• Deux jeux coopératifs, un petit jeu de cartes et un jeu de course, c'est varié aujourd'hui.


    Le petit nouveau dans les jeux coopératifs : Ghost stories à 4 joueurs.


    La disposition initiale, avant l'arrivée des fantômes. Les pouvoirs choisis par les joueurs fut : possibilité de relancer des dés pour le vert, marque d'affaiblissement pour le jaune, combat et action pour le bleu, déplacement perso et déplacement d'un autre moine pour le rouge.
    Après un début de partie normal, nous connûmes un gros coup de mou avant de nous reprendre quand Wu Feng arriva.


    Nous réussîmes à vaincre Wu Feng au tout dernier tour avant la défaite par l'obtention de 2 dés rouges couplé à l'affaiblissement et à la salle de prière.
    Bien sympa, je suis partant pour faire d'autres parties.


    Pour la pose du midi, un jeu qui fait fureur chez les rôlistes : Munchkin, dans sa version Star.
    Sympa une partie, mais ce n'est pas vraiment ma tasse de thé.

    [Niveau atteint : 10 – 9 – 8 – 7]



    Deux joueurs étant arrivés, nous nous lançons dans le jeu prévu : le Seigneur des Anneaux, avec l'extension Sauron. J'incarnais le mal, étant le seul à connaître cette extension.
    Le passage de la Moria et du Gouffre de Helm s'est bien passé pour la Communauté, mais ils ont davantage souffert dans l'antre d'Arachné, perdant 2 campagnons en fin de scénario.
    Arrivé en Mordor, les 3 survivants, jouent la carte Prévoyance et réussisent l'esploit de piocher 5 tuiles d'activité. Ils foncent alors vers la Montagne du Destin, et je réussis à tuer 2 nouveaux Hobbits (dont Sam, qui m'a bien pourri la vie) avant l'affrontement final. Malheureusement, Pippin survit à la case 60, il choppe un bouclier qui lui permet de reculer sur l'échelle de corruption et donc d'éviter les foudres de Sauron.

    [Victoire de la Communauté – Défaite de Sauron]


    Puis, une partie de Pitch Car avant de partir.


    Voici le circuit, marqué par un grand tremplin dès l'entame, une boucle suivie d'un dos d'âne, un petiti tremplin avant la course vers l'arrivée.
    Le tremplin initial aura fait beaucoup de mal, ce qui me vaut de terminer dernier des qualifications. Mais je suis le premier joueur à franchir le tremplin, et je serai ensuie à la lutte avec le leader et ses deux poursuivants. Je réussirai finalement à m'imposer, le leader calant au moment de franchir la ligne.


    Le classement final des voitures, de gauche à droite.

    [Classement (position au départ) : 1 (6) – 2 (1) – 3 (2) – 4 (3) – 5 (4) – 6 (5)]  


    votre commentaire
  • Deux gros jeux, un plus light, voilà le résultat de 10 heures bien remplies.


    Le coup de cœur du moment : Comuni à 5 joueurs.


    La partie vient de s'achever, et on remarque l'opposition forte entre les médaillés et les retardataires. Personnellement, je n'ai jamais été dans le coup, finissant avec 3 points de pillage. Mais mon compagnon d'infortune finit, lui, avec 12 pts de pillage ! Peut-être que jouer au maximum n'est pas l'idéal pour ce jeu...


    Même si je finis avec un beau bâtiment économique, j'ai manqué d'or pendant la partie. Et ne parlons pas du reste.

    [Points : 34 – 31 – 30 – 17 – 17]

    Joueur

    Bâtiments

    Maîtres de corporation

    Héros

    Ressources

    Bonus

    Pillage

    Philippe (3)

    19

    3

    6

    2

    0

    0

    David (1)

    21

    3

    7

    3

    0

    0

    Matthieu (4)

    22

    3

    2

    0

    2

    -12

    Guillaume (2)

    24

    3

    1

    2

    1

    0

    Moi (4)

    16

    0

    2

    1

    1

    -3


    Ensuite, nous faisons une petite partie de La crique des pirates.

    Philippe finit à la rue, ayant perdu 3 combats lors des 3 premiers tours : difficile de s'en remettre. Pour ma part, après un bon début, je me mets également à perdre en fin de partie. Tout cela arrange Guillaume, qui l'emporte haut la main.

    [Points : 51 – 43 – 24 – 24 – 11]



    Dernier jeu découvert ce soir : l'ancêtre du sceptre de Zavandor, j'ai nommé Outpost.


    Vous pouvez admirer le design très 80's-90's, ainsi que les jetons usines et personnel. Ici, comme pour son héritier, on construit des usines de plus en plus puissantes pour avoir des revenus plus conséquents, et on achète aux enchères les développements disponibles. La grosse différence avec Zavandor, c'est que les aménagements sont tirés au dé (d4 pour commencer, d10 pour continuer, d12 pour finir) et qu'il n'y a pas de piste de score (on n'est plus habitué, à force).


    La partie est terminée, et le moins que l'on puisse dire et que l'on a beaucoup acheté. Ca prend de la place tout çà !


    Mon développement, avec beaucoup d'usines, et toutes productives, et mes développements achetés.

    J'ai bien aimé, je suis prêt à refaire d'autres parties.

    [Points : 84 – 64– 60 – 46 – 46]

    Joueur

    Usines

    Développements

    Philippe (4)

    17

    29

    David (1)

    18

    66

    Matthieu (4)

    25

    21

    Sonia (3)

    22

    38

    Moi (2)

    21

    43


    votre commentaire
  • Des jeux rapides, beaux, aux fortunes diverses : voici le résultat de cette journée percheronne.


    Je fais tout d'abord découvrir À l'ombre des murailles, en été, à mon hôte.

    Je remporte logiquement cette partie, mais Céline s'est bien débrouillé. En résumant, il y a eu opposition entre les tours et les maisons.

    [Points : 95 – 82]

    Joueur

    Fin de partie

    Artisans

    Céline (2)

    42

    40

    Moi (1)

    35

    60


    Ensuite, avec l'arrivée d'Eric et de JP, nous continuons avec Néfertiti.

     

    La partie s'est assez mal goupillée pour moi, n'arrivant pas à prendre les sceaux. JP a joué au trésorier, mais ce ne fut pas suffisant. Belle victoire de Céline. Eric a commencé à entrevoir les possibilités de ce jeu.
    Ci-dessous, mes cadeaux à la fin de la partie :


    [Points : 122 – 111 – 100 – 95]

    Joueur

    Fin de partie

    Décompte final

    Eric (4)

    48

    47

    Céline (1)

    65

    57

    JP (2)

    10

    101

    Moi (3)

    10

    90

     


    Nous terminons cet après-midi avec une partie de Patrizier.

    C'est un jeu de placement (on construit des étages dans des villes) et de majorité (le joueur ayant le plus d'étage gagnant les points). L'originalité vient du fait qu'en jouant une carte de pose dans une ville, on récupère une carte qui nous permet de jouer dans une autre ville. Le tout est donc de choisir quand et où jouer, sachant que l'on a que 3 cartes en main.


    A l'arrivée, le plateau est bien rempli, et Céline s'est encore une fois imposé, grâce à ses nombreux patriciens.

    [Points : 47 – 32– 27 – 23]

    Joueur

    Constructions

    Patriciens

    Eric (4)

    17

    6

    Céline (1)

    29

    18

    JP (3)

    27

    0

    Moi(2)

    26

    6

     


    Enfin, dans le train de retour, je me fais une partie de Race for the galaxy.


    Le robot commence avec Epsilon Eridani, et moi avec l'Usine alien endommagée.


    J'ai vraiment joué à fond la stratégie jaune, mais je n'ai pas réussi à avoir le Techno-institut alien, qui m'aurait fait la bagatelle de 21 points et aurait permis de m'imposer.


    Le robot par contre a beaucoup posé de mondes militaires, ainsi que ses deux jetons dev6, d'où un écart conséquent.

    [Points : 42 – 24]

    Joueur

    Cartes

    Consommation

    Développements à 6

    Robot (1)

    21

    9

    12

    Moi (2)

    22

    2

    0


    votre commentaire
  • En ce moment, j'enchaîne les parties. La preuve : je joue tous les jours entre le 7 et le 16 ! On commence avec la découverte des soirées LudoPerche à Nogent-le-Rotrou.


    Une initialisation À l'ombre des murailles, en hiver, à 4 joueurs.


    Je me suis logiquement imposé, étant le seul à connaître le jeu. Je me suis spécialisé dans les tours et les artisans présents. Tout le monde a apprécié, et ce plateau, avec les cartes, apporte indéniablement un plus.

    [Points : 52 – 43 – 42 – 41]

    Joueur

    Fin de partie

    Artisans

    Vincent (3)

    12

    30

    Romain (4)

    32

    9

    Arnaud (2)

    25

    18

    Moi (1)

    24

    28


    Je découvre, comme mes adversaires, Comuni à 5 joueurs.

    Ici, chaque joueur est à le tête d'une comune, qu'il doit développer en construisant de beaux édifices dans quatre domaines : économique, culturel, religieux et militaire. Pour cela, on place des maîtres d'œuvre sur les offres qui nous intéressent (partie basse du plateau, vous en verrez dans des parties ultérieures). En récupérant nos offres, on peut construire les bâtiments, tout en ne négligeant pas les remparts contre les envahisseurs.
    Eh oui, 4 fois dans la partie, des invasions en force croissante se déclenchent. Et plus on développe notre ville, plus on doit défendre (les pilleurs sont intéressés par les belles cités). En conséquence, on souhaite un développement équilibré de toutes les villes, ce qui n'est bien sûr jamais le cas. C'est là qu'intervient le subtil mélange de défenses commune et individuelle.
    Un très bon jeu, au magnifique matériel. Dommage que cela soit difficile à expliquer (mais c'est très fluide) et qu'il y ait une erreur sur le plateau.


    Cette photo vous indique ma ville en fin de partie : beaucoup de militaires et de religion, peu du reste.



    Les fameux cubes ressources; de gauche à droite :
    - Les artisans permettent plusieurs tours de construction et de payer les surcoûts.
    - Les armées servent uniquement contre les invasions.
    - L'or sert principalement pour les offres (système d'enchère à la Amun-Re).
    - Les pèlerins servent un peu aux enchères, beaucoup pour enlever les pillages, et de joker pour le reste.

    [Points : 40 – 32 – 26 – 26 – 25]


    1 commentaire
  • Chez Philippe, deux gros jeux, pas forcément beaux.


    Tout d'abord une initialisation à un grand jeu des décennies passées : 1830 à 3 joueurs.


    C'est sûr, le plateau ne fait pas très envie, les tuiles sont difficilement lisibles, bref c'est pire qu'un jeu de Wallace ! Ensuite, l'explication des règles est longue, mais une fois dans la partie, ça va à peu près (phase d'investissement borusier, phase de construction des campagnies, puis phase de revenus). Bien sûr, Jean-Luc et moi avons commis des erreurs (investissement personnel trop rapide dans la compagnie jaune) et Philippe a montré comment plomber un joueur en lui refilant une mauvaise compagnie. Nous avons arrêté la partie après 4 heures de jeu, constatant qu'une banqueroute était difficile, et voyant la pile de billets de banque restant à épuiser.
    Intéressant, mais trop long pour que je rejoue de sitôt.

    Situation au moment de l'arrêt :


    Puis Jean-Luc nous fait découvrir Wealth of Nations.

    Une disposition en forme de fleur où sont représentés l'argent (banque), la nourriture (fermes) et les facteurs de production (énergie, minerai, capital, travail). Le but est de développer ses propres industries : pour cela, soit on produit les ressources, soit on propose des échanges avec ses adversaires pour avoir les ressources manquantes.


    Cette photo montre les lots de départ : 6 lots d'industrie, 6 lots de ressources et d'argent. Le but est dd'essayer de se spécialiser, tout en construisant des industries intéressantes. Pour ma part, je me suis développé dans les facteurs de production (nourriture, énergie, puis minerai et banques), Jean-Luc a été le seul à faire du travail, mais il a aussi développé le capital et le minerai; Philippe a eu plus de mal avec son capital, et sa banque lui a beaucoup coûté.

    Voici la situation finale, causée par la pose par un joueur de tous ses drapeaux.


    Un très bon jeu, fluide, long tout de même (au moins 3h, qu'on ne voit pas passer). A rejouer, avec les bonne srègles cette fois (problème sur le placement forcé et erreur sur la pose des drapeaux).

    [Points : 205 – 91 – 70]

    Joueur

    Industries

    Argent

    Emprunts

    Jean-Luc (1)

    72

    133

    0

    Philippe (3)

    52

    18

    0

    Moi (2)

    56

    35

    0


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique