• Dans la lignée de We feed the world, j'ai visionné Notre pain quotidien, qui montre sans commentaire, à quoi ressemble aujourd'hui l'industrie agro-alimentaire.

    Ca complète bien le documentaire sus-cité (ils sont aussi tous les deux autrichiens) et ça m'a prouvé une chose : heureusement que je ne travaille pas là-dedans.

    Courage, frérot !!!


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  • Cela faisait un moment que je n'en avait pas lu, et c'est maintenant chose faite, en attendant avec impatience le prochain. Vous l'avez compris, je parle d'un livre de Harlan Coben, en l'occurrence Faux rebond.

    Une nouvelle enquête de Myron Bolitar, ex-basketteur devenu agent sportif, qui revient à ses premières amours. Comme toujours, il est question de sexe, d'argent, de mafia et de sang. Comme toujours, c'est très prenant et on dévore le livre. Mais pour une fois, AMHA, il n'y a pas trop de sang, ce qui n'est pas plus mal.


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  • Toujours à Grenoble, nous nous sommes rendus dans un cinéma d'art et d'essai pour zyeuter le dernier documentaire autrichien à la mode We feed the world (Le monde de la faim).

    Il est constitué de plusieurs séquences, chacune sur un thème précis (production de pain, élevage intensif de poulets, culture du soja en Amazonie), qui montre la surproduction agro-alimentaire dans les pays riche, l'exploitation des pays du Sud, bref un exemple parmi d'autres de la mondialisation. Et c'est édifiant. Chaque reportage est conclue par une intervention de Jean Ziegler, rapporteur spécial de la Commission des Droits de l'homme de l'ONU pour le droit à l'alimentation. Le président de Nestlé est également interrogé, et il tient un vrai discours de gérant d'une multinationale.

    Bref, à aller voir.


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  • Pour finir ma journée de découverte du quartier Montparnasse, je suis allé voir le dernier film des studio Ghibli : Les contes de Terremer. Et j'ai été déçu.

    Bien sûr, l'histoire est intéressante. Bien sûr, les images (notamment les plans larges) sont magnifiques. Bien sûr, le style fait beaucoup penser à Hayao Miyazaki (normal, le film est réalisé par son fils).

    Cependant, j'ai trouvé l'histoire trop simpliste et manichéenne (la classique opposition entre le Bien et le Mal). De plus, comme l'histoire correspond au dernier tome d'un classqiue de la littérature fantastique, on a l'impression d'avoir raté un épisode. C'est dommage.

    Mais j'attends quand même la prochaine production du studio.


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  • Pour mon dernier film à Libourne, je suis allé voir Contre-enquête avec Jean Dujardin et Laurent Lucas.

    Si le film n'évite pas certains clichés propres au polar, la fin m'a surprise. Laurent Lucas est parfait dans le rôle et Jean Dujardin joue bien son personnage de père brisé par la mort de sa fille.


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