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Pour une fois, j'accueille un dimanche. Guillaume s'est déplacé chez moi, et il m'a bien atomisé !
Je lui ai tout d'abord présenté Settlers.
Pour une fois, on n'a pas joué nos couleurs traditionnelles (vert-Barbares pour lui, rouge-Romains pour moi).
Pas mal de razzia (pour me priver d'or), et beaucoup d'ouvriers, il m'a bien eu.
Bien peu de cartes pour moi, faudrait peut-être plus piocher.
[Points : 68 – 39]
Durée de la partie : 1 heure 15 minutes
Note personnelle : 8/10
On poursuit avec La Granja.
Le début de partie peut être difficile, car aucun commerce à revenu n'est ouvert, celui de l'argent étant le dernier commerce à ouvrir !
Par conséquent, ou joue plutôt charrette, et à mi-partie, aucun commerce n'est terminé.
En fin de partie, Guillaume a fait 4 commerces, moi 3, par contre, j'ai été complètement chassé du marché.
Un seul assistant pour Guillaume, mais qui lui fut très utile : le Majordome (pour faire tourner sa main de cartes).
Deux assistants pour moi, et un tout petit score (en plus, en payant le même coût, je n'ai que 4 toits, contre 5 pour Guillaume.
[Points : 83 – 58]
Durée de la partie : 1 heure 10 minutes
Note personnelle : 8,5/10
Et on termine la journée avec Bruxelles 1893.
Jouée en version avancée (on a retourné deux plaques), on remarque que les actions "Réaliser une œuvre" sont bien excentrées.
La partie avance, et je prends beaucoup de retard, notamment sur les blasons.
Derniers placements.
Guillaume m'a encore mis un boulevard, et j'accroche de moins en moins au jeu : il faut vraiment réfléchir à ses actions, car chaque erreur fait très mal.
[Points : 146 – 109]
Durée de la partie : 1 heure 30 minutes
Note personnelle : 6/10
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L'après-midi, une belle boucle le long de la Seine.
Descente vers la Seine via le cours Ferdinand de Lesseps.
La Place des Impressionnistes. Evidemment, il y a du monde sur les terrasses des cafés et restaurants.
L'église Notre-Dame de Chatou.
Chatou ? C'est là que se trouve l'île de la Grenouillère. Grenouillère ? C'est ici que Monet et Renoir ont peint des tableaux célèbres, dont le fameux Déjeuner des canotiers. Bien sûr, tout cela a changé depuis, mais la poésie opère toujours.
Et voici la maison Fournaise, où se visite un musée sur les impressionnistes, et un restaurant bien couru en ce jour ensoleillé.
On franchit la Seine, pour la longer rive droite, par un chemin de halage, très agréable.
A mi-parcours de ce chemin, petit détour dans le centre historique de Croissy. Ici vécut Joséphine de Beeauharnais. L'immeuble aurait besoin d'être rafraîchi !
L'église Saint-Léonard, du XIIe siècle.
Le château de Croissy, inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, pour sa façade avec balcon en fer forgé (ci-dessous).
Le balisage en région parisienne.
Après être revenu rive gauche, à Bougival, on grimpe pour rejoindre le parc de la Jonchère.
Un balisage peu commun : on ne fait pas demi-tour, mais simplement on prend un virage serré à droite pour prendre le chemin en montée ci-dessous.
On atteint alors ce belvédère, avec un très beau point de vue sur la vallée de la Seine.
L'église de Croissy.
La sortie du parc se fait par les lacets des blockhaus. Eh oui, on trouve ces constructions dans la forêt. J'en ai étudié un d'un peu plus près.
Le parc des Gallicourts.
La boucle se termine en passant par les espaces verts aménagés au-dessus de l'A86, avant de terminer par l'avenue de Seine.
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Deux promenades en ce dernier week-end de juin, l'une après l'autre, pour 2x2h30 de marche.
La première, depuis la gare de Colombes, nous fait prendre la Coulée Verte, puis on traverse le bourg pour rejoindre la Seine, la descendre sur 4 lm, avant de rejoindre la gare de Nanterre.
Au moins, le chemin est bien indiqué !
La Coulée Verte suit l'ancienne voie d'un chemin de fer de marchandises, exploité jusque dans les années 1970.
Une tanaisie. Un bouquet séché de cette plante dans la maison permet d'éloigner les mouches et moustiques.
Un wagon de marchandises reconverti en lieu d'exposition , malheureusement non ouvert ce jour-là.
Les quatre photos suivantes vous montrent à quoi ressemble cette Coulée Verte, entretenu de façon sauvage par la mairie. Au moins, ça change des parcs parfaitement dessinés.
La deuxième partie de la ballade, le long de la Seine, sera moins intéressante : pas de voie sur berge, et de longues allées de terre au soleil, parfaites pour les cyclistes, bien moins pour des piétons.
Des éoliennes construites dans le parc de l'ancienne île Marante, qui permet de pomper l'eau de la Seine, pour alimenter des bassins.
Le pont de Bezons, à mi-parcours de cette longue ligne droite. Pont bien connu des Franciliens, car c'est le terminus actuel de ligne 2 du tram.
De l'autre côté du pont, des péniches amarrées et, au loin, le début de l'île Saint-Martin.
Une belle péniche noire et bleue.
Au bout de l'île Saint-Martin, un vestige d'un pont ?
On finit la marche par la traversée du parc du Chemin-de-l'Île. Bien agréable avec ses bassins aménagés en mare ou marais. Ici de beaux nénuphars,avec un zoom sur quelques fleurs ci-dessous.
J'ai déjà vu des foulques, mais jamais avec ses petits.
Une oie se reposant.
Une grenouille vient m'observer. Ce qui m'offre le loisir de la prendre en gros plan.
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