Une soirée chez Jean-Luc, où je lui présente mes dernières acquisitions.

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Tout d'abord Madame Ching, où la configuration 2 joueurs oblige chaque personne à gérer 2 expéditions simultanément. Et ce n'est pas si facile !

Ce fut une belle lutte, entre les cartes rencontre pour moi, et les gemmes pour Jean-Luc. Je mets fin à la partie par contrôle du China Pearl, mais je perds au départage !

Une belle réussite française, sur tous les plans.

 

[Points : 33 – 33]

Durée de la partie : 1 heure

Note personnelle : 8/10

Joueur	Jean-Luc (1)	Moi (2)
Gemmes blanches	12	4
Gemmes rouges	3	3
Gemmes bleues	4	2
Pièces	6	10
Cartes	8	14

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Puis on enchaîne sur deux parties de Minivilles, que je gagne très largement. Un jeu bien apprécié aussi dans cette configuration.

 

[Monuments construits : 4 – 2, puis 4 – 1]

Durée de chaque partie : 30 minutes

Note personnelle : 8/10

Retour au festival, dont voici quelques photos de ce lieu de plein air (la troisième montre la queue pour le snack).

 

 

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Côté jeux, nous avons commence par Les bâtisseurs Antiquité.

 

Mêmes règles que pour Les bâtisseurs (ou Les bâtisseurs Moyen âge) à savoir atteindre 17 PV de bâtiments construits à l'aide de ses ouvriers, mais ici on peut aussi booster ces dernier sen leur enjoignant un outil, en les formant pour qu'ils soient plus compétents dans un domaine, mais aussi en recrutant des esclaves, qu'ont cherchera à affranchir. Comme l'argent est censé être plus difficile à obtenir, on peut aussi faire des emprunts (ce qui n'a pas été le cas lors de cette partie).

 

Verdict ? Mieux que le premier jeu de la gamme, car il y a plus de dilemme, et les ouvriers se trouvent ainsi mieux équilibrés (les apprentis peuvent être formés, et fournir le même service qu'un maître, pour moins cher). De plus, on peut faire différentes orientations (j'ai joué les outils, mon adversaire les esclaves et la formation). Mais il reste tout de même peu d'interaction, et l'offre de bâtiments constructibles (c'est maintenant moins vrai pour les ouvriers, grâce aux ajouts) peut toujours être une source de blocage (pourquoi prendre un bâtiment qui n'intéresse personne ?).

A noter que, dorénavant, chaque PO vaut 1/10e de point.

 

[Score : 18,7 – 17,7]

Durée de la partie : 25 minutes

Note personnelle : 7/10

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On part ensuite, Eric et moi, pour une partie familiale de Korrigans.

 

On se déplace de champ en champ à l'aide d'animaux, pour récupérer des trésors, mais surtout se rapproche de l'endroit où naitra l'arc-en-ciel, afin d'avoir une plus grosse part du trésor. Et je m'y suis bien montré à mon avantage, notamment parce que j'ai pu faire rejoindre l'arc-en-ciel à mes deux korrigans.

Un jeu familial certes, mais assez malin (déplacement des pions, détermination de l'arc-en-ciel).

 

[Scores non notés, mais victoire de ma part]

Durée de la partie : 45 minutes

Note personnelle : 7/10

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J'ai également fait une partie de Piña Pirata, au moins plus rapide que la précédente, un peu plus intéressante, mais c'est vraiment un jeu que je n'achèterai pas (lisibilité des cartes, règles même du jeu).

 

[Scores non notés]

Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

Note personnelle : 5/10

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Enfin, nous avons fait une partie de la version dés de Pandémie, qui est une version de son grand frère (jeu coopératif de remédiation de maladies), mais ici uniquement avec des dés. Chaque joueur incarne un personnage, avec ses dés spéciaux, et les maladies aussi ont des dés propres à chacune d'entre elle (il n'y a donc pas qu'une répartition géographique comme pour le jeu de plateau).

Ce qui est bien (et on l'a appris à notre dépens), c'est l'utilisation des boucliers, qui permettent d'acheter les cartes événement : à ne pas vouloir les utiliser, car les cartes semblaient peu intéressantes, on perd par épuisement des dés.

Il y a de bonnes chances que j'achète cette version, car ce n'est pas souvent qu'on a un jeu de dés coopératif.

 

[Défaite]

Durée de la partie : 30 minutes

Note personnelle : 8/10

Le soir, lors du "off", avec Ho et Eric, nous découvrons Praetor.

Un bon jeu de gestion, où l'on envoie nous ouvriers, représentés par des dés, travailler sur les différentes tuiles, pour gagner des ressources, de l'argent, et convertir tout cela en point de victoire. Mais nos ouvriers vieillissent et à un moment, ils partent à la retraite, et il faut toujours les payer. Il faut donc bien gérer le force de ses ouvriers, chose que j'ai mal faite.

 

En effet, j'ai eu très rapidement, en début de deuxième période, tous mes ouvriers en retraite. Certes, cela rapporte pas mal de points sur le coup, mais ensuite, avec un seul ouvrier actif, on ne fait plus grand chose !

Au final, on a fait de très gros scores, et si Eric était le propriétaire des deux camps de travail (qui permettent de faire travailler un retraité), il ne gagne qu'avec dix points d'avance.

 

Un jeu original par son système de vieillissement, mais que je déconseille à plus de 4, car les parties sont quand même longues.

 

[Points : 331 – 321 – 257]

Durée de la partie : 2 heures

Note personnelle : 8,5/10

Enfin ! Je peux enfin participer en tant que visiteur à PEL , le festival ludique de Paris, en plein air (et il a fait beau !). Deux éditions ne concordait pas pour les dates, une autre j'étais bénévole. Cette fois-ci donc, j'ai pu pleinement en profiter.

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Les deux premiers jeux essayés ne m'auront pas convaincu.

Tout d'abord Sultaniya, un jeu de construction de palais.  Finalement, on est fortement dépendant des tuiles proposées, mais aussi de ses objectifs secrets : s'ils se complètent, tant mieux ! Ce n'est pas évident non plus de lire les palais de ses adversaires (notamment les petits éléments comme les gardes et les fenêtres.

Bref, peut-être pas mal dans un cadre familial, mais au-delà je suis moins convaincu.

 

[Points : 42 – 40 – 38 – 28]

Durée de la partie : 1 heure

Note personnelle : 6/10

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Le deuxième jeu est Souk.

Il s'agit ici de faire des paris sur les marchandises présentes dans les souks à la fin de chacune des trois manches. Mais le système est bizarre, et on est pas mal dépendant de notre main : si 2 joueurs scorent sur la même marchandises, et pas vous parce que vous n'avez pas la bonne carte, ça fait mal. Et puis, les manches sont très rapides, trop même, on n'a vraiment pas le temps de se retourner.

 

[Scores non notés]

Durée de la partie : 15 minutes

Note personnelle : 4/10

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Les autres (futurs) jeux pratiqués lors de cette première journée furent :

- Pandémie Contagion : la version cartes du jeu éponyme est un jeu d'opportunisme, puisque nous incarnons les virus qui infectent le monde. C'est un jeu de majorité par le placement de cubes, mais comme notre stock est limité, il faut compter sur ses adversaires pour décompter les villes ! Très malin, cela change par rapport au jeu coopératif.

- Deus : Un jeu de civilisation avec des cartes, par construction de bâtiments sur un plateau de terrain. C'est donc un jeu de positionnement, mais également de combo, car les effets des cartes sont activés à chaque nouvelle construction (couleur par couleur). C'est bien de se spécialiser dans une couleur, mais jouer équilibré est important aussi pour le décompte final des temples. Et je ne parle pas du système ingénieux de défausse-renouvellement de sa main. Probablement un futur achat.

Une soirée de découverte pour tout le monde chez Eric et Karine.

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Je leur fait d'abord découvrir Minivilles, et l'on en fera deux parties.

 

Vous pouvez voir les différentes types de cartes (bleues activables à chaque tour de joueur, vertes et violettes activables uniquement à son tour, rouges activables pendant le tour de ses adversaires).

Eric a remporté cette première partie grâce à ses champs de blé et ses fermes (cartes bleues à droite).

 

Karine n'était pas loin, et on peut dire qu'elle a fait de tout !

 

J'ai joué à fond le centre commercial, mais le 4 n'est pas sorti très souvent :(

 

[Monuments construits : 4 – 3 – 3]

Durée de la partie : 30 minutes

 

La deuxième partie fut plus rude pour Eric, qui semblait davantage parti sur une stratégie deux dés avec les mines, mais le 9 n'est pas sorti souvent.

 

Un développement équilibré pour Karine, pas loin de conclure.

 

Pour ma part, je suis quasiment resté tout le temps à 1 dé, me renforçant sur les cartes rouges, pour profiter des deux dés adverses, et ça a payé.

Vraiment un très bon jeu de dé, et dire qu'il faut que j'attende 3 mois (à la date des parties) avant de goûter à la première extension...

 

[Monuments construits : 4 – 3 – 2]

Durée de la partie : 30 minutes

Note personnelle : 8,5/10

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Je propose ensuite une partie d'Helios, et il est clair qu'il en faut faire au moins une pour y voir les tenants et aboutissants.

La règle de jeu est simple : on prend une tuile d'action pour soit construire un bâtiment, soit poser un type de terrain, soit déplacer le soleil pour activer ses tuiles. Ensuite, on peut acheter des personnages qui nous rapporteront des points sur certains critères.

Entre les différents personnages, les effets de ses bâtiments personnels, et comment bien déplacer son soleil, c'est un peu dur pour une première partie, qui en appelle d'autres.

Eric (ci-dessus) s'en est très bien sorti avec sa stratégie temple : petit terrain pour que le soleil tourne rapidement, et scoring des temples bonifié.

 

Karine était plus étalée, et surtout s'est affranchie de la distance parcourue par son soleil, mais pas assez rentabilisé.

 

Pour ma part, j'ai plutôt découvert le jeu, n'ayant pas vraiment d'objectif clair.

 

Une bonne découverte donc.

 

[Points : 194 – 122 – 100]

Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

Note personnelle : 8/10