été. Mais j'ai été déçu, l'histoire principale (l'héritage familial) étant perturbée par des historiettes non approfondies. De plus, le milieu très bourgeois (économiste réputé, responsable d'une grande marque de sport en Chine, designer à la mode pour les héritiers) et la succession sans véritable dispute font que l'on ne s'immerge pas totalement dans le film. Dommage.


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  • Je ne pouvais pas manquer le succès du moment : Bienvenue chez les ch'tis. Une très bonne comédie, où on rit à gorge déployée, Dany Boon s'amusant des clichés existant sur le Nôrd. Un film à voir.


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  • Ah, Paris... Ville cosmopolite, grouillante, captivante. Voici le thème développé par Cédric Klapisch, à travers le regard d'un jeune homme pratiquement condamné. On croise ainsi des personnages sympathiques ou antipathiques, attachants ou pitoyables, amoureux ou blasés, plein d'espoir ou tristes. Comme la vie, en somme.


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  • Un thriller sur fond d'Alzheimer : c'est Cortex. Où comment un ex-flic est placé dans une institution spécialisée dans le suivi et le traitement de cette maladie, institution dans laquelle les patients meurent mystérieusement. André Dussollier a encore une fois un jeu d'acteur remarquable, et cela nous fait vraiment prendre conscience de la force psychologique qu'il faut avoir pour soutenir des proches qui en sont victimes, quand on voit les handicaps que cela provoque. On espère ne jamais y être confronté.
    Le seul reproche que je fais au film est le laxisme flagrant du personnel médical.


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  • Un grand moment d'évasion et de grands espaces en perspective avec Into the wild. L'histoire vraie d'un brillant diplômé qui plaque tout (famille, argent, avenir) le lendemain de la fin de ses études pour voyager à travers l'Amérique du Nord pendant 2 ans et finir chasseur improvisé au fin fond de l'Alaska. Il rejetait la société américaine (on peut même dire occidentale) fondée sur le matérialisme et le capitalisme.
    Un très beau film de Sean Penn, qui prend son temps (2h30), avec de vaste plans larges et une très belle BO. On en ressort avec beaucoup d'interrogations sur notre mode de vie, même si le héros était un jeune idéaliste.


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