A l'association, il y a eu beaucoup de temps perdu (déjà qu'il est pas mal contraint par les horaires...)

Tout d'abord, une partie bien longue de Safranito, à 4 joueurs.

Dans ce jeu de palets revisité, il s'agit d'être le premier à constituer 3 recettes à base d'épice et condiments.

Ici, 3 recettes sont visibles en début de tour et, à tour de rôle, on lance un jeton de poker sur le jeu en essayant de viser les endroits qui nous intéressent : les bols d'épices ou les actions spéciales.

Une fois cela fait, on résoud d'abord les actions spéciales (le jouer étant dessus et ayant le plus fort total gagne). Celles-ci permettent de lancer un autre jeton, de piocher une recette ou un ingrédient, et de devenir premier joueur.

Puis on retourne les jetons sur les bols, pour pouvoir vendre puis acheter (si des cartes sont présentes) les ingrédients.

En fin de manche, dans l'ordre du tour, les joueurs peuvent faire une recette.

Déjà peu emballé à la base par le mécanisme, le jeu se révèle à l'usage répétititf et assez fade :

- d'une part il faut que les ingrédients présentés correspondent aux recettes

- ensuite, et surtout, il faut que le sjoueurs soient assez adroits pour bien lancer leurs jetons, ce qui n'est vraiment pas évident

- enfin, je trouve que le plateau n'est pas très lisible

En plus, comme nous n'avions pas de chance (du style beaucoup d'ail à ahceter alors qu'aucune recette ne demande d'ail), la partie s'est prolongé, prolongé...

J'ai heureusement réussi à faire la troisième recette mettant fin à un calvaire commun.

Certes, le jeu est simple à expliquer, mais il n'est pas vraiment fun, et est bien trop long pour ce qu'il offre.

[Recettes : 3 – 2 – 2 – 1]

Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

Puis une partie d'Olympus à 4 joueurs, avec une petite variante sur les guerres : le vainqueur récupère en ressources la différence entre les deux armées -1 (donc il faut au moins 2 d'écart pour en prendre une).

Pour compenser cela, j'ai construit le temple d'Arès (+1 prêtre pour le tour quand on gagne une guerre), mais Fabrice, qui a joué pacifique du début à la fin (il n'a pratiquement pas augmenté son armée) a subi nos foudres et maladies. Bref, il n'a pas aimé, surtout avec l'apprivoisement des 45 cartes.

Pour ma part, avec une partie derrière moi, j'ai pu élaborer une certaine stratégie (hausse du militaire, plus pour profiter du tempel que pour vraiment agresser un adversaire, mais bon, qui refuserait de prendre 2 ressources ?), donc une meilleure approche du jeu, et puis, le jeu a bien plu aux deux autres joueurs (un gamin d'un e douzaine d'années a gagné, et en plus cela lui a fait travailler son anglais).

Une belle partie, finie à l'arrache, et donc sans photo.

[Scores (± approximatifs) : 49 – 45 – 35 – 28]

Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

Je reviens à la soirée du jeudi à L'œuf ou la poule, pour une partie de Pergamon à 4 joueurs.

La mise en place du jeu.

Après la première manche, le joueur verta déjà pris le large, en ayant posé une exposition grimpant à 22, ce qui lui donnera une petite vingtaine de points au final, ce qui est particulièrement conséquent. Pour ma part, je n'arriverai jamais réellement à obtenir de bons restes.

En fin de partie, je réussit tout de même à faire un score à 2 chiffres. En tout cas, heureusement que le joueur vert n'avait pas de vieux objets (en tout cas, pas trop vieux pour glaner toutes les récompenses), car il nous aurait mis un boulevard.

J'ai moyennement apprécié cette configuration, préférant largement le meilleur contrôle à 3 joueurs.

[Points : 31 – 25 – 19 – 12]

Durée de la partie : 1 heure

Puis une partie d'Asara à 4 joueurs, avec cette fois-ci la bonne règle pour la banque.

Un plateau qui prend vraiment beaucoup de place (à l'instat d'un Olympus, tiens) et encore, on n'a pas posé de tours ! On joue en version complète, qui rend ainsi le jeu bien plus intéressant.

Fin de la première année, et il n'y a pas vraiment eu de difficultés pour la pose des cartes, hormis pour la construction des tours.

La partie est terminée, et le joueur rouge s'impose parce qu'il a notamment construit une tour de plus que ses adversaires. Tout le mond ea bien apprécié le jeu, et je dois avouer que, maintenant que j'y joue avec les bonnes règles c'est encore plus intéressant : le futur vainqueur, lors de la troisième saison, a bien bloqué ses adversaires en jouant la "mauvaise" couleur à la banque. Et c'était à l'insu de son plein gré !

5 tours pour le joueur rouge, majorité sur les blancs, bien placé sur les noirs, voilà le fruit de sa victoire.

Pour ma part, j'ai construit une importante tour verte, avec 2 fenêtres éclairées pour le départage.

Le joueur bleu a fait encore plus fort sur le marron. Mais trop se focaliser sur une couleur n'aid epas à gagner, il n'a que 3 tours construites.

Enfin, le gérant de ces lieux s'est imposé sur les tours rouge et blanche.

[Points : 72 – 65 – 60 – 56]

Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

Une partie d'Olympus à 5 joueurs chez Jean-Luc.

Encore un jeu qui prend de la place :

- Un plateau central et sont indiqué les temples constructibles, les dieux invoquables et la piste de score.

- Un plateau individuel indiquant le nombre d' "oiuvriers" (ici des prêtres) à notre disposition et notre évolution dans les différentes échelles (culture, population, force militaire, agriculture, chasse, pêche)

- Un ensemble de 33 cartes (!) constructibles pour chaque joueur.

Ce jeu de développement est un mélange de Caylus (pose d'ouvriers) et de Puerto Rico (chaque action est disponible, le premier joueur la faisant disposant d'un avantage).

En clair, à tour de rôle, chaque joueur va évoquer un dieu (en se plaçant sur l'espace α) et les autre sjoueur peuvent aussi venir (emplacement β, moitié moins intéressant).

Les dieux permettent :

- Déméter : développer et/ou produire son agriculture

- Artémis : développer et/ou produire sa chasse

- Poséidon : développer et/ou produire sa pêche

- Héra : développer et/ou produire la (les) ressource(s) de son choix

- Athéna : développer sa culture

- Aphrodite : développer sa population

- Arès : augmenter sa force militaire et/ou faire des guerres

- Héphaïstos : construire 1 ou 2 cartes

- Apollon : marquer des points de victoire et/ou déclencher/se protéger de la peste (la peste fait perdre le tiers de sa population).

- Zeus : 1 ou 2 actions au choix (hors déclencher la peste)

Pour la construction, il faut atteindre un certain niveau de culture (de 1 à 8), et avoir les ressources nécessaires.

La guerre est particulièrement dévastatrice (voire un peu trop) puisque la vainqueur pique au perdant autant de ressources que la différence entre leurs armées.

Enfin, on gagne des prêtres supplémentaires (donc des actions supplémentaires) quand on atteint un certain niveau de culture et/ou de population.

En fin de tour, on ne peut conserver que 5 ressources, nos développements militaires et nourriciers ne peuvent dépasser notre niveau de population.

Le premier joueur qui atteint la dernière case d'une ligne, il récupère une carte bonus; quand 4 cartes sont ainsi récupérées, on finit le tour et la partie s'achève. Chaque joueur marque alors, pour chaque ligne de développement, la moitié des points du niveau atteint.

Jean-Luc s'est très largement imposé grâce à 3 effets combinés :

- récupération rapide d'un quatrième prêtre

- force militaire précocement augmentée, et des guerres très rentables

- des pestes savamment déclenchées.

Ajoutez à cela, qu'il eut souvent les effets α (les autres joueurs trop souvent les mêmes dieux), qu'ils construisit beaucoup de cartes (voyez son tableau à droite de la photo), il put ainsi très facilement augmenter sur ses échelles.

Un bon jeu, mais la guerre est très puissante, ce qui n'incite pas à être pacifiste. Et pour tout dire, seule JL et moi avons aimé le jeu, il me semble.

[Points : 45 – 35 – 31 – 28 – 28]

Durée de la partie : 2 heures 30 minutes

Avec Jean-Luc, nous avons fini notre partie des Cités perdues, entamée une semaine plus tôt.

La première manche du jour (deuxième de la partie) m'aura fait très mal, Jean-Luc assurant de beaux contrats rouge et Jaune, limitant la casse sur le vert.

Pour la dernière manche, j'ai pu bien revenir au score malgré une faiblesse en rouge. Jean-Luc a très fortement limité la casse sur le bleu, où il aura pu perdre plus de 50 points (double contrat avec 3 pts posés à 2 tours de la fin, et il a cartonné sur le vert.

Un très bon jeu à 2, vraiment.

[Score final : 107 (42+39+26) – 85 (41+8+36)]

Durée des deux manches : 40 minutes

Une grande après-midi jeu chez Eric et Karine, en commençant par un De Vulgari Eloquentia à 4 joueurs.

Premier joueur à l'entame, j'ai pu récupérer un précieux manuscrit orange. Eric a commencé à progresser sur le devinette, Jean-Luc et Karine ayant préféré partir l'un du centre, l'autre au sud.

Au début du tour 9, les trois hommes sont depuis quelques temps rentrés dans les ordres : Jean-Luc a commencé au tour 3 avec le frère Michael, je l'ai suivi au tour suivant avec frère Stefano, Eric l'ait depuis un au deux tours avec frère Mario. Karine et moi-même commençons à pester contre les manuscrits présents, car seuls deux couleurs sont présentes : orange et violet (les 3 manuscrits 2 orange sont notamment présents). En conséquence, je me place à la devinette et prépare un coup fumant pour le tour 11 : je descendrai à Assise pour claquer mes 5 actions sur les cantiques, dépensant 5 abbesses et prenant une très bonne avance. Mes adversaires n'ont pas vu le coup venir (surtout que j'ai déjà préparé l'élection finale).   Mais la course aux manuscrits s'engage mal quand la tour 12 dévoile la maladie papale, et les manuscrits clairs arrivent enfin, sauf le vert !

Heureusement, comme d'habitude quand j'y joue avec mes amis, le pape a attendu le tour 16 pour mourir ! J'ai ainsi pu me renforcer en manuscrits, alors que Karine n'a pas réussi à récupérer un manuscrit jaune (elle ne voulait pas perdre une action pour en prendre un de 1 point, je l'ai donc pris). Eric me surprendre à devenir pape (il a remplacé Mario par Bellestreri), Jean-Luc assurant la position de chambellan à Lanzuisi. Karine, elle, est devenue frère Ralph dans les derniers tours.

Encore une très belle partie, très intéressante avec les choix limités de manuscrits.

[Points : 57 – 54 – 49 – 43]

Durée de la partie : 3 heures

Puis une partie du très bon Thèbes.  

Alors que mes adversaires prennent les cartes de bonus (pelles, assistants, congrès, transports), je me rabats sur les connaissances des lieux.

Alors que j'avais assez bien commencé, mes bonus quasiment inexistants je n'ai pas avoir que des récompenses jaunes et oranges. Par contre, j'ai beaucoup de connaissances. Mais voilà, Karine qui accumule les congrès, Eric les jetons de fouilles et Jean-Luc les expositions, me voilà bon dernier.

Toujours sympathique et thématique (et Eric a encore fait sa pleureuse !)

[Points : 60 – 52 – 46 – 42]

Durée de la partie : 2 heures