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Une montée tranquille, et une marche ensuite en crête
boisée. Une randonnée qui vaudra surtout pour ses lacs.
En chemin, nous trouvons un siège taillé, l'occasion d'une pause (ou pose) humoristique.
Beaucoup de nuages sur les sommets, donc pas de panoramas des montagnes. Par contre, des lacs eutrophisés où l'on peut admirer des libellules bleues.
Place ensuite au lac du Crêt Luisard, à épier les tritons.
Dans la descente, on trouve une faune plus familière.
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Une sacrée randonnée, avec 6h30 de marche, et 600 mètres à gravir en 1h30 depuis le refuge de la Lavey ! Mais cela en valait amplement la peine.
Le départ fut retardé d'une heure, course cycliste oblige. L'occasion de prendre un pano du massif de Chamrousse.
Les traditionnels pancartes indicatives, les couleurs ne représentant pas forcément le balisage.
Le circuit commence (et finira) par une descente de 200m. Au début, tout va bien.
Mais la descente jusqu'au Vénéon vaut la peine pour voir ça :
On prend le chemin qui grimpe à gauche et nous voilà arrivé dans la vallée de la Muande, pour admirer des lys et entrer dans le parc des Ecrins.
On marche maintenant quasiment à plat jusqu'à franchir la Muande sur un autre pont en pierre.
On s'enfonce toujours plus loin dans la vallée, pour admirer toutes les cascades qui jalonnent le parcours.
On pense arriver au refuge de la Lavey, mais ce n'est que la bergerie du Cloutet. D'ailleurs, on est prévenu.
On arrive alors au refuge, où il fait bon s'arrêter. Et les gérants non plus ne manquent pas d'humour !
Mon frère et moi nous posons et partons à l'attaque du lac des Bêches, franchissant quelques torrents.
Mais voilà, les moutons du coin nous ont induit en erreur, et on se trompe de chemin pendant un quart d'heure. Demi-tour et on prend le bon chemin.
Après donc 600 mètres de grimpette, le panorama depuis le lac vaut vraiment le coup.
Il ne reste plus qu'à revenir à notre point de départ, ce qui nous prendra pas loin de 3 heures !
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On continue la montée progressive dans la difficulté avec aujourd'hui 400 mètres de dénivelé pour découvrir les plateaux de la Chartreuse, pas loin de Chambéry.
Une balade propice à la découverte de très belles fleurs de montagne, comme les gentianes ou les rhododendrons.
Une balade qui oscille aussi entre Isère et Savoie, avec le passage devant d'anciennes bornes frontalières :
Le vallon du Pratcel.
Arrivé sur ces plateaux, il faut faire très attention où on met les pieds, sous peine de tomber dans les dolaines, ces grands trous calcaires, que vous pouvez deviner ici au col de l'Alpe.
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On commence les choses sérieuses avec une grimpette de 150m de dénivelé, une descente à découvert, et malheureusement une demi-heure de marche sur route.
Nous allons pousser devant plusieurs granges, voici celle du Pissou.
Arrivés au Scialet, nous pouvons admirer la vallée de l'Isère (image cliquable) :
Puis, de l'autre côté, les premiers sommets de Chartreuse.
De gauche à droite, l'Aiguille de Quaix, Chamechaude, la Dent de Crolles.
Vue sur Grenoble dans la descente.
L'arrivée sur Proveysieux avec vue sur la Pinéa et l'Aiguille de Quaix.
L'église de Proveysieux, avec un mignon cimetière, un grand résineux et l'Aiguille de Quaix au fond.
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Valchevrière est un village perdu au milieu de la partie verdoyante du Vercors. C'est un haut-lieu de la Résistance, avec un valeureux combat entre des résistants mal préparés et les soldats de la Wehrmacht. Ceux-ci, après leur victoire, brûlèrent le village, hormis la chapelle.
Un chemin de croix a été mis en place au départ de Villard-de-Lans il y a quelques années, en voici une des douze étapes.
A la dernière étape, nous avons un très beau belvédère (cliquable) sur le Vercors et le village, en gros plan ci-dessous.
Et maintenant, quelques vues du village, où le silence est de mise.
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