• Et voyons maintenant les parties de la nuit, bien plus légères.


    Une partie de Très futé, avec de forts taux de remplissage des sections jaune et bleue par chaque joueur.

    Très futé

    Voici ma fiche de cette partie, avec une section violette un peu pâlichonne. Mais je n'étais pas le pire.

     

    [Points : 267 – 244 – 196]

    Durée de la partie : 30 minutes

    Note personnelle : 8/10

    Joueur Manu (3) Éric (1) Moi (2)
    Section jaune 60 60 60
    Section bleue 46 37 46
    Section verte 36 36 28
    Section orange 24 34 30
    Section violette 10 25 16
    Renards 20 75 64

    Éric nous présente ensuite Faraway.

    Faraway

    Chaque joueur pose une série 8 cartes, l'une après l'autre (on a une main de trois cartes, on en choisit, et un ordre d'initiative indique comment les joueurs complètent leur main dans un étalage). Jusqu'à là, pas beaucoup d'originalité. Sauf que les cartes seront décomptés dans l'ordre inverse de pose, notamment pour vérifier que les conditions sont remplis. Donc plus une carte de décompte est posé tardivement, moins il y a de chance qu'elle score. Il y a d'autres subtilités (les cartes Sanctuaire), mais que je ne développe pas ici.

    Un petit jeu sympa, qui reste bien sûr sensible aux différentes pioches.

     

    [Points : 79 – 64 – 57]

    Durée de la partie : 20 minutes

    Note personnelle : 7/10


    On enchaîne avec Cat in the Box, un jeu de pari sur le nombre de plis faits dans une manche. Mais ce sont les joueurs qui détermineront la couleur des cartes qu'ils joueront. Chaque couple valeur/couleur ne pouvant être appliqué qu'une fois, il peut arriver qu'un joueur ne puisse jouer de cartes, ce qui crée un paradoxe.

     

    Cat in the Box

    Et pour la dernière manche (ci-dessus), tout le tableau, donc il n'y a pas eu de paradoxe.

    Un jeu bien malin, mais que je préfère à plus de joueurs, je l'estime alors bien plus amusant.

     

    [Points : 8 – 3 – 3]

    Durée de la partie : 30 minutes

    Note personnelle : 7/10


    Manu nous présente deux petits jeux.

    Pour Town 77, il s'agit de poser des tuiles dans un carré virtuel 7x7, en commençant en haut à gauche, les tuiles devant se toucher. Il est interdit d'avoir la même forme ou la même couleur dans une ligne ou une colonne.

    Après avoir posé on tuile, on peut décider de réduire sa main d'une tuile (on commence avec 4), le vainqueur étant celui qui a le moins de tuiles en main lorsque la partie est terminée. Et voici à quoi ressemblait la ville quand on n'a plus pu jouer.

    Town 77

    J'ai été le premier éliminé, alors que j'avais encore 2 tuiles en main.

    Un bon petit jeu japonais.

     

    Durée de la partie : 20 minutes

    Note personnelle : 7/10


    Puis c'est Patronize, un autre jeu de plis.

     

    Patronize

    7 plis à faire, mais chaque n'a que 5 manches. On doit donc passer 2 fois, l'occasion de voler des cartes aux adversaires. Mouais.

    7 cartes, c'est bien court pour faire des stratégies efficaces de récolte de cubes, et le jeu n'est guère passionnant (il faut passer le plus tard possible).

     

    [Points : 57 – 49 – 48]

    Durée de la partie : 40 minutes

    Note personnelle : 5/10


    Enfin, pendant que Manu ferme ses yeux, Éric et moi en profitons pour découvrir Sky Team, un jeu coopératif spécifiquement pour 2 joueurs.

     

    Sky Team

    Nous sommes les pilote et copilote d'un avion en phase d'atterrissage, et il faut coordonner nos dés pour que tu se passe bien :

    • dégager le ciel des autres avions afin de bien s'approcher de l'éaroport
    • sortir les volets et les trains d'atterrissage
    • baisser progressivement notre vitesse
    • maintenir notre assiette (ce que nous n'avons pas pu faire).

     

    Un jeu bien malin, et pas facile (car évidemment on ne connaît pas les valeurs de notre partenaire). Et encore, ce n'était que l'aéroport d'apprentissage !

     

    [Défaite]

    Note personnelle : 1 heure

    Note personnelle : 8,5/10


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  • La traditionnelle manifestation ludique de la ludothèque de Saint-Leu (pour celle dont j'ai connaissance) avait lieu le week-end du 11-Novembre, c'est parti pour 16 heures de jeu non-stop !

    Et ce fut l'occasion de pas mal de découvertes.


    Commençons avec Intrigue City.

     

    Intrigue City (plateau central)

    Chaque joueur dispose d'un plateau avec une table hexagonale, chaque quartier symbolisant une guilde dont a veut s'attirer les faveurs. Pour cela, on doit atteindre exactement 6 points d'influence avec les cubes. Ceci occasionne un équilibre récompensé par une carte de guilde au bout de deux tours de jeu, cartes que l'on s'efforcera de valoriser.

    À chaque tour de jeu, et selon le principe de la piste de temps d'Olympos, chaque joueur fera deux actions parmi les 9 possibles (visibles sur la photo ci-dessus), qui permette d'ajouter/déplacer/enlever des cubes. Une action sera faite pour soit, l'autre action sur le plateau d'un adversaire.

     

    Intrigue City (en cours)

    Vous avez donc compris que c'était un jeu très interactif, avec une bonne dose de "Pan dans ta face", ce qui ne fait pas partie des mécanismes ludiques que je préfère. Mais on se laisse quand même prendre au jeu, car on peut voir qu'on peut s'en sortir. Mais cela ne se découvre qu'après pas mal de pratique, ce que je ne ferai pas.

     

    Intrigue City (fin)

    Décompte final, avec deux groupes de joueurs. Vous pouvez ainsi voir les actions bénéfiques et agressives faites.

     

    Intrigue City (mon plateau)

    Mon plateau final, avec un équilibre réalisé (guilde bleue).

     

    [Points : 74 – 73 – 62 – 61]

    Durée de la partie : 2 heures

    Note personnelle : 5/10


    Nous enchaînons avec une partie d'Evergreen.

     

    Evergreen

    Il s'agit de développer les pousse d'arbres sur notre planète, en sélectionnant des cartes qui nous ferons agir dans une région spécifique. Le nombre d'actions diminuant avec les manches, il s'agit d'être efficace !

    À chaque fin de manche, le soleil éclaire les arbres, et il vaut mieux ne pas créer trop d'ombre (cela rappelle un peu Photosynthesis).

    Une décompte final a lieu en fin de partie, pour récompenser les grands arbres dans chaque région (ou pas, selon les cartes d'action non prises).

    Un jeu "familial+" bien malin.

     

    Evergreen (mon plateau)

    Mon plateau personnel, avec des arbres disposé en losange, pour bénéficier au maximum de chaque ensoleillement.

     

    [Points : 155 – 151 – 138 – 100]

    Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

    Note personnelle : 8/10


    Le gros jeu pratiqué fut Nucleum.

     

    Nucleum (en cours)

    On y développe un réseau industriel (avec des rails, des bâtiments à alimenter, et des objectifs à réaliser), qui mélange Barrage (chaque joueur à des technologies qui lui sont propres) et Brass (pour la constitution du réseau et l'alimentation des centrales et bâtiments), et Great Western Trail, lorsque l'on fait un rafraîchissement de ses actions (avec la piste aux étoiles complètement à gauche).

    Il y a beaucoup d'icônes partout, ça peut donc faire peur, mais c'est finalement bien fluide, car on réalise deux actions par tour parmi : acquérir de nouvelles tuiles d'actions, construire des bâtiments, construire des sites, sélection des contrats, alimenter ses bâtiments.

     

    Nucleum (fin)

    La photo finale, où nous n'aurons pas vraiment coopéré pour faire le réseau : je me suis implanté au nord-ouest, Manu au sud-ouest et Éric à l'est.

     

    Nucleum (mon plateau)

    Mon plateau personnel, avec presque toutes mes technologies débloqués, des revenus bien développé, beaucoup de bâtiments construits. Merci Manu d'avoir prolongé le plaisir !

     

    Un bon jeu industriel, clairement mais un peu trop encombrant pour rejoindre ma ludothèque.

     

    [Points : 239 – 197 – 119]

    Durée de la partie : 3 heures

    Note personnelle : 8,5/10


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  • Cet article sera illustré des points de vue sur la vallée de la Dordogne, et cette portion particulière des "cinq châteaux" qui s'observaient du coin de l'œil pendant la guerre de Cent Ans, car certains étaient pour la France et d'autres pour l'Angleterre (Beynac est resté fidèle au royaume à la fleur de lys).

    Panorama depuis l'église

    Une trouée ensoleillée illumine le château de Fayrac, et la Dordogne s'en va vers Castelnaud.

     

    Panorama depuis le calvaire

    Un autre vue sur les quatre châteaux.

     

    Châteaux de Lacoste et de Castelnaud

    Au fond, Lacoste et Castelnaud. Au premier plan, le pont ferroviaire.

     

    Château de Marqueyssac

    À notre gauche, le château de Marqueyssac (dont il ne reste qu'un corps de logis), est maintenant célèbre pour ses jardins.

     

    Vallée de la Dordogne

    Toujours la même vue sur la rivière, où passe une gabarre.

     

    Château caché

    Il y a du monde dans le village, près des boutiques artisanales.

     

    Maison de Beynac

    Une maison de Beynac.

     

    Fayrac et Castelnaud

    Encore et toujours Castelnaud et Fayrac, que l'on vois de plus près ci-dessous.

     

    Château de Fayrac

     

    Château de Castelnaud

     

    Beynac

    Le château de Beynac domine vraiment  le village.

    Château de Beynac

    Rassurez-vous, vous allez entrer à l'intérieur dès la semaine prochaine.

     

    Baies des cloches

    Les baies contenant les cloches de l'église Notre-Dame.


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  • En rentrant de notre virée en vallée de Vézère l'autre jour, nous avons traversé Beynac et avons décidé d'y revenir pour visiter le château, et le village à ses pieds. C'est donc ce que je vous propose pour ces prochains jours.

     

    Vue de Beynac

    Comme souvent vu ici, le village est au pied de la falaise, en bordure de la Dordogne, alors que le château surplombe et défend.

     

    Esplanade du château

    Certes, pour le moment, on ne voit que l'arrière de l'église et quelques tours crénelées.

     

    Rue de Beynac

    Montons donc au château, par cette belle rue pavée.

     

    Châteaux

    Et déjà, on peut voir trois autres châteaux, soit du plus proche au plus lointain : Fayrac, Castelnaud et Lacoste. Mais j'y reviendrai dans le prochain article.

     

    Beynac

    Du même endroit, une vue de carte postale de Beynac.

     

    Toits de lauze

    La rue monte en s'entortillant, ce qui permet d'admirer ces beaux toits de lauze.

     

    Fayrac et Castelnaud

    Fayrac (château privé) semble être un mélange de plusieurs époques (Moyen-Âge et Renaissance), alors que Castelnaud est un château-fort.

     

    Grande maison à Beynac

    Une maison de Beynac.

     

    Tour du Couvent

    La tour du Couvent.

     

    Vallée de la Dordogne

    On commence à bien dominer la Dordogne.

     

    Porte Veuve

    Passage de la Porte Veuve, seule porte de l'enceinte défensive restante à Beynac.

     

    Sous le château

    On arrive ainsi au château, mais avant cela, partons découvrir l'église du village.

     

    Église Notre-Dame

    Pas de clocher, seulement les cinq ouvertures vues sur les premières photos de l'article. Par contre, il y a une belle esplanade.

     

    Vue sur l'église

    Par un escalier, on entre dans une petite pièce que permet de voir un bout du grand retable de l'église (fermée aux visiteurs). Et voici la vue du haut de l'escalier.

     

    Porte de l'église

    La porte romane et ses décors, qui nécessiteraient un petit décapage.

    Au-dessus de la porte

     


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  • En continuant le long de la route, nous passons sous le beau manoir de Tarde.

    Manoir de Tarde

     

    Le passage du manoir de Tarde

     

    Vue depuis le manoir de Tarde

    Le manoir offre un beau point de vue sur la Dordogne.

    Vallée de la Dordogne

    La Dordogne (basse), des falaises où les maisons accolées sont toutes petites. Et le château de Castelnaud au fond.

     

    Gabarre sur la rivière

    Soit on prend une gabarre où on est confortablement assis, soit on se dépatouille avec une barque !

     

    Fort troglodytique

    Il y a un fort troglodytique plus ou moins ruiné à visiter, mais nous ne le ferons pas (pas mal d'ouvrages défensifs ont déjà été vus ou le seront), et puis, la montée par l'escalier semble impressionnante (et encore plus en vrai).

    Fort troglodytique

     

    Fort troglodytique et manoir de Tarde

    Le fort troglodytique et le manoir de Tarde.

     

    Maison

    Un Manoir couvert de lierre.

     

    Château de la Malartrie

    Au bout de village, le château privé de la Malartrie.

    Château de la Malartrie

     

     

    Lavoir du village

    Le petit lavoir du village.

     

    Et pour finir, quelques vus d'ensemble du village au bord de la Dordogne.

    La Dordogne et la Malartrie

     

    Route de la Roque-Gageac

     


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