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Par deepdelver le 4 Octobre 2012 à 12:00
La balade m'ayant amené place du Châtelet, donc juste à côté de l'île de la Cité, j'en ai profité pour traverser la Seine et admirer la tour de l'Horloge restaurée.
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Par deepdelver le 3 Octobre 2012 à 12:00
En cette belle journée de septembre, je décide de me promener dans le centre de Paris, et de découvrir quelques fontaines méconnues. La promenade part du Sentier pour s'achever sur la place du Châtelet.
Et on découvre tout d'abord la fontaine Gaillon, sur la place de même nom, inséré dans un bâtiment.
Quelques détails de cette fontaine :
En me dirigeant ensuite vers un square tranquille, je croise une Mini toute mimi :
On traverse le square Louvois, à côté de la BNF. Ce square, construit sur l'amplacement d'un ancien opéra, contient une fontaine des les statues représentent quatre fleuves français (Loire, Seine, Garonne, Saône). Ca n'a pas la prestance de la fontaine des fleuves romaine (cf. ici), mais c'est pas mal tout de même.
Quelques autres détails de la fontaine :
- un chérubin sur son triton
- un signe zodiacal
Je contourne ensuite la BNF pour parvenir à la rue Richelieu. Au passage, un fronton qui fait penser aux armoiries de la capitale française.
La rue Richelieu débouche sur la rue de Rivoli, en face d'une des entrées du palais du Louvre. Mais auparavant, étudions le monument érigé à Molière.
On longe également une maison dans laquelle sont présentes des associations maghrébines. et on peut s'en douter quand on voit le décor autour de la porte d'entrée.
Petite traversée du Palais Royal (et ses colonnes de Buren)...
... pour nous diriger vers les Halles. Un autre détail retient mon attention : les chemins de fer allemands auraient une antenne à Paris ?
La fontaine de la Croix du Trahoir, érigée du temps de Louis XVI.
Le quartier des Halles est en grands travaux, on ne peut pas donc traverser le parc pour admirer une fontaine de coquillages. Et il est difficile de faire une photo "propre" de l'église consacrée à Saint-Eustache.
Heureusement, la fontaine des Innocents est toujours debout.
Une vieille fontainer, juste à côté de Beaubourg : la fontaine Maubuée.
On finit la promenade à la place du Châtelet pour admirer, dans l'ordre, la tour Saint-Jacques et la fontaine du Palmier.
Et pour finir, une vue d'ensemble sur la place du Châtelet.
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Par deepdelver le 7 Août 2012 à 12:00
Pour le week-end que j'ai passé mi-juillet avec les Ludophiles, merci encore. Le cadre était magnifique, même si, bien sûr, je n'en ai pas énormément profité.
En plein milieu des vignes du Beaujolais, le village de Saint-Etienne-des-Oullières.
Il paraît que la colline au fond s'appelle le Mont Brouilly.
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Par deepdelver le 31 Juillet 2012 à 12:00
Restons maintenant sur le plancher des vaches, et même descendons sous le quai pour déambuler dans le Mémorial de l'abolition de l'esclavage.
Un chemin, dans lequel des plaques rappelle les ports et navires ayant participé à la traite négrière, mène de la passerelle Victor Schœlcher à cette esplanade.
En face de l'escalier d'accès, un extrait de la déclaration universelle des droits de l'homme.
Le Mémorial se compose de deux parties :
- un couloir, au ras de la Loire (qui donne une impression d'être à fond de cale, sans luminosité ou presque), où les pans de murs sont composés d'extraits de livres ou de citations célèbres ayant trait à l'esclavage et la liberté.
Une salle noire et rouge reprend l'historique de l'esclavage dans le monde, et la longue marche pour l'abolir. Et il y a encore du travail à faire.
Ressortons à l'aire libre, traversons la Loire et promenons-bous sur l'île de Nantes. Je connais déjà la Nef des machines, les anneaux de Buren et autres hangars à bananes, mais voici une perspective intéressantes sur la grue Titan jaune (Monument historique) et deux cales de construction, à plan incliné pour faciliter la sortie des bateaux achevés. La cale de gauche est maintenant reconverti en salon de thé et boutique de mode.
Le nouvais Palais de Justice et la passerelle Victor Schœlcher.
Le circuit se termine sur la place du Bouffay, et L'ultime déménagement. Au bout d'une échelle de déménageur (dont le plateau contient des tables et chaises) est accroché un pan de mur rappelant l'architecture des bâtiments autour de la place. Original, et vous allez le voir sous toutes les coutures.
Au coin nord-est de la place, en empruntant le rue menant au château, on voit ce pan de mur particulier. On se doute qu'auparavant il y avait une maison ici.
Pour finir, sur une place à côté de l'Hôtel-Dieu, derrière ce "faux" pan de mur se cache une frise représentant tout les personnages historiques importants de Nantes et sa région. Et il y a de quoi lire.
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Par deepdelver le 30 Juillet 2012 à 12:00
Toutes les photos panoramiques de cet article sont agrandissables en cliquant dessus.
Poursuivons notre voyage à Nantes et grimpons au 32e étage de la tour de Bretagne pour avoir une vue panoramique sur Nantes.
Ici, la vue porte vers l'est, et on reconnaît des bâtiments évoqués dans l'article précédent.
La partie méridionale, où on reconnaît le cors des 50 Otages à gauche.
La vue sur la Loire, à l'ouest.
Au nord, on devine le tracé de l'Erdre (et le début du cours des 50 Otages au premier plan).
Le 32e étage de la tour est maintenant occupé par un café, avec une cigogne au looooong cou, les œufs servant de siège et de table.
Sur la place Royale (l'église Saint-Nicolas au fond), la fontaine est recouverte par cette structure d'esclade symbolisant le Mont Gerbier de Jonc (source de la Loire).
Le passage Pommeraye, qui fait bien sûr penser aux galeries parisiennes, a été amoureusement filmé par Jacques Demy.
Nous voici arrivé à la maison Dobrée, siège du musée départemental d'archéologie. Le musée ne se visite pas (travaux d'aménagement), mais on peut monter en haut de la tour pour y voir un autre panorama sur Nantes.
Cette maison a été construite au 19e pour un héritier de famille d'armateurs, qui a consacré sa fortune et le reste de sa vie à la construction de cette demeure néo-romane afin d'héberger sa collection d'art. Il ne vera pas la maison achevée deux ans après sa mort.
Sur la tour, la devise de Thomas Dobrée (je vous la traduit du breton) : "L'incertitude me dévore".
Quelques détails de la façade.
Dans la même propriété, voici le manoir de la Touche, du 15e siècle, construit pour l'évêque d'alors.
L'escalier extérieur a été rajouté plus tard, mais la demeure ne manque pas de cachet.
Et maintenant, montons sur la tour et admirons le panorama.
La vue orientale au-dessus des toits de la maison Dobrée, où l'on distingue parfaitement la tour Bretagne.
Côté sud, on distingue tout de même quelques constructions caractéristiques.
Côté sud-est, le dôme de Notre-Dame-du-Bon-Port supplante pratiquement le reste.
Au fond, la butte Sainte-Anne.
Le nord relève d'immeubles plus récents, mais très caractéristiques.
Une dernière vue à l'est avant de redescendre et de poursuivre le circuit.
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