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Une partie d'Olympus à 5 joueurs chez Jean-Luc.
Encore un jeu qui prend de la place :
- Un plateau central et sont indiqué les temples constructibles, les dieux invoquables et la piste de score.
- Un plateau individuel indiquant le nombre d' "oiuvriers" (ici des prêtres) à notre disposition et notre évolution dans les différentes échelles (culture, population, force militaire, agriculture, chasse, pêche)
- Un ensemble de 33 cartes (!) constructibles pour chaque joueur.
Ce jeu de développement est un mélange de Caylus (pose d'ouvriers) et de Puerto Rico (chaque action est disponible, le premier joueur la faisant disposant d'un avantage).
En clair, à tour de rôle, chaque joueur va évoquer un dieu (en se plaçant sur l'espace α) et les autre sjoueur peuvent aussi venir (emplacement β, moitié moins intéressant).
Les dieux permettent :
- Déméter : développer et/ou produire son agriculture
- Artémis : développer et/ou produire sa chasse
- Poséidon : développer et/ou produire sa pêche
- Héra : développer et/ou produire la (les) ressource(s) de son choix
- Athéna : développer sa culture
- Aphrodite : développer sa population
- Arès : augmenter sa force militaire et/ou faire des guerres
- Héphaïstos : construire 1 ou 2 cartes
- Apollon : marquer des points de victoire et/ou déclencher/se protéger de la peste (la peste fait perdre le tiers de sa population).
- Zeus : 1 ou 2 actions au choix (hors déclencher la peste)
Pour la construction, il faut atteindre un certain niveau de culture (de 1 à 8), et avoir les ressources nécessaires.
La guerre est particulièrement dévastatrice (voire un peu trop) puisque la vainqueur pique au perdant autant de ressources que la différence entre leurs armées.
Enfin, on gagne des prêtres supplémentaires (donc des actions supplémentaires) quand on atteint un certain niveau de culture et/ou de population.
En fin de tour, on ne peut conserver que 5 ressources, nos développements militaires et nourriciers ne peuvent dépasser notre niveau de population.
Le premier joueur qui atteint la dernière case d'une ligne, il récupère une carte bonus; quand 4 cartes sont ainsi récupérées, on finit le tour et la partie s'achève. Chaque joueur marque alors, pour chaque ligne de développement, la moitié des points du niveau atteint.
Jean-Luc s'est très largement imposé grâce à 3 effets combinés :
- récupération rapide d'un quatrième prêtre
- force militaire précocement augmentée, et des guerres très rentables
- des pestes savamment déclenchées.
Ajoutez à cela, qu'il eut souvent les effets α (les autres joueurs trop souvent les mêmes dieux), qu'ils construisit beaucoup de cartes (voyez son tableau à droite de la photo), il put ainsi très facilement augmenter sur ses échelles.
Un bon jeu, mais la guerre est très puissante, ce qui n'incite pas à être pacifiste. Et pour tout dire, seule JL et moi avons aimé le jeu, il me semble.
[Points : 45 – 35 – 31 – 28 – 28]
Durée de la partie : 2 heures 30 minutes
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Avec Jean-Luc, nous avons fini notre partie des Cités perdues, entamée une semaine plus tôt.
La première manche du jour (deuxième de la partie) m'aura fait très mal, Jean-Luc assurant de beaux contrats rouge et Jaune, limitant la casse sur le vert.
Pour la dernière manche, j'ai pu bien revenir au score malgré une faiblesse en rouge. Jean-Luc a très fortement limité la casse sur le bleu, où il aura pu perdre plus de 50 points (double contrat avec 3 pts posés à 2 tours de la fin, et il a cartonné sur le vert.
Un très bon jeu à 2, vraiment.
[Score final : 107 (42+39+26) – 85 (41+8+36)]
Durée des deux manches : 40 minutes
Joueurs Rouge Vert Blanc Bleu Jaune Jean-Luc (1) 24+11 –10+42 0+/ 7–21 18–6 Moi (2) 4–8 10+/ 0+8 –8+12 2+24
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Une grande après-midi jeu chez Eric et Karine, en commençant par un De Vulgari Eloquentia à 4 joueurs.
Premier joueur à l'entame, j'ai pu récupérer un précieux manuscrit orange. Eric a commencé à progresser sur le devinette, Jean-Luc et Karine ayant préféré partir l'un du centre, l'autre au sud.
Au début du tour 9, les trois hommes sont depuis quelques temps rentrés dans les ordres : Jean-Luc a commencé au tour 3 avec le frère Michael, je l'ai suivi au tour suivant avec frère Stefano, Eric l'ait depuis un au deux tours avec frère Mario. Karine et moi-même commençons à pester contre les manuscrits présents, car seuls deux couleurs sont présentes : orange et violet (les 3 manuscrits 2 orange sont notamment présents). En conséquence, je me place à la devinette et prépare un coup fumant pour le tour 11 : je descendrai à Assise pour claquer mes 5 actions sur les cantiques, dépensant 5 abbesses et prenant une très bonne avance. Mes adversaires n'ont pas vu le coup venir (surtout que j'ai déjà préparé l'élection finale). Mais la course aux manuscrits s'engage mal quand la tour 12 dévoile la maladie papale, et les manuscrits clairs arrivent enfin, sauf le vert !
Heureusement, comme d'habitude quand j'y joue avec mes amis, le pape a attendu le tour 16 pour mourir ! J'ai ainsi pu me renforcer en manuscrits, alors que Karine n'a pas réussi à récupérer un manuscrit jaune (elle ne voulait pas perdre une action pour en prendre un de 1 point, je l'ai donc pris). Eric me surprendre à devenir pape (il a remplacé Mario par Bellestreri), Jean-Luc assurant la position de chambellan à Lanzuisi. Karine, elle, est devenue frère Ralph dans les derniers tours.
Encore une très belle partie, très intéressante avec les choix limités de manuscrits.
[Points : 57 – 54 – 49 – 43]
Durée de la partie : 3 heures
Joueurs Jean-Luc (1) Karine (4) Eric (3)Moi (2) Nom Michael → Lanzuisi Ralph Mario → Ballestreri Stefano Election finale 14 11 22 11 Votes / / / 3 Copistes 2 3 4 1 Vatican 4 3 3 4 Argent / 3 / / Devinette de Vérone / 5 / / Cantiques 4 / / 9 Manuscrits 22+5 14+0 15+5 21+5 Personnages 6 4 / /
Puis une partie du très bon Thèbes.
Alors que mes adversaires prennent les cartes de bonus (pelles, assistants, congrès, transports), je me rabats sur les connaissances des lieux.
Alors que j'avais assez bien commencé, mes bonus quasiment inexistants je n'ai pas avoir que des récompenses jaunes et oranges. Par contre, j'ai beaucoup de connaissances. Mais voilà, Karine qui accumule les congrès, Eric les jetons de fouilles et Jean-Luc les expositions, me voilà bon dernier.
Toujours sympathique et thématique (et Eric a encore fait sa pleureuse !)
[Points : 60 – 52 – 46 – 42]
Durée de la partie : 2 heures
Joueurs Fouilles Congrès Expositions Connaissances Jean-Luc (3) 31 / 9 6 Karine (1) 29 28 / 3 Eric (2) 41 / 5 6 Moi (4) 19 3 4 16
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Progressions vers le centre de la capitale, sur la rive gauche, en passant par quelques lieux emblématiques : Champ de Mars, Invalides, jusqu'à l'entrée du jardin du Luxembourg.
L'esplanade du Champ de Mars, où les Parisiens profitent fort logiquement du beau temps.
Au bout du parc, l'Ècole militaire, que nous contournerons par le nord.
Un monument sur les Droits de l'Homme (à droite), un autre sur le progrès (au fond).
Nous arrivons maintenant devant les Invalides et son célèbre dôme doré et, devant nous, le jardin de l'Intendant.
En prenant l'avenue de Breteuil, on est pile en face de l'entrée de l'église.
La façade de l'église Saint-François-Xavier, fait plus massive, sans pour en être laide pour autant.
Nous empruntons ensuite des rues riches d'hôtels particuliers pour parvenir jusqu'au jardin du Luxembourg, l'occasion de découvrir l'ancien nom des rues (ici, la rue de Cherche-Midi).
Quelques entrées d'hôtels rue du Regard :
l'hôtel de Dreux-Brézé.
l'hôtel de Beaune.
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un fronton d'hôtel richement décoré.
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Descendons maintenant vers la Seine et allons apprécier la tour Eiffel sous toutes ses coutures.
Mais avant, au débouché du jardin du Ranelagh, voici l'ancienne gare de Passy du circuit de ceinture.
À côté du la gare RER de Boulainvilliers, le siège du consulat de la principauté d'Andorre, dont voici le blason.
Nous commençons à descendre de la colline par l'étroite rue pavée de Berton, avec une vue sur la tour Eiffel.
Quand je vous disais que le rue est étroite ! Derrière le mur de droite, l'ambassade de Turquie.
Le chemin fait traverser le parc de Passy, et on sent que le quartier est bourgeois quand on voit les différentes terrasses des immeubles avoisinants.
En arrivant à la scène, nous empruntons le pont de Bir-Hakeim, où passe le viaduc de la ligne 6, lieu où fut tourné une scène d'Inception.
Au centre du pont, une arche rappelle le nom du viaduc, et la statue illustre la France renaissante.
Retournons-nous, et la tour Eiffel est bien impressionnante, et encore, nous ne sommes pas encore à ses pieds.
Ah ça, elle domine cette construction métallique. Montmartre, à l'arrière-plan, c'est tout petit.
Dans le parc arboré autour de la tour, on peut apprécier à la fraîche cette construction, tout en étudiant les essences d'arbres plantés.
Nous descendons dorénavant le Champ de Mars. Voici une dernière vue sur la Dame de Fer, et un zoom sur les noms de personnalités françaises, inscrites sur le pourtour du premier étage.
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